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jeudi 15 août 2019

LE PACTE SECRET

Le Pacte secret
Anonyme, 21 juin 2002
Traduction française : Mai 2011


• L’illusion créée par notre pacte sera si énorme, si vaste, qu’elle échappera à leur perception.

• Ceux qui la verront passeront pour fous.

• Nous créerons des fronts séparés pour les empêcher de voir les liens qui existent entre nous. Nous nous comporterons comme si nous n’étions pas connectés pour garder l’illusion bien vivante. Nous distillerons nos objectifs au goutte à goutte pour ne pas éveiller les soupçons. Ceci les empêchera également de distinguer les changements à mesure qu’ils se produisent.

• Nous nous placerons toujours au-dessus du champ relatif de leur expérience parce que nous connaissons les secrets de l’absolu.

• Nous travaillerons toujours ensemble et demeurerons liés par le sang et le secret. La mort viendra à celui qui parlera.

• Nous ferons en sorte que leur espérance de vie soit brève et leur intellect faible tout en prétendant faire le contraire.

• Nous utiliserons notre connaissance de la science et de la technologie de manière subtile afin qu’ils ne se rendent jamais compte de rien.

• Nous utiliserons les métaux, accélérateurs de vieillissement et des sédatifs dans leur nourriture et leur eau ainsi que dans l’air.

• Ils seront entourés de poison de toutes parts.

• Les métaux occasionneront leur dégénérescence intellectuelle. Nous promettrons de trouver des traitements en nous mobilisant sur tous les fronts mais nous les empoisonnerons toujours plus.

• Lesdits poisons seront absorbés par la peau, par la bouche et détruiront leur esprit et leur système de reproduction.

• Pour toutes ces raisons, leurs enfants seront morts nés, et nous occulterons cette information.

• Les poisons seront dissimulés dans tout ce qui les entoure, dans ce qu’ils boivent, ingèrent, respirent et dans les vêtements qu’ils portent.

• Nous devons nous montrer ingénieux à cet égard car ils ont la capacité de voir loin.

• Nous leur enseignerons que les poisons sont bons en diffusant des images amusantes et des tonalités musicales.

• Ceux qu’ils respectent nous aideront car nous les enrôlerons pour faire progresser nos poisons.

• Ils verront nos produits utilisés dans des films et s’y accoutumeront sans jamais connaître leurs effets véritables.

• Dès la naissance, leurs enfants recevront des injections de poison dans le sang et nous les convaincrons que c’est pour leur bien.

• Nous commencerons quand les enfants sont tout petits, que leur esprit est jeune et nous les ciblerons avec ce que les enfants préfèrent, les sucreries.

• Lorsque leurs dents commenceront à se détériorer, nous les remplirons de métaux, ce qui détruira leur mental et anéantira leur avenir.

• Une fois leur capacité d’apprendre affectée, nous créerons des médicaments qui les rendront plus malades encore et causeront d’autres pathologies pour lesquelles nous inventerons d’autres remèdes.

• Nous les rendrons faibles et dociles par la force de notre pouvoir.

• Ils deviendront dépressifs, attardés et obèses et, quand ils viendront solliciter notre aide, nous leur donneront toujours plus de poison.

• Nous les focaliserons sur l’argent et les biens matériels pour qu’ils ne puissent jamais se relier à leur Soi intérieur. Nous les distrairons par la fornication, les plaisirs et les jeux extérieurs pour que jamais ils ne deviennent un avec le Tout.

• Leurs esprits nous appartiendront et ils feront ce que nous leur dirons. S’ils s’y refusent, nous trouverons le moyen d’implanter des technologies susceptibles d’affecter leurs perceptions.

• Nous utiliserons la peur comme une arme.

• Nous établirons leurs gouvernements ainsi que les partis d’opposition. Les deux côtés nous appartiendrons.

• Nous dissimulerons toujours nos objectifs mais notre Plan sera mené à son terme.

