Ce blog ne représentequ'une infime partie du site génétal de la DÉMOSOPHIE

samedi 5 novembre 2011

VACCINS - L'ÉTUDE INTERDITE

Voici les résultats des vaccins de 1863 à 2002

Catherine Frompovich, 25 octobre 2011.
 
   
1. En 1868, 1873 et 1881 les vaccinations contre la variole aux Etats-Unis ont entraîné une extension alarmante de la lèpre comme le rapporte le Board of Health (Conseil de Santé).
 
2. En 1883, un document intitulé : Dossier d’une catastrophe vaccinale fait état de 400 décès après vaccinations.
 
3. En 1900 le Syndicat Rockefeller et JP Morgan a acheté l’Encyclopedia Britannica. Toute information et références défavorables aux vaccinations ont été éliminées de l’Encyclopédie.
 
4. En 1917, au cours de la première guerre mondiale, des soldats américains qui avaient été vaccinés avant de s’embarquer pour l’Europe tombaient subitement morts à la suite d’un syndrome bizarre qui semblait n’affecter que les jeunes personnes.
 
5. Le 27 août 1928 la Ligue des Nations [qui a précédé les Nations Unies] a publié un rapport sur l’encéphalite (inflammation du cerveau) qui stipulait : « L’encéphalite post-vaccinale qui nous occupe est devenue un problème en soi… C’est un nouveau risque précédemment inconnu et insoupçonné qui est lié à la vaccination… »
 
6. Le Secrétaire à la Guerre, Henry L. Simpson a publié un rapport en 1942 qui précisait : «  la dernière expérience que nous avons eue du vaccin à l’armée contre la fièvre jaune nous a valu 28.505 cas d’hépatite et 62 décès. »
 
7. L’expérimentation de l’Ecole Willowbrook en matière de vaccins s’est déroulée de 1950 jusqu’à 1972. Au cours de cette période des enfants handicapés mentaux ont été délibérément infectés par l’hépatite dans le but de pouvoir mettre au point un vaccin.
 
8. En 1957 The New York Times  a signalé que près de 50% des cas de polio chez des enfants âgés de 5 à 14 ans se produisaient chez des enfants qui avaient été vaccinés contre la polio.
 
9. En 1972, au cours d’une audition devant le Sous Comité du Sénat, l’inventeur du vaccin anti polio, Jonas Salk, devait témoigner que presque toutes les poussées de polio depuis 1961 étaient le résultat ou avaient été provoquées par le vaccin polio oral.
 
10. The Lancet a signalé en 1976 que les vaccins ne protégeaient pas efficacement contre la coqueluche et que près d’un tiers des personnes qui avaient fait une coqueluche avaient bel et bien été  complètement vaccinées.
 
11. The Lancet  a rapporté en 1977 qu’aucune protection contre la coqueluche n’avait été démontrée chez les nourrissons.
 
12. La revue Science a signalé en 1977 que 26% des enfants qui recevaient la vaccination contre la rubéole développaient de l’arthrite.
 
13. Dans le journal médical Archives of Disease in Childhood  de 1984, Vol.59, n°2, pp.162-65 on peut lire : « Depuis la diminution du nombre de vaccinations contre la coqueluche,[sic], les admissions à l’hôpital et les taux de décès faisant suite à la coqueluche ont décliné d’une manière inattendue… La gravité des attaques et des taux de complications des enfants admis à l’hôpital n’a virtuellement pas été modifiée. »
 
14. En 1986, le Congrès Américain a voté le « Vaccine Injury Compensation Act. » (Acte visant à dédommager les victimes des vaccinations).
 
15. C’est en 1988 que le « Vaccine Injury Compensation Program » a été  financé.
 
16. En 1994 The Lancet a signalé que l’asthme était cinq fois plus fréquent chez les enfants vaccinés que chez les enfants non vaccinés.
 
