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samedi 26 mai 2012

Physique quantique et prière

De Marie-Christine

Prier avec le cœur
Éclaircissements sur le mode perdu de la prière
Par Gregg Braden


Aujourd’hui, plus qu’à toute autre époque de notre histoire, les choix que nous faisons auront
potentiellement de sérieuses conséquences planétaires pour les générations à venir. Malgré
l’intensification des tensions planétaires, des études récentes offrent un nouvel espoir et ravivent
les convictions de ceux qui croient qu’on peut « intervenir » contre le cycle séculaire de la violence dans l’espoir d’un l’avenir meilleur.
Des statistiques ont démontré que lorsqu’un nombre déterminés d’individus unissent leur conscience en une prière de masse, même sans dénomination religieuse précise, cela produit des
effets qui s’étendent bien au-delà de la pièce ou de l’édifice où la prière a été faite.
Ce nombre correspond à la racine carrée d’un pour cent de la population concernée. Ces études
s’ajoutent à un faisceau de preuves qui suggèrent que se concentrer sur des sentiments de reconnaissance et de gratitude, comme si nos prières avaient déjà été exaucées, a un effet mesurable sur la qualité de vie durant la période de prière. Suite à notre description du « mode perdu
de la prière » dans le livre  L’Effet Isaïe, vos courriels et vos appels ont réclamé plus
d’éclaircissements sur cette méthode de prière. Manifestement, il n’y a pas de « bonne » ou de 
« mauvaise » façon de prier. Dans sa plus simple expression, la prière est la faculté très personnelle et innée en chacun de nous de communier avec notre monde, avec les autres humains et
un être supérieur. Le mode « perdu » de la prière est simplement un autre outil à ajouter à notre
coffre d’outils de prières.
Description du mode perdu de la prière
Le mode « perdu » de la prière est une forme de prière qui n’a pas de mot, pas d’expression
extérieure et qui est basé simplement sur le sentiment. Plus spécifiquement, ce mode de prière
nous invite à ressentir dans notre cœur reconnaissance et gratitude, comme si nos prières
avaient déjà été exaucées, même si le monde semble démontrer le contraire.
Voici de quelle manière cette précision est importante :
Puisqu’il est admis que notre monde intérieur et nos corps reflètent ce que nous pensons et ressentons, nous devons nous assurer que nos prières proviennent de notre cœur plutôt que de
notre tête.
Voici le fondement de cette réflexion:
La logique de notre cerveau fonctionne sur la polarité — côté droit/côté gauche, sombre/lumineux, bon/mauvais, acceptable ou rejetable, etc. Prier dans le but « d’obtenir quelque chose »
engendre un sentiment puissant - un courant - de ce  qui « devrait être » ou « ne devrait pas 
survenir ». Les lois de la physique démontrent qu’une réaction existe dans une partie polaire
chaque fois qu’un courant traverse l’autre partie polaire, selon un principe d’équilibre.
Voici pourquoi :
Ce que signifie prier avec la tête :
Lorsque nous prions « pour » quelque chose, nous utilisons un processus mental de logique. Par
exemple, bien que la prière mentale pour la paix en Iraq peut être bien intentionnée et sembler
créer une paix temporaire ou une guérison en un endroit donné à un moment donné, elle peut involontairement créer précisément l’opposé de la paix souhaitée, en un autre endroit à un autre
moment.
Ce que signifie prier avec le cœur :
Par contre, notre cœur n’est pas polarisé. Dans les traditions amérindiennes, le mot « Shante
Ista » (l’unique œil du cœur) décrit l’objectivité non-polarisée du cœur; le cœur voit «ce qui est »
plutôt que « ce qui devrait être ». Lorsque nous choisissons la paix ou la guérison à partir du
cœur, aucune polarité n’est créée pour équilibrer notre choix puisqu’il n’y a pas de cœur gauche
ni de cœur droit.
Venant du cœur, le sentiment est la prière ! Des études ont démontré que cette qualité de gratitude et d’appréciation pour la paix déjà existante crée un champ magnétique en présence de la
paix et que tout ce qu’elle produit est aussi de la paix.
Éclaircissements
Pour être très clair, cette forme de prière n’est PAS dirigée vers un endroit, une personne, une
organisation, un pays, une ville ou un événement. Ce mode de prière ne tente  PAS de
« transformer » les choses avec lesquelles  nous ne sommes pas d’accord. Les Anciens comprenaient qu’une telle utilisation de la prière est une « abomination » contre notre don de communier avec le monde. Imposer notre idée de ce qui devrait ou ne devrait pas être n’importe où
dans le monde ou pour une personne est une forme de manipulation et un mauvais usage de
notre don de la prière.
Au lieu de prier pour que quelqu’un «gagne » ou «perde », «souffre » ou «guérisse », nous devons plutôt ressentir de la reconnaissance et de la gratitude pour la paix et la guérison qui existent déjà. Le pouvoir de ce genre de prière transcende les notions de gains et pertes mesquines
en nous invitant à élever les conditions de notre monde à un niveau bien au-delà de la médiocrité. De cette manière, nous ouvrons la porte à un principe subtil mais très puissant qui permet que
la paix et la guérison soient présentes sans imposer notre volonté qu’il en soit ainsi.
Le mode perdu de la prière
Aujourd’hui, les chercheurs contemporains identifient quatre modes de prières utilisés en Occident. Existe-t-il un mode additionnel de prière ? Y a-t-il un cinquième mode de prière qui nous