• Ils travailleront à notre place mais nous en récolterons les fruits.

• Nos familles ne se mélangeront pas aux leurs, notre sang doit toujours demeurer pur, car là est la formule.

• Nous les ferons s’entretuer quand cela nous conviendra.

• Nous les maintiendrons éloignés de l’Unité par le dogme et la religion.

• Nous contrôlerons tous les aspects de leurs vies et leur dirons ce qu’ils doivent penser.

• Nous les guiderons gentiment et délicatement en leur laissant croire que cela vient d’eux.

• A travers nos factions, nous fomenterons l’animosité entre eux.

• Quand une lumière brillera au milieu d’eux, nous la ferons s’éteindre par le ridicule ou par la mort, ce qui nous conviendra le mieux.

• Nous les pousserons à déchirer le cœur de leurs conjoints et à tuer leurs propres enfants.

• Pour cela, notre alliée sera la haine et la colère notre amie. La haine les aveuglera totalement et ils ne se rendront jamais compte que leurs conflits font de nous leurs dirigeants. Ils seront bien trop occupés à s’entretuer.

• Ils baigneront dans leur propre sang et tueront leurs voisins jusqu’au moment que nous considérerons propice à notre assaut.

• Nous en tirerons le plus grand bénéfice car ils ne nous verront pas, car ils ne peuvent pas nous voir.

• Leurs guerres et leurs morts nous permettront de prospérer toujours plus.

• Nous recommencerons encore et encore jusqu’à l’accomplissement de notre but ultime.

• Nous continuerons à les faire vivre dans la peur et la colère par la diffusion d’images et de sons. Nous utiliserons tous les outils dont nous disposons pour arriver à nos fins.

• Les outils nous seront fournis par leur travail.

• Nous ferons en sorte qu’ils se détestent eux-mêmes et leurs voisins.

• Nous leur cacherons toujours la vérité divine, le fait que NOUS SOMMES TOUS UN, ça ils ne doivent jamais le savoir !

• Ils ne doivent jamais découvrir que la couleur de peau n’est qu’une illusion, ils doivent toujours penser qu’ils ne sont pas égaux.

• Pas à pas, insensiblement, nous ferons avancer notre objectif.

• Nous prendrons leurs terres, leurs ressources et leurs biens, leur santé, pour exercer sur eux un contrôle total.

• Nous les abuserons en les incitant à accepter des lois qui les priveront du peu de liberté qui leur reste encore.

• Nous établirons un système monétaire qui les emprisonnera à tout jamais et les endettera eux ainsi que leurs enfants.

• Quand ils réussiront à unir leurs forces pour s’opposer à nous, nous les accuserons de crimes et présenterons au monde une histoire différente car alors tous les médias nous appartiendront.

• Nous utiliserons la presse et son sentiment en notre faveur pour contrôler le flux de l’information.

• Quand ils se soulèveront contre nous, nous les écraserons comme des insectes car ils sont encore moins que ça.

• Ils seront dans l’incapacité de faire quoi que ce soit car ils n’auront pas d’armes.

• Nous recruterons certains d’entre eux pour exécuter nos plans, nous leur promettrons la vie éternelle, mais de vie éternelle ils n’auront jamais car ils ne sont pas des nôtres.

• Les recrues se feront appeler « initiés » et elles seront endoctrinées pour croire en de faux rituels, de faux rites de passage vers de plus hautes sphères. Des membres de ces groupes penseront qu’ils sont un avec nous mais ne connaîtront jamais la vérité. Ils ne doivent jamais connaître cette vérité ou bien ils se retourneraient contre nous.

• Ils seront récompensés pour leur travail avec des biens terrestres et des titres honorifiques mais jamais ils ne deviendront immortels ni ne nous rejoindront. Jamais ils ne recevront la Lumière ni ne voyageront vers les étoiles.

• Ils n’atteindront jamais les Sphères Supérieures car les crimes commis contre des membres de leur propre espèce les empêcheront de passer au royaume de l’Illumination. Ça, ils ne le sauront jamais.