17. La Manuel de 1996 de Merck a publié : « Des maladies auto-immunes peuvent être provoquées par les encéphalites qui peuvent faire suite à la vaccination contre la rage. Des réactions  auto-immunes croisées pourraient probablement être provoquées par du tissu cérébral animal qui se trouve dans le vaccin. »
 
18. En 1999 The Lancet publie un article qui fait état de 15.229 cas de diphtérie en Russie, alors que la plupart des enfants étaient complètement vaccinés.
 
19. Selon le NIH (Institut National de Santé), une étude japonaise de 2002, « Développement de la politique Vaccinale au Japon », explique que le nombre des enfants qui sont devenus autistes varie en proportion directe du nombre d’enfants qui ont été vaccinés chaque année.
 
Autisme--Japon.jpg
 
20. En 2006 le Nigeria a enregistré une augmentation des cas de polio en dépit d’un taux de vaccinations quasi universel dans ce pays.
 
 
 
« C’est pour cette liberté que je me bats, non pour la destruction du dogme, sachant qu’on ne peut faire douter les "croyants" que ce soit en religion, en science ou en médecine. » Jean DORNAC

lundi 22 août 2011

La diatribe de Gérard Wenker


DIATRIBE D'UN PACIFISTE...




Je vous hais, vous les véritables responsables…

De la faim dans le monde,
De la plupart des maladies,
De la destruction de l’environnement,
... De la pollution généralisée,
De la disparition des abeilles,
De l’extermination de la vie sauvage et de la biodiversité,
Du réchauffement climatique,
Des  phénomènes météo extrêmes,
Et finalement de la disparition proche de notre humanité.


Mais qui sont-ils ? Pourquoi tant de haine ?
Je vais vous le dire ici et maintenant.


     A la retraite depuis un bon moment, je m’éclate enfin avant la fin.
     A bientôt 80 ans j’ai maintenant le droit de dire, de penser et d’écrire ce que je pense.
     Je dis ce que personne n’ose dire. Comme je n’ai pas une très grande notoriété c’est plus facile, j’en conviens, parce que là je risque ce qui reste de ma vie, mais vu que j’en suis bientôt au bout,  je m’en fous.
     Donc, je pose mes valises, je vide mon sac, je me soulage, je déballe, je m’allège avant le grand départ.

     En première ligne le monde agricole dans son ensemble.
     Paysans, agriculteurs, cultivateurs, éleveurs… Broum–broumm, tracteur et épandeur a merde, pulvérisateur à poison, fabricant de viande.
     Suivent : Les chasseurs… Pan…Pan, qui régulent la faune !!!
     Les pêcheurs qui ratissent les fonds marin… Ho-hiss.

     J’en ai plusieurs en réserve encore comme ça:

     Chasseurs je vous hais. Pêcheurs je vous hais. Touristes je vous hais. Si notre planète est foutue, c’est vous qui en êtes responsables.

     Revenons à nos paysans qui sont les premiers et véritables destructeurs de la Nature.
     Bien sûr maintenant, il ne sont plus maîtres de leurs destins, depuis que les multinationales de l’agro-bisness-bouf les tiennent par les couilles. Mais ils l’ont bien cherché, à force de vouloir rentabiliser la nature à tout prix, en acceptant de cultiver n’importe quoi pourvu que ça paye. Toujours  prendre sans rien rendre.

     Les paysans protecteurs de la nature, non, mais laissez-moi rire.

     D’accord, oui, mais au 19e siècle. Maintenant avec le remembrement1 rural généralisé, qui consiste à tout niveler pour obtenir de grandes surfaces où tracteurs et moissonneuses-batteuses pourront foncer dans un nuage de poussière. Bon d’accord, cela coûte très cher, mais on s’en fout, c’est la nature qui paye.
     Destruction des haies, des étangs, des zones humides, canalisation béton des rivières, disparition de la bio diversité, et j’en passe.

     Adieu petite rivière de mon enfance, adieu poissons, écrevisses, l’eau clair coule toujours, mais elle est suffisamment acide pour y développer une pellicule argentique.

