Article envoyé par Patrice Albert
Madame, Monsieur,
Imaginez que vous ayez un enfant ou un conjoint gravement malade...
Il existe un remède naturel sans danger ni effets secondaires, qui pourrait peut-être le guérir...
mais l'Union Européenne fait tout pour que vous n'en soyez pas informé.
Au contraire, les autorités vous incitent à lui administrer des médicaments chimiques aux effets secondaires potentiellement gravissimes.
Vous êtes entre leurs mains.
Ce cauchemar absurde, c'est une réalité imminente qui menace l'Europe et tous ses habitants, vous et moi y compris.
Après des années de lobbying, l'agro et la pharma-industrie sont en train de parvenir à leur but :
Un texte draconien de l'Union Européenne est sur le point de nous priver de milliers de produits de santé naturelle.
Au moment précis où se produit à l'échelle de notre continent une spectaculaire prise de conscience des ravages de la malbouffe, et de l'importance cruciale d'une alimentation riche en nutriments essentiels, pour prévenir et guérir les maladies,
Ce règlement européen, le 1924/2006/CE interdit aux fabricants de produits de santé naturelle d'informer le public des effets favorables possibles de leurs produits.
La conséquence sera non seulement que vous n'aurez plus l'information, mais ce règlement va détruire des milliers de petits producteurs, ce qui, selon toute probabilité, entraînera un effondrement de laqualité et de la diversité des produits de santé naturelle et surtout, une hausse dramatique des prix.
Les autorités chercheraient à nous maintenir dans un état de maladie – et de dépendance aux médicaments chimiques - elles ne s'y prendraient pas autrement.
Si le règlement 1924/2006/CE entre en application :
oligo-éléments, minéraux, vitamines, acides gras, acides aminés essentiels, deviendront hors de portée du plus grand nombre.
Des peines d'emprisonnement sont prévues pour les contrevenants.
C'est une offensive sans précédent contre notre droit de nous soigner librement.
Et le but est extrêmement clair :
Sécuriser des milliards d'euros de profits pour l'industrie pharmaceutique, pour les années à venir,
en obligeant les malades à recourir à leurs médicaments issus de la pétrochimie, faute d'alternative.
Mais il y a un espoir :
Depuis quelques semaines, la Commission européenne a ouvert la possibilité de remettre en cause ce règlement selon la procédure du référendum d'initiative populaire, prévue par l’article 11 du Traité de l’Union européenne, article introduit parle traité de Lisbonne.
Une coalition s'organise au niveau européen pour réunir ces signatures.
C'est un immense défi car, pour réussir, il faut en réunir un million.
Mais nous sommes 492 millions de citoyens européens et, si nous nous y mettons tous ensemble, nous pouvons y parvenir !! Aux Pays-Bas, déjà, une association a obtenu le soutien du gouvernement après avoir obtenu 25 000 signatures.
C'est pourquoi, je vous demande de signer au plus vite la pétition ci-dessous, organisée par l'Institut pour la Protection de la Santé Naturelle pour la France.
Nous nous mobilisons par ailleurs directement auprès de la Commission européenne pour lui faire entendre raison.
Mais sans la signature d'un million de citoyens européens, nous ne pourrons sans doute pas stopper la mise en application de ce règlement qui met gravement en péril notre santé, et celle des générations futures.
En quoi consiste exactement ce règlement 1924/2006/CE et pourquoi est-il si dangereux ?
Le règlement 1924/2006/CE impose une nouvelle procédure d'agrément pour les produits de santé naturelle portant des indications thérapeutiques (prévenir ou soigner des maladies) : oligo-éléments, minéraux, vitamines, acides gras, acides aminés essentiels, tous les nutriments dont notre corps a absolument besoin pour maintenir un bon état de santé sont visés.
Alors que tous ces produits étaient jusqu'à présent en vente libre, tant qu'ils ne présentaient aucun danger, l'Union Européenne a décidé d'interdire par principe toute forme d'information des consommateurs sur les bénéfices thérapeutiques à en attendre.
La seule exception concerne les indications thérapeutiques que les fonctionnaires de l'EFSA (European Food Safety Agency) auront décidé d'autoriser, de façon unilatérale et sans avoir à justifier de leurs décisions.
C'est comme si on interdisait aux vendeurs de voiture de vous dire quelle est la puissance, ou le nombre de places, des modèles qu'ils vendent. A la place, ce serait un fonctionnaire européen qui déciderait ce qu'ils ont le droit de vous dire.