• La vérité, bien que sous leurs yeux, leur sera cachée. Elle sera si proche d’eux qu’ils ne pourront pas se focaliser sur elle et que quand ils seront enfin en mesure de la voir, il sera trop tard.

• Oh oui, la grande illusion de la liberté sera si grande, que jamais ils ne sauront qu’ils sont nos esclaves.

• Une fois que tout sera en place, la réalité que nous aurons créée pour eux les possèdera. Cette réalité sera leur prison. Ils vivront dans le déni et le refus de voir.

• Quand notre objectif sera atteint, commencera une Nouvelle Ere de Domination.

• Leurs esprits seront entravés par leurs croyances, ces croyances que nous avons établies depuis la nuit des temps.

• Mais, si jamais ils parviennent à découvrir qu’ils sont nos égaux, alors nous périrons. ILS NE DOIVENT JAMAIS SAVOIR CELA. Si jamais, ils découvrent qu’ensemble ils peuvent nous vaincre, ils agiront.


• Ils ne doivent jamais, jamais découvrir ce que nous avons fait car autrement, nous n’aurons nulle part où nous cacher. Une fois le voile tombé, il leur sera facile de voir qui nous sommes. Nos actions auront révélé qui nous sommes, ils nous traqueront et personne ne nous viendra en aide.

• Ceci est le pacte secret par lequel nous vivrons pour le reste de nos vies présentes et futures, car cette réalité transcendera de nombreuses générations et espérances de vies.

• Le pacte est scellé dans le sang, notre sang. Nous sommes ceux qui sont venus du Ciel sur la Terre.

• L’existence de ce pacte ne doit JAMAIS, JAMAIS être révélée. Il ne devra JAMAIS, JAMAIS être rédigé ou commenté car cela engendrerait une prise de conscience telle qu’elle attirerait sur nous la fureur du GRAND CREATEUR et nous serions renvoyés aux profondeurs dont nous venons pour y rester jusqu’à la fin des temps, pour l’éternité elle-même.

mardi 9 juillet 2019

DPI

Un article de Hugues Débotte, (d'après la proclamation officielle d'un "Conseil National de Transition" du 18 juin 2015)

Comment fonctionne la logique du Droit Public International (DPI) ?

La particularité du domaine du DPI, c’est qu’il est très peu pratiqué, très peu connu, et très peu appliqué. Aussi, son efficacité est handicapée par une fausse croyance : celle de sa crédibilité, parce que paraissant pour beaucoup – les ignorants croyant être des « sachants » - comme un droit anachronique et dépassé.
Or ce droit très spécial est toujours respecté dans ses mécanismes car il est le fondement de relations saines et pacifiées entre les diverses régions du monde et les entités qui les composent (États, Pays, Nations).
Pour autant c’est un droit extrêmement simple à comprendre dans les mécanismes puisqu’ils sont assez similaires à ceux des droits internes des États, Pays ou Nations.
Le DPI est le mode de traitement des conflits à nature juridique entre les peuples aux niveaux des accords (principalement les traités) qui sont signés en leur nom, envers n’importe quelle autre personne morale notamment et principalement les autres peuples.
Il ne règle pas les dysfonctionnements internes démocratiques aux pays, mais il peut soulever et conduire à la dénonciation des situations illégitimes du fait de sollicitations juridiques qui se manifestent lors d’une procédure qui concerne le pays en question.
Un plaignant contre un pays accusé d’irrégularité au regard d’un traité concernant les deux parties peut très bien dire qu’il ne reconnaît pas ceux qui prétendent le représenter, parce qu’il connaît la vérité.
Un peu comme si une entreprise de rénovation fait un mauvais travail dans votre maison, que vous découvrez que vous avez signé en fait réellement avec une autre société sans le savoir au début, et que devant le tribunal vous refusiez de traiter avec les représentants présents parce que vous savez que ce ne sont pas les vrais signataires.
Le DPI permet de gérer ce genre de situation extrême entre pays, régions, peuples.