     Adieu papillons virevoltant de fleurs en fleurs, abeilles butinants le pollen, les fleurs ont disparues les papillons aussi. Je ne me rappelle plus qui a disparu en premier.

     Entretenir la nature, laisser des champs en jachère ou cultiver bio, oui, d’accord, mais faut payer pour ça.
     Chez ces gens là, monsieur, il n’y a que le porte-monnaie qui compte.
     Depuis la fenêtre de mon logement, je peux apercevoir les magnifiques domaines agricoles nés du remembrement et autres remaniements ruraux. Champs de proximités d’un seul tenant avec chemins d’accès bétonnés comme une piste d’envol pour avion.
     Ah…  ils sont gâtés nos paysans en Suisse avec de juteuses compensations et en France avec le PAC c’est encore mieux.
     Ecoutez-les hurler avec rage leurs slogans imparables :
« Nous travaillons pour nourrir l’humanité ». «la grande distribution nous étrangle».

     Voyons ça de plus près. Que cultivent nos braves paysans  pour nous nourrir?

1° du maïs ? Non pas du tout, le 90 % du maïs cultivé sert à l'ensilage pour l’alimentation des vaches.
2° Des céréales alors ? Seuls 20 % des céréales sont destinées à l’alimentation humaine.
  Des betteraves, oui pour faire du bon sucre blanc raffiné.
4° De l’herbe, du trèfle, des graminées, des pois, du soja, de la féverole, tout ça pour nourrir des usines à lait sur pattes qui une fois épuisées finiront en viande 5e choix  et 1er prix dans les rayons des supermarchés. Vous avez déjà vu sur un étal de boucher “ viande de vache 1er choix“, pourtant cela représente 80% de la viande consommée.
5° Des fruits, des légumes ? Ah non, ça paye plus, laissons ces productions à d’autres pays ou les coûts d’une main d’oeuvre étrangère exploitée sont bas.
     Je regarde, je me déplace, saison après saison, mais je ne vois rien, absolument rien d’autre à  mettre dans la marmite de la ménagère.
     Avec leurs flux tendus, 15 jours de stock à tout casser, on est mal barré en cas de catastrophe climatique, de grève des transports, de crise économique, etc.
     Il faut au minimum 6 mois dans le meilleur des cas, à condition encore d’avoir les semences,  pour semer ou planter des aliments  propres à la consommation humaine.
     Donc un bon conseil, prévoyez des réserves de nourriture pour 6 mois ou entretenez un petit jardin familial qui vous sauvera la vie en cas de pénurie.
     Merci éleveurs, cultivateurs, agriculteurs de nourrir d’abondance le peuple planétaire des veaux, vaches, cochons, dindes et poulets.
Ça fera toujours des espèces animales qui ne disparaîtront pas.
Et arrêtez de nous bourrer le crâne, vous êtes devenus inutiles pour la consommation humaine et dangereux pour la nature.

     « Je ne digère pas les agonies »

     Quand vous aurez lu « Bidoche », vous ne mangerez plus de viande comme avant. « L'industrie de la viande menace le monde ».

     et la dédicace

     « à tous les animaux morts sans avoir vécu »,

     Sa longue enquête, faite de compilation d'études notamment américaines, d'enquêtes sur le terrain, notamment en Amérique latine, et de rencontres avec des acteurs de terrain, lobbyistes patentés et éleveurs, lui a ouvert les yeux :
     « Derrière une côte de bœuf, j'ai fini par voir un bœuf »