Vous l'avez compris, ce nouveau règlement européen revient à mettre en les mains de quelques personnes bien placées à Bruxelles, une arme de destruction massive pour favoriser leurs « amis » de la grande industrie.
Grâce au règlement 1924/2006/CE, ce n'est plus les citoyens comme vous et moi, mais l’Union européenne qui décidera des acteurs économiques qui gagneront, grâce à des passe-droits qui leurs seront accordés, dans la plus totale opacité.
C'est le plus grand hold-up sur notre santé – et sur nos vies- qui ait jamais été réalisé.
Et pour éviter de provoquer une révolte de citoyens, l’Union Européenne agit de la façon la plus sournoise : au lieu d'interdire purement et simplement les petits producteurs, elle leur laisse la possibilité de monter des « dossiers de demandes d'allégation ».
Mais c'est encore pire : car on les oblige à
réunir des rapports d'experts, des études, des dossiers qui coûtent des dizaines de milliers d'euros, puis on
les fait attendre pendant des années (la commission spéciale met en moyenne 4 ans pour rendre ses avis), et enfin on
refuse 95 % des dossiers proposés, sans apporter la moindre justification, entraînant la faillite en masse des plus déterminés qui avaient décidé de jouer le jeu !
C'est bien simple, sur les 4640 dossiers déposés en 2008, seuls 222 ont été autorisés aujourd'hui !
L'EFSA a même interdit d'indiquer que les pruneaux ont un effet laxatif, exigeant que soient réalisés au préalable des essais cliniques impliquant des milliers de participants !!
Ce règlement revient de facto à euthanasier un des pans principaux, et des plus prometteurs, des médecines douces :
médecine cellulaire, médecine orthomoléculaire, nutrition et micro-nutrition, toutes ces nouvelles médecines fonctionnent en utilisant des nutriments ciblés.
Elles permettent de rétablir les grands équilibres de l'organisme, de façon naturelle et sans effets secondaires, contrairement aux médicaments chimiques.
Mais si nous ne réunissons pas un million de signatures en urgence, ce nouveau domaine de la médecine risque d'être tué dans l'œuf, scellant le destin des générations futures, et leur asservissement au « système de santé » officiel.
La députée européenne Michèle Rivasi a témoigné du désastre, dans les colonnes de Rue 89 :
« A ce jour, plus de 95% des dossiers d’allégations déposées pour des produits à base de plantes ont reçu un avis négatif de l’EFSA. Trop rigoureuse, calquée sur des procédures propres aux médicaments, l’EFSA prend sa décision sur très peu de données et rejette des allégations pourtant déjà autorisées dans plusieurs pays européens. »
Or, tous les produits naturels avec indications thérapeutiques qui n’auront pas l’agrément devront être retirés de la vente dès le mois de septembre 2012, dans toute l’Europe.
Le timing de ce règlement ne doit rien au hasard.
Il y a urgence en effet.
L'industrie pharmaceutique a besoin de cette directive pour conforter sa position dominante, à un moment où elle se trouve radicalement remise en cause.
Sa crédibilité a été fortement entamée par l'affaire du Vioxx, de l'Avandia, du Médiator et, maintenant du Buflomédil.
Des spécialistes parlent de dizaines, de centaines de médicaments toxiques qu'il faudrait interdire.
C'est pourquoi il est plus qu'urgent pour l'industrie pharmaceutique de nous couper toute alternative possible.
Et le nouveau règlement européen représente pour elle le Saint-Graal, qui lui garantira ses milliards de profits annuels, pour des dizaines d'années.
Indignez-vous ! Signez la pétition ci-dessous !
Ces nouvelles règles qu'ils veulent nous imposer reviennent à abolir un principe qui valait sur notre territoire depuis des siècles.
Depuis toujours, même, les aliments, les nutriments et les produits de santé naturelle pouvaient être présentés et consommés librement, sauf si bien sûr il y avait un risque qu'ils soient toxiques.
Les autorités assuraient le rôle légitime qui était le leur : protéger les consommateurs contre les éventuels dangers.
Mais l'Union Européenne prétend faire l'inverse : se servir de son pouvoir pour nous imposer les produits qu'elle veut que nous consommions.