Lorsque les instances internationales confirment l’illégitimité d’un pouvoir, il est procédé à une transition, le temps de remettre les choses en ordre et rendre la souveraineté à qui de droit. (d'où la légitimité du Conseil National de Transition depuis sa proclamation le 18 juin 2015)

Préalable juridique général et historique spécifique à la France


Durant son règne, Hugues Capet a instauré par réalisme la souveraineté du peuple, comme prima du monde réel, en binôme avec le Roi, souverain spirituel héritier du Christ. Cette répartition de la souveraineté est acquise au niveau mondial, car c’est une tradition millénaire en matière de droit.
A partir de ce moment, le Roi dépend du peuple dans bon nombre de décisions et bien que ce soit ses « sujets » il ne fait pas ce qu’il veut avec des franges entières de la population.
Preuve en a été de François 1er qui, pour se libérer de l’Empereur Charles Quint, concéda la Bourgogne sans consulter les Bourguignons, qui se rebellèrent une fois le roi libéré, et annulèrent la concession de leur territoire et leur existence.
Quelque part, Hugues Capet, le roi pauvre, fut ainsi sans doute le tout premier Démocrate qui soit. Car en définissant une telle répartition des droits, il instaura la supériorité absolue de la souveraineté du peuple tout en haut de la hiérarchie des normes, au dessus des Traités, Lois, Ordonnances, Décrets, Règlements, Circulaires, Us et Coutumes.

Autrement dit, en matière de droit public, rien n’est au dessus de la volonté exprimée du peuple.
Sur ce principe, il est donc impossible au Roi, ou au Président, ou autre représentant suprême de l’État, d’aller à l’encontre de la volonté exprimée du peuple, du fait de l’acquis de droit ancestral.
En définitive, le Droit Public International trouve sa source fondatrice dans cet héritage de la souveraineté Capétienne.
Car si un tel cas de produit, dans le cadre du DPI, il y a violation du droit de souveraineté du peuple, acte qui n’est pas prescriptible – donc dénonçable et attaquable devant les instances juridiques internationales même des siècles plus tard.
Et en effet, de tels conflits, quand bien même ils portent sur des questions au sein d’un pays, dès lors que la qualification à l’échelle extra-nationale est acquise, ce n’est pas le droit interne qui s’applique, mais celui international. Et ce, depuis toujours.
Dans le cas spécifique de la France, contrairement à la majorité des pays dans le monde, le Roi souverain symbolique n’existe plus depuis 1793.
C’est pour cette raison qu’il a été cherché à le remplacer à tout prix par un président-monarque après la seconde guerre mondiale, faisant échos à un lointain passé symbolique. Pour autant, la France a pu s’en passer de 1793 à 1805 et de 1848 à 1945. Ce n’est donc pas une fin en soi.
Les autres pays d’Europe ont un roi, le Vatican a le Pape, et les pays sans roi se sont quasiment tous constitués dès le début avec un président, ou bien une structuration particulière collégiale comme en Suisse.
La France est véritablement un cas très particulier.

Cadre légal de la problématique contemporaine Française

Lorsque le peuple a été consulté sur le référendum de l’Union Européenne en 2005, il s’est mobilisé à quasiment 70 % et a voté à quasiment 55 % contre l’adoption de ce traité. Cette consultation assez unique dans l’histoire d’un peuple induit une décision qui ne peut en aucun cas être remise en cause d’un point de vue du droit public international (DPI), sauf à procéder à une autre consultation sur la même question. Or il n’y a jamais eu de second vote, contrairement au reste de l’Europe.
Pour autant, parce que l’élite en place a considéré que des intérêts supérieurs (en fait, ceux privés) nécessitaient une adoption contraire, le pouvoir a procédé à une entourloupe en déviant la question par une adoption via les représentants du peuple. Mais, ces derniers, au regard du droit public international, ne sont les représentants que lorsque le peuple ne s’exprime pas directement.