     Au tour des chasseurs maintenant, je sais ils sont souvent irascibles, et ne supportent pas les critiques, c’est facile avec un fusil, mais je m’en fous je suis bientôt au bout de la route.
     Du temps où il y avait encore une vraie nature, avant, avant, c’était les paysans qui chassaient ou braconnaient pour protéger leurs cultures et améliorer l’ordinaire. Finalement, tout le monde y trouvait son compte, les prélèvements étaient encore raisonnables et l’équilibre de la faune n’était pas en danger.
     Depuis que la nature a disparu, avec les forêts, les étangs et la biodiversité végétale et animale, sont apparus les chasseurs-régulateurs et protecteurs de la faune et de la  Nature. On aura tout vu, protéger, voir élever et nourrir des animaux pour avoir de quoi se distraire le week-end en tuant quelques paisibles chamois, chevreuils et sangliers…   non, c’est vrai, on dit prélever du cheptel maintenant, cela fait plus soft.
     A l’heure où la plupart des grands mammifères sont en voie de disparition, il y a encore 30.000 chasseurs en Suisse, il faut les voir le jour de l’ouverture envahir les chemins de campagne assis dans leurs 4 X 4  le portable vissé a l’oreille, attendant le signal des rabatteurs. Pan…pan…pan ça tire tous azimuts, c’est qu’il faut rentabiliser son permis et remplir le quota d'abattage. Malheur à l’animal affolé qui sort de la forêt protectrice et se risque à découvert, il culbute et s’écroule le corps truffé de plomb, les yeux révulsés, Hourra…hourra, s’écrient le banc des tueurs déjà passablement éméchés en levant leurs verres de champagne, à la santé du gisant dont le sang rouge s’écoule lentement dans le sable jaune du chemin.
     Chasseurs-tueurs, réveillez-vous, vous retardez, l'ère des chasseurs-cueilleurs est révolue depuis  2000 ans.  Et pour le plaisir de tuer, engagez-vous dans un abattoir.
     Chasseurs-Viandars vous êtes inutiles, nuisibles et ridicules.


     Parlons maintenant des Safaris chasse, réservé à l’élite de la connerie humaine.
     Tenez je vous donne l’adresse.

Taxes de tir par animal en USD :

Lion : 7 500
Léopard : 4 000
Buffle : 2 750
Crocodile : 2 750
Hippopotame : 3 000
Eland du Cap : 1 500
Waterbuck  : 1 500
Grand Koudou : 1 500
Zèbre de Burchell : 1 000
Guib : 750
Grysbok : 400
Phacochère : 400
Potamochère : 400
Impala : 250
Impala (appât) : 150
Céphalophe de Grimm : 300

L’ours noir du Canada : 10.000 €
2000 € pour un lion du Mozambique
30.000 € l’Eléphant 

Combien le forfait pour tuer à volonté ?

(nda) Combien les chasses spéciales des ultra riches ou le gibier est humain ?

     Konrad Lorenz disait avec beaucoup de pertinence : « Le chaînon manquant entre le singe et l'Homme, c'est nous ! » Je partage tout à fait cette pensée qui nous rappelle, un peu brutalement, que nous, les humains, sommes encore loin de ce à quoi nous sommes appelés. En tant qu'espèce, l'humanité est bien trop mobilisée par ses instincts de domination, de possession, de consommation pour prendre conscience que notre incarnation, ici sur Terre, est une grande école pour nous faire évoluer vers ce que nous sommes vraiment.

     Je crois qu’il faudra encore beaucoup d’incarnations avant d’atteindre ce statut d’Homme évolué, et je crains qu’à ce moment nous soyons les derniers habitants d’une planète désertique.

     Passons maintenant aux pêcheurs, les professionnels, disons plutôt les ratisseurs des fonds marins, comme il n’y a plus rien en surface, ils prélèvent dans les profondeurs, ni vu, ni connu du grand public. Vous les avez vu et entendu à la télévision manifester avec rage dans les ports. Contre Greenpeace, l’empêcheur d’exterminer en rond les derniers bancs de poissons, contre les politiques et les quotas, qui tentent de protéger les derniers survivants du monde aquatique. Contre les scientifiques qui ne comprennent rien à la pêche. Contre la sur-pêche qui n’existe pas. C’est pas nous, c’est les autres.
     Marin pêcheur a l’agonie, quelle ironie ! Et les océans, et les poissons, et les coraux, eux aussi ils sont a l’agonie. Bientôt ils seront payés pour ramasser les immenses bancs de plastiques qui envahissent les mers, au mois cela sera utile.