Ce n'est pas de la paranoïa : le gouvernement du Canada, contre la volonté du peuple et du Parlement lui-même, a imposé en 2004 un système similaire à celui que l’Union européenne veut imposer.
En quelques mois, ce sont plus de 20 000 références de produits de santé naturelle qui ont disparu des rayons des boutiques bio. Le public a été obligé de se rabattre sur les quelques produits « aux normes » qui sont commercialisés, comme par hasard... par les grands groupes !
Aux Etats-Unis en revanche, les citoyens se sont massivement levés contre les abus du gouvernement, et ont obtenu en 2007 le vote de la DSHEA ( Dietary Supplement Health and Education Act )
Cette loi, qui garantit l'information transparente des consommateurs, a déclenché un bourgeonnement incroyable de l'offre de produits de santé naturelle, dont la qualité, la diversité et la disponibilité ont massivement augmenté,
tandis que les niveaux de prix baissaient de façon spectaculaire.
Prenons exemple sur les mouvements citoyens qui existent ailleurs et stoppons le règlement1924/2006/CE.
Je vous l'ai dit : il existe une nouvelle procédure de pétition auprès du Parlement européen qui permet de faire adopter des textes sur les questions qui nous préoccupent. Cette procédure est entrée en vigueur à partir du mois d’avril 2012.
Il faut se jeter sur l'occasion.
Pour cela, nous devons réunir un million de signatures en provenance de 7 pays européens différents.
C’est pourquoi je vous demande de signer la pétition de l'Institut pour la Protection de la Santé Naturelle.
Surtout envoyez ce mail à tous vos contacts dans tous les pays européens. Notre mobilisation doit être massive.
Il n'y a qu'en luttant activement pour nos droits que nous pouvons stopper l'initiative conjointe des multinationales pharmaceutiques et de l'Union européenne.
En politique, il y a un vieux dicton : « qui ne dit mot, consent ».
Si vous ne faites pas entendre votre voix en signant la pétition, les bureaucrates européens en déduiront que personne ne se soucie de leur nouveau règlement.
Ils penseront alors que cet énorme cadeau qu'ils font à l'industrie pharmaceutique n'a attiré l'attention, ni l'indignation, de personne.
Alors s'il vous plaît, exprimez-vous, car maintenant, c’est le moment de vérité.
Et après avoir signé votre pétition, transférez ce message à toutes les personnes que vous connaissez.
Dites-leur qu’il est temps d’agir.
Il n’y a vraiment pas de temps à perdre.
Un grand merci.
Nous vous tiendrons informé des suites de notre démarche.
Augustin de Livois
Président de l'Institut pour la Protection de la Santé Naturelle
Les remèdes naturels que l'Union Européenne et
les multinationales pharmaceutiques
veulent vous interdire
les multinationales pharmaceutiques
veulent vous interdire
Madame, Monsieur,
Imaginez que vous ayez un enfant ou un conjoint gravement malade...
Il existe un remède naturel sans danger ni effets secondaires, qui pourrait peut-être le guérir...
mais l'Union Européenne fait tout pour que vous n'en soyez pas informé.
Au contraire, les autorités vous incitent à lui administrer des médicaments chimiques aux effets secondaires potentiellement gravissimes.
Vous êtes entre leurs mains.
Ce cauchemar absurde, c'est une réalité imminente qui menace l'Europe et tous ses habitants, vous et moi y compris.
Après des années de lobbying, l'agro et la pharma-industrie sont en train de parvenir à leur but :
Un texte draconien de l'Union Européenne est sur le point de nous priver de milliers de produits de santé naturelle.
Au moment précis où se produit à l'échelle de notre continent une spectaculaire prise de conscience des ravages de la malbouffe, et de l'importance cruciale d'une alimentation riche en nutriments essentiels, pour prévenir et guérir les maladies,
Ce règlement européen, le 1924/2006/CE interdit aux fabricants de produits de santé naturelle d'informer le public des effets favorables possibles de leurs produits.
La conséquence sera non seulement que vous n'aurez plus l'information, mais ce règlement va détruire des milliers de petits producteurs, ce qui, selon toute probabilité, entraînera un effondrement de laqualité et de la diversité des produits de santé naturelle et surtout, une hausse dramatique des prix.
Les autorités chercheraient à nous maintenir dans un état de maladie – et de dépendance aux médicaments chimiques - elles ne s'y prendraient pas autrement.