Autrement dit, le passage en force par le traité de Lisbonne en 2008 (préalablement adopté fin 2007, validé début 2008 par les deux chambres séparément, puis ratifié en Congrès à Versailles) est purement et simplement illégal au regard, une fois encore et toujours, du DPI. 

C’est exactement le même mécanisme que pour le cas de François 1er , mais dans l’autre sens.
Dans ce contexte, à partir du moment où le traité de Lisbonne a été adopté, le régime en place, la constitution, les élus, les institutions et l’ensemble de la République sont devenus putatifs.
On entend par putatif, une situation où le contrat en cours est maintenu, même si il n’est plus valable, jusqu’à ce que le bon contrat soit mis en place.

Officieusement , depuis cette date, la France n’a en fait plus de Constitution, par l’application de l’article 16 de la déclaration de 1789, qui fait force de droit :
- Art. 16. Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n'est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n'a point de Constitution. 

Autrement dit, tant que la situation n’est pas dénoncée et attaquée juridiquement devant les instances internationales compétentes par toute entité en droit de pouvoir le faire afin de dénoncer et remettre en cause la situation, les éléments concernés sont maintenus artificiellement, jusqu’à ce qu’ils soient juridiquement invalidés, et donc remplacés par des entités légales et légitimes.
On est donc dans une situation de vide. Les institutions Française sont suspendues « en l’air », sans base solide. Et quelque part, cela légitime toute violation complémentaire des droits des citoyens Français, toute forme de pouvoir autoritaire, de la part de ceux qui savent la vérité cachée, comme c’est le cas avec le gouvernement en place depuis 2017 suite à la dernière élection présidentielle.

Le point de bascule : la Savoie (et Nice) 

En 1860, dans le traité de Turin, la Savoie – qui était autonome depuis le traité de Paris en 1815 – est concédée à la France en échange d’une neutralité de conscription militaire pour les savoyards en cas de conflit armé Français. La Suisse s’engageant à venir protéger les Savoyards si jamais ils étaient engagés malgré eux. En échange, la Savoie devenait une zone Franche économique, dans l’intérêt flagrant helvétique.
Or un demi siècle plus tard, pour la première guerre mondiale, ce traité a été bafoué puisque les Savoyards ont été appelés de force au service militaire Français pour faire la guerre, et la Suisse n’est pas intervenue pour empêcher cela, comme c’était convenu dans le traité de 1860.
Le plus triste est que les Savoyards sont ceux qui auront été mis en première ligne durant la Grande Guerre, faisant d’eux les premiers sacrifiés en chair à canon.
Dans le traité de Versailles de 1918, définissant les contours de la fin de la première guerre mondiale, un avenant est ajouté au texte, spécifiant la fin de la neutralité de la Savoie. Or il ne s’agissait que de la conscription militaire, pas la zone franche.
Pensant qu’elle pouvait établir des frontières complètes avec la Suisse, faisant fi de la question des douanes commerciales de la zone franche, la France a donc violé le traité de1860.
Du coup, la Suisse a porté plainte, et a gagné, produisant une jurisprudence en matière de violation des traités par la France. Depuis lors, même si ce statut n’a plus autant d’importance qu’à l’époque, la Savoie est sous couvert d’un statut de zone franche.
Durant la seconde guerre mondiale, Mussolini annexe la Savoie. Et en 1947, après la guerre, les choses tentent d’être remises en ordre en restituant la Savoie à la France.
Sauf que l’Italie n’a pas été jusqu’au bout de la procédure, en omettant de consigner ce transfert au près de l’ONU selon l’article 102 des statuts de celle-ci.
Du coup sans le savoir, pendant plus de 70 ans, la Savoie ne fait plus partie officieusement ni de la France, ni de l’Italie, sur le plan légal et juridique, mais est rattachée concrètement et politiquement à la France.
Si la Savoie ne se réveille que maintenant, c’est qu’elle a été plongée dans la désinformation, et qu’il lui aura aussi fallu trouver des techniciens du DPI compétents. Autant dire, un réel parcours du combattant.
Pour autant, certains étaient au courant parmi les Savoyards. Le silence des « informés » de la réalité des choses a été acheté par leur placement au sein des gouvernements et postes de la haute fonction publique, et ce depuis 72 ans (jusqu’en 2019).
Preuve en est avec Michel Barnier, qui a été ministre, et est commissaire Européen, mais aussi dans le passé Armand Louis, Sébastien Charléty (du nom du stade à Paris), Bernard Bosson, Hervé Gaymard, Joseph Fontanet, Jean-Pierre Cot, Louis Besson...