     On s’en fout…Après nous le déluge. D’accord ils doivent payer leurs puissants bateaux, payer l’équipage, payer leur maison, rembourser les crédits, etc. Mais en réalité c’est pas eux qui payent l’addition, c’est les poissons:

Etat des stocks des poissons gravement menacés

L’anchois : de France, Espagne,
Le caviar, l’esturgeon : : risque de PCB, de dioxines, de pesticides et de mercure
Le thon rouge de Méditerranée : les captures ont diminué de moitié en Méditerranée. Poids minimal de capture de 30kg. On craint qu’au rythme actuel, l’espèce sera quasiment disparue d’ici 2 à 3 ans.
La lotte, baudroie : de l’Atlantique Nord
Le Lieu, colin d’Alaska : pêché en Pacifique Nord
Le Carrelet, plie : de l’Atlantique Nord
Le merlu : aussi appelé « colin » a vu le nombre de poissons géniteurs divisé par 2 en 20 ans
Le flétan : de l’Atlantique Nord
La lotte : d’Europe, risque de dioxyne et pesticides (aquaculture)
La sole de la mer du Nord : de l’Altantique Nord et surexploitée,
Le Haddock
Le cabillaud : stock divisé par 5 en 20 ans, surtout en Europe, en voie de disparition.
La dorade rose : a disparu, ou presque, du golfe de Gascogne
L’empereur : menacé de disparition d’ici 3 à 5 ans. Cette espèce des grand fonds à la croissance lente, a une maturité sexuelle tardive et se reproduit peu. Pas de taille minimum pour sa capture.
L’espadon : très menacé
Le saumon sauvage d’Atlantique : ce poisson, 2 fois moins nombreux qu’il y a 20 ans , ne se reproduit plus dans 15% des rivières où on le voyait habituellement.
Le grenadier de roche : plutôt laid à regarder, ce poisson de grand fond est menacé de disparaître d’ici 3 à 5 ans. Pas de taille minimale de capture.
Le pangasius du Vietnam (aquaculture)
Le Thon rouge :  ce poisson pourrait bientôt disparaître de la mer Méditerranée.
Le calamar de l’Atlantique sud et du Pacifique sud
La dorade royale.
Le loup de mer ou bar de la Méditerranée
La morue ou cabillaud de Norvège ou d’Ecosse
La sardine d’Atlantique Nord et de Méditerranée
Le saumon Atlantique 
La sole du Pacifique, risque PCB, pesticides, dioxines
Le Thon jaune albacore du Pacifique et de l’océan Indien
Le turbo de France

     Et alors… quelle importance quand il n’y aura plus de poissons dans les Océans, plus le moindre animal sauvage sur terre, plus d’oiseaux dans les airs, nous serons enfin tranquilles chez nous. Bon on va un peu s’emmerder, mais il y aura internet, les réseaux sociaux, les vidéos et surtout les magnifiques films d’ Yann-Arthus Bertrand et de Jacques Perrin sur ce monde ancien disparu, que nous regarderons en boucle, en s’exclamant que c’était beau, pourquoi l’ont-ils détruit.

     Mais… je vois que j’ai oublié les touristes, je les résume vite fait :

     Ils sont comme les 3 petits  singes :
     Ne rien entendre
     Ne rien dire
     Ne rien voir

     Je vous hais, tous,  mais je vous pardonne, grâce à vous une nouvelle civilisation plus évoluée, va renaitre  sur les cendres de l’ancienne.