Si le règlement 1924/2006/CE entre en application :
oligo-éléments, minéraux, vitamines, acides gras, acides aminés essentiels, deviendront hors de portée du plus grand nombre.
Des peines d'emprisonnement sont prévues pour les contrevenants.
C'est une offensive sans précédent contre notre droit de nous soigner librement.
Et le but est extrêmement clair :
Sécuriser des milliards d'euros de profits pour l'industrie pharmaceutique, pour les années à venir,
en obligeant les malades à recourir à leurs médicaments issus de la pétrochimie, faute d'alternative.
Mais il y a un espoir :
Depuis quelques semaines, la Commission européenne a ouvert la possibilité de remettre en cause ce règlement selon la procédure du référendum d'initiative populaire, prévue par l’article 11 du Traité de l’Union européenne, article introduit parle traité de Lisbonne.
Une coalition s'organise au niveau européen pour réunir ces signatures.
C'est un immense défi car, pour réussir, il faut en réunir un million.
Mais nous sommes 492 millions de citoyens européens et, si nous nous y mettons tous ensemble, nous pouvons y parvenir !! Aux Pays-Bas, déjà, une association a obtenu le soutien du gouvernement après avoir obtenu 25 000 signatures.
C'est pourquoi, je vous demande de signer au plus vite la pétition ci-dessous, organisée par l'Institut pour la Protection de la Santé Naturelle pour la France.
Nous nous mobilisons par ailleurs directement auprès de la Commission européenne pour lui faire entendre raison.
Mais sans la signature d'un million de citoyens européens, nous ne pourrons sans doute pas stopper la mise en application de ce règlement qui met gravement en péril notre santé, et celle des générations futures.
En quoi consiste exactement ce règlement 1924/2006/CE et pourquoi est-il si dangereux ?
Le règlement 1924/2006/CE impose une nouvelle procédure d'agrément pour les produits de santé naturelle portant des indications thérapeutiques (prévenir ou soigner des maladies) : oligo-éléments, minéraux, vitamines, acides gras, acides aminés essentiels, tous les nutriments dont notre corps a absolument besoin pour maintenir un bon état de santé sont visés.
Alors que tous ces produits étaient jusqu'à présent en vente libre, tant qu'ils ne présentaient aucun danger, l'Union Européenne a décidé d'interdire par principe toute forme d'information des consommateurs sur les bénéfices thérapeutiques à en attendre.
La seule exception concerne les indications thérapeutiques que les fonctionnaires de l'EFSA (European Food Safety Agency) auront décidé d'autoriser, de façon unilatérale et sans avoir à justifier de leurs décisions.
C'est comme si on interdisait aux vendeurs de voiture de vous dire quelle est la puissance, ou le nombre de places, des modèles qu'ils vendent. A la place, ce serait un fonctionnaire européen qui déciderait ce qu'ils ont le droit de vous dire.
Vous l'avez compris, ce nouveau règlement européen revient à mettre en les mains de quelques personnes bien placées à Bruxelles, une arme de destruction massive pour favoriser leurs « amis » de la grande industrie.
Grâce au règlement 1924/2006/CE, ce n'est plus les citoyens comme vous et moi, mais l’Union européenne qui décidera des acteurs économiques qui gagneront, grâce à des passe-droits qui leurs seront accordés, dans la plus totale opacité.
C'est le plus grand hold-up sur notre santé – et sur nos vies- qui ait jamais été réalisé.
Et pour éviter de provoquer une révolte de citoyens, l’Union Européenne agit de la façon la plus sournoise : au lieu d'interdire purement et simplement les petits producteurs, elle leur laisse la possibilité de monter des « dossiers de demandes d'allégation ».
Mais c'est encore pire : car on les oblige à
réunir des rapports d'experts, des études, des dossiers qui coûtent des dizaines de milliers d'euros, puis on
les fait attendre pendant des années (la commission spéciale met en moyenne 4 ans pour rendre ses avis), et enfin on
refuse 95 % des dossiers proposés, sans apporter la moindre justification, entraînant la faillite en masse des plus déterminés qui avaient décidé de jouer le jeu !
C'est bien simple, sur les 4640 dossiers déposés en 2008, seuls 222 ont été autorisés aujourd'hui !
L'EFSA a même interdit d'indiquer que les pruneaux ont un effet laxatif, exigeant que soient réalisés au préalable des essais cliniques impliquant des milliers de participants !!