permet de collaborer aux résultats des événements à l’intérieur de notre corps ainsi que dans le
monde qui nous entoure ? Les découvertes récentes dans des temples éloignés où ces traditions
subsistent aujourd’hui, combinées aux nouvelles recherches dans certaines traditions parmi les
plus sacrées et les plus ésotériques du passé, m’amènent à croire que la réponse est «oui » !
L’essentiel de nos conditionnements par les traditions occidentales des derniers 1 500 ans nous
a invités à « demander » que les circonstances de notre monde changent par l’intervention divine; que nos prières soit exaucées. Cependant, malgré nos demandes bien intentionnées, nous
pouvons renforcer, sans le vouloir, les conditions mêmes pour lesquelles nous prions. Par exemple, lorsque nous demandons « Cher Créateur, faites que la paix vienne dans le monde», vous
admettez en fait que la paix n’existe pas dans le présent. Les traditions anciennes nous rappellent que les prières-requêtes sont une forme de prière, parmi d’autres, qui nous donnent le pouvoir de trouver la paix dans notre monde par la qualité des pensées, des sentiments et des émotions que nous créons dans notre corps. Une fois que nous créons les qualités de paix dans notre esprit et alimentons nos prières avec nos sentiments de paix dans notre corps, le cinquième
mode de prière affirme que le résultat a déjà eu lieu.
Aujourd’hui, la science quantique pousse cette idée une étape plus loin en stipulant que la création réagit précisément à de telles conditions de sentiments en mariant le sentiment (la prière) de
notre monde intérieur avec les conditions similaires du monde extérieur. Bien que le résultat de
notre prière puisse ne pas encore être évident dans le monde, nous sommes invités à reconnaî-
tre notre communion avec la création et vivre comme si notre prière était déjà exaucée. Avec leurs formules d’une époque à présent révolue, les anciens nous invitent à considérer notre
mode perdu de la prière comme une conscience en devenir plutôt qu’une forme prescrite d’action
en certaines occasions. En un langage simple et élégant, ils évoquent le fait d’être «imprégnés »
de la réponse à une prière et «immergés » dans la condition de vie choisie. En langage moderne,
cette description suggère que pour induire un changement dans notre monde, nous devons
d’abord sentir le changement comme s’il s’était déjà accompli.
Tout comme la science moderne tend à démontrer la relation entre nos pensées, nos sentiments
et nos rêves avec le monde qui nous entoure, il devient de plus en plus possible qu’un pont oublié relie nos prières avec notre expérience. La beauté d’une telle technologie intérieure est
qu’elle est basée sur les qualités humaines que nous possédons déjà. Les prophètes d’antan qui
nous ont vus dans leurs visions, nous rappellent qu’en honorant toute vie, nous assurons la survie de notre espèce et l’avenir du seul habitat que nous connaissons.
Comparer les modes de prières avec l’exemple de la paix planétaire
La prière basée sur la logique : 
Demander une intervention
La prière basée sur les sentiments :
Savoir que notre prière est déjà exaucée
♦  Nous nous concentrons sur les situations
présentes où nous estimons que la paix
n’existe pas.
♦  Nous sommes témoins de tous les événements : ceux qui démontrent que la paix
existe comme ceux où la paix n’existe pas,
comme étant des possibilités sans jugement de valeur : pour ou contre, bien ou
mal.
♦  Nous nous sentons vulnérables, impuissants ou en colère face aux événements et
aux situations dont nous sommes témoins.
♦  Nous suspendons notre jugement de la
situation en bénissant les conditions qui
nous font souffrir. La bénédiction ne condamne ni ne consent à l’événement ou
condition. Elle reconnaît plutôt que l’événement fait partie d’une source unique de tout
ce qui est. (Consultez, le livre Marcher entre les mondes pour plus de détails).
♦  Nous utilisons nos prières-requêtes pour
inviter l’intervention d’un pouvoir supérieur
à amener la paix sur les individus, les situations, les endroits où nous croyons que la
paix est absente.
♦  En ressentant notre prière comme étant
déjà exaucée, nous communions à l’ancien
principe quantique voulant que les conditions de la paix à l’intérieur de notre corps
soient reflétées dans le monde au-delà de
notre corps.
♦  Par notre quête, nous consolidons, sans le
savoir, les conditions mêmes que nous dé-
sirons le moins. Par exemple, lorsque nous
disons « S’il vous plaît, que la paix soit
faite », nous déclarons que la paix n’est
pas présente dans une situation particulière. Ce faisant, nous renforçons les conditions que nous avons choisies de changer.
♦  Nous reconnaissons le pouvoir de notre
prière et savons (sentons) que notre prière
est déjà exaucée.
♦  Nous persistons à formuler notre requête
jusqu’à ce que nous constations effectivement ce changement sur terre.
♦  Notre prière consiste maintenant à :
- Reconnaître que la paix est déjà
présente dans le monde sachant
que les changements sont déjà accomplis.
- Renforcer notre prière en remerciant l’occasion  qui nous a été fournie de choisir la paix au lieu de
la souffrance.
  
Sommaire
Si ces clarifications apparaissent trop fastidieuses, je m’en excuse sincèrement. Le principe est
simple : En présence de la paix, tout ce qui peut en découler est la paix.
Mille mercis pour votre bonne volonté de créer un meilleur monde.
Soyez bénis d’une paix véritable et durable



Gregg Braden

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