     Le cinéma s'attaque à l’agrobusiness par Skander Houidi
     En parallèle du film « We feed the world » le documentaire sur les ravages de la mondialisation dans le domaine de la malbouffe, se décline dans un livre intitulé :
     « Le marché de la faim ». Voir la vidéo

     Vous aviez aimé – façon de parler – le controversé « Cauchemar de Darwin » ? Vous allez être secoué par « We feed the world » (1) (et le livre qui l’accompagne : « Le marché de la faim »(2)), le film d’Erwin Wagenhofer qui, à partir de « processus normaux, quotidiens et non spectaculaires », montre comment est « produite, transformée et manipulée » la « nourriture » qui se retrouve dans nos assiettes.
     « We feed the world »… Le documentariste autrichien s’adresse ici, avant tout, au consommateur occidental. « We », un « Nous » collectif pour prendre conscience que « notre » industrie agroalimentaire, non seulement produit de la « nourriture » sans saveur – on s’en aperçoit tous les jours – mais qu’elle provoque aussi ruine et désolation dans les pays en développement. Premier exemple : en Amazonie, où au moins un quart de la population crève de faim, on a déjà rasé en forêts l'équivalent de la surface de la France et du Portugal, notamment pour y faire pousser du soja qui sert d’abord de fourrage... au cheptel européen.

     Autre exemple : les 35.000 ha de serres d'El Ejido (Andalousie) produisent les fameuses tomates disponibles à longueur d'année sur nos étals. De beaux fruits, sans goût, cultivés... dans des bacs remplis d'un substrat de laine de roche. Un régal ! Pendant ce temps, en Afrique, des paysans souffrent de la surabondance de produits européens vendus à des prix défiant toute concurrence.
     Condamnés à chercher des conditions de vie plus dignes, certains, après avoir risqué leur vie en tentant la traversée de la méditerranée, risquent de se retrouver comme employés saisonniers à… El Ejido.

     Le cercle vicieux de la malbouffe mondialisée !

     Sans parler de ce directeur de vente chez le semencier Pioneer, avouant à un paysan roumain que l’agrobusiness a « déconné en Europe de l'Ouest » et que c'est maintenant au tour des pays de l'Est de trinquer. Ou encore le grand boss de Nestlé, Peter Brabeck, certifiant que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, puisque « nous n'avons jamais été en meilleure santé ». Édifiant!

     Dans des interventions qui ponctuent les séquences du film, Jean Ziegler, rapporteur de l’ONU sur le Droit à l'alimentation, affirme la mine grave : puisque l’agriculture est en mesure de nourrir 12 milliards d'individus et que, d’après la FAO, 850 millions de personnes sont sous-alimentées dans le monde, « tout enfant qui meurt actuellement de fait est, en réalité, assassiné »… Attention aux maux d’estomac !

     Ouf, ça va mieux, il y a longtemps que je me retenais de cracher sur ces destructeurs et de déchirer le voile de l’indifférence et de la lâcheté de nos gouvernements face au lobby des exterminateurs.

     Un pacifiste a bout… de souffle.

     Gérard Wenkel - 2011

 G.W. - 2011

jeudi 26 mai 2011

Ma philosophie concernant la vente du livre

          La démosophie est un concept très vaste puisqu’il embrasse tous les aspects de la société humaine (histoire, religion, ethnie, national, international, morale, éthique, santé, éducation, Gaïa, extraterrestres, économie, politique, armes, etc.etc.). Le « premier jet », c’est écrire tout ce que l’on souhaite exprimer, à peu près dans l’ordre, et en rédigeant plus ou moins bien. Ce premier jet pour expliquer la démosophie m’a donné 850 pages, ce qui en faisait un livre illisible et sans aucune chance de commercialisation.

          Un second travail a permis de réduire ce premier jet en un livre d’environ 350 pages, et c’est peu pour définir un concept aussi « étrange » et loin des normes habituelles de gouvernement, et surtout pour le définir auprès d’une majorité fortement conditionnée à penser selon certains schémas politiques comme par exemple « la république » avec laquelle on nous bourre le crâne pour nous faire croire que c’est ce qu’il y a de mieux pour nous, que rien d’autre n’est « démocratique », etc.

          Un tel livre étant automatiquement interdit de publication, il fallait donc trouver un moyen de le faire connaître, voici quelle a été mon idée (et si quelqu’un m’offre de l’améliorer, bienvenue) .

          D’abord il fallait m’assurer de sa qualité, de son impact, et surtout être moi-même convaincu que j’étais parvenu à écrire un ouvrage qui allait « ouvrir les yeux et le cerveau » à la majorité de mes contemporains, non pas en leur offrant de nouvelles idées à suivre, mais au contraire en leur offrant un moyen de mettre en valeur les leurs propres, sachant que s’ils sont dotés d’un minimum de logique et d’humanisme, ils parviendront naturellement à des conclusions proches des miennes.

            J’ai donc édité une centaine de livres en espagnol que j’ai offert pour lecture à des gens très différents à tous niveaux (social, culturel, âge, ethnique, religieux, etc.). Puis j’ai recueilli les avis, ceux d’une jeune fille cubaine de 14 ans, d’un ami sahraoui profondément musulman, d’un ami juif assez croyant, d’un hindou, de gens très pauvres d’Uruguay, d’un allemand proche des partis nationaux de son pays, de gens aisés d’Argentine, etc. etc.

          C’est donc rassuré sur le fait que j’avais atteint mon objectif que j’ai commencé à préparer le livre en français et anglais.

          Pour sa diffusion, l’idéal serait bien sûr qu’il soit édité en grande quantité et figure en bonne place dans les librairies les plus importantes, sans doute, ce serait un succès exceptionnel. Mais sans moyens pour financer une telle édition, il ne restait plus qu’à commencer petit avec l’espoir que peu à peu (mais pas trop lentement) les premières ventes permettent de financer des éditions progressivement plus importantes, tout en développant les traductions, car cet ouvrage est universel et il est de l’intérêt de tous qu’il soit entre les mains de tous les peuples de la planète.

          Alors, pour ceux qui en ont les moyens et qui aiment les livres, qu’on conserve, qu’on feuillette, qu’on emporte pour lire dans les moments d’ennui, j’édite en petite quantité cet ouvrage que je ne peux offrir à moins de 24 euros sans perdre de l’argent.

          Pour le rendre plus accessible, je l’ai aussi mis en vente en numérique au prix de 7 euros. Cette vente se réalise par une société qui est motivée par ses bénéfices, ce qui est normal, et qui donc promotionne de plus en plus le livre au fur et à mesure de son succès, ainsi une vague d’amis à qui je l’avais demandé par mail ont acheté le livre en français, et peu après cette société le promotionnait sur le Canada et les USA, et plus cette société reçoit de commandes, et plus cela nous permet d’atteindre d’autres peuples, de financer de nouvelles traductions, etc.

          Alors, chaque fois que quelqu’un peut débourser 7 euros pour l’achat du livre numérique (ou 24 euros en papier), il acquiert bien sûr un livre que je crois qu’il considérera comme un bien précieux, mais aussi il participe à étendre ce mouvement en offrant à d’autres la possibilité d’en faire autant, car malheureusement, cette somme de 7 euros, ridicule pour certains, représente un montant inaccessible pour d’autres. Or je veux que tous puissent lire ce livre, c’est pourquoi pour ceux qui seraient gênés par cette dépense, il suffit de m’envoyer un mail sur info@demosophie.com pour demander à recevoir le pdf gracieusement.

          Voilà MA façon de voir le développement de ce livre, jusqu’à ce qu’un riche mécène s’y interesse, ou jusqu’à ce qu’un groupe de personnes dotés de quelques moyens montent une société d’édition pour le lancer, et qu’ils y trouvent en plus des bénéfices nous convient à tous parfaitement.

                             Si quelqu’un a de meilleures suggestions, je les reçois avec plaisir