Ce règlement revient de facto à euthanasier un des pans principaux, et des plus prometteurs, des médecines douces :
médecine cellulaire, médecine orthomoléculaire, nutrition et micro-nutrition, toutes ces nouvelles médecines fonctionnent en utilisant des nutriments ciblés.
Elles permettent de rétablir les grands équilibres de l'organisme, de façon naturelle et sans effets secondaires, contrairement aux médicaments chimiques.
Mais si nous ne réunissons pas un million de signatures en urgence, ce nouveau domaine de la médecine risque d'être tué dans l'œuf, scellant le destin des générations futures, et leur asservissement au « système de santé » officiel.
La députée européenne Michèle Rivasi a témoigné du désastre, dans les colonnes de Rue 89 :
« A ce jour, plus de 95% des dossiers d’allégations déposées pour des produits à base de plantes ont reçu un avis négatif de l’EFSA. Trop rigoureuse, calquée sur des procédures propres aux médicaments, l’EFSA prend sa décision sur très peu de données et rejette des allégations pourtant déjà autorisées dans plusieurs pays européens. »
Or, tous les produits naturels avec indications thérapeutiques qui n’auront pas l’agrément devront être retirés de la vente dès le mois de septembre 2012, dans toute l’Europe.
Le timing de ce règlement ne doit rien au hasard.
Il y a urgence en effet.
L'industrie pharmaceutique a besoin de cette directive pour conforter sa position dominante, à un moment où elle se trouve radicalement remise en cause.
Sa crédibilité a été fortement entamée par l'affaire du Vioxx, de l'Avandia, du Médiator et, maintenant du Buflomédil.
Des spécialistes parlent de dizaines, de centaines de médicaments toxiques qu'il faudrait interdire.
C'est pourquoi il est plus qu'urgent pour l'industrie pharmaceutique de nous couper toute alternative possible.
Et le nouveau règlement européen représente pour elle le Saint-Graal, qui lui garantira ses milliards de profits annuels, pour des dizaines d'années.
Indignez-vous ! Signez la pétition ci-dessous !
Ces nouvelles règles qu'ils veulent nous imposer reviennent à abolir un principe qui valait sur notre territoire depuis des siècles.
Depuis toujours, même, les aliments, les nutriments et les produits de santé naturelle pouvaient être présentés et consommés librement, sauf si bien sûr il y avait un risque qu'ils soient toxiques.
Les autorités assuraient le rôle légitime qui était le leur : protéger les consommateurs contre les éventuels dangers.
Mais l'Union Européenne prétend faire l'inverse : se servir de son pouvoir pour nous imposer les produits qu'elle veut que nous consommions.
Ce n'est pas de la paranoïa : le gouvernement du Canada, contre la volonté du peuple et du Parlement lui-même, a imposé en 2004 un système similaire à celui que l’Union européenne veut imposer.
En quelques mois, ce sont plus de 20 000 références de produits de santé naturelle qui ont disparu des rayons des boutiques bio. Le public a été obligé de se rabattre sur les quelques produits « aux normes » qui sont commercialisés, comme par hasard... par les grands groupes !
Aux Etats-Unis en revanche, les citoyens se sont massivement levés contre les abus du gouvernement, et ont obtenu en 2007 le vote de la DSHEA ( Dietary Supplement Health and Education Act )
Cette loi, qui garantit l'information transparente des consommateurs, a déclenché un bourgeonnement incroyable de l'offre de produits de santé naturelle, dont la qualité, la diversité et la disponibilité ont massivement augmenté,
tandis que les niveaux de prix baissaient de façon spectaculaire.
Prenons exemple sur les mouvements citoyens qui existent ailleurs et stoppons le règlement1924/2006/CE.
Je vous l'ai dit : il existe une nouvelle procédure de pétition auprès du Parlement européen qui permet de faire adopter des textes sur les questions qui nous préoccupent. Cette procédure est entrée en vigueur à partir du mois d’avril 2012.
Il faut se jeter sur l'occasion.
Pour cela, nous devons réunir un million de signatures en provenance de 7 pays européens différents.
C’est pourquoi je vous demande de signer la pétition de l'Institut pour la Protection de la Santé Naturelle.
Surtout envoyez ce mail à tous vos contacts dans tous les pays européens. Notre mobilisation doit être massive.
Il n'y a qu'en luttant activement pour nos droits que nous pouvons