Aujourd’hui
Il se trouve que les représentants de la Savoie, constitués confidentiellement en Conseil National Savoyard, en application du droit public international (DPI) et des normes décrites par Joe Verhoeven – juriste belges spécialiste du DPI, professeur émérite à Assas Paris – décident de dénoncer la situation illégale en statu quo depuis 1947.
Car la contestation est réelle en Savoie et dans le pays de Nice (concernée par l’annexion de 1860), mais jusqu’ici, elle n’était que symbolique, de l’ordre des commémorations historiques. Rien de judiciaire.
En saisissant la CJI, la Savoie va chercher à obtenir réparation, comme la Suisse envers la France après 1918. Et elle va demander à discuter avec la France. La question sera alors posée : qui est là France ? Dans ce contexte, il sera révélé que du fait des événements de 2005-2008, le pouvoir en place n’a aucun droit de se réclamer être la France.
Emmanuel Macron n’a alors plus aucune légitimité. Il est automatiquement et juridiquement destitué de fait. Et tout l’échiquier politique du pays, tous les élus aussi. Car le DPI reconnaîtra l’infraction de 2008, la putativité des instances en place sera mise au grand jour, d’autant que l’ensemble du monde diplomatique de la planète en sera informé sous 48 heures maximum.
La Savoie discutera donc avec ceux qui sont légalement constitués à titre provisoire et de transition, qui se sont déclarés et qui sont reconnus comme tels par l’ONU depuis le 18 octobre 2015.
De fait, il est évident que les institutions permanentes que sont l’Armée, la Gendarmerie, la Police, et la Magistrature, qui incarnent et articulent l’État Français, sont la seconde clé de cette bascule.

Il est mécaniquement acquis que lorsque les autorités internationales valident la caducité du pouvoir en place, et entérinent légalement la mise en route d’un conseil national de transition afin de rendre la souveraineté au peuple, alors les institutions permanentes suivent.
La période de transition sera sous le régime de la dictature, non violente, selon une feuille de route fixée par le conseil de transition, afin d’assurer les affaires courantes et laisser le temps au peuple souverain de se constituer à nouveau.
Le logiciel est remis à zéro. Complètement à zéro.
Cet effet de dominos sera un cataclysme historique, tout aussi crucial en DPI que le furent l’instauration de la souveraineté du peuple par Hugues Capet, que l’unification des Trois Ordres des États Généraux en 1789.
Depuis la première Révolution, la France est un des rares pays Européens à ne pas avoir vraiment connu de dictature. Elle sera la seule nation à en connaître une, sans dictateur, au sens étymologique du terme, pour une période courte et de transition, pour son propre bien.

lundi 3 juin 2019

Un 14 juillet pas comme les autres !

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14 JUILLET 2018

Lors du défilé du 14 juillet 2018, les collègues du CRS Marc Granié lui ont fait un petite signe. Les militaires ont donné un avertissement à Macron




14 JUILLET 2019

Que va-t'il se passer cette année ? Un tank va tirer sur la tribune officielle ou un avion va la bombarder, ou...

le CNT sera déjà en place et le 14 juillet sera la "fête de la libération et de la réunion", où tous les Français, peuple et forces de l'ordre, festoieront ensemble ? A.jpgA.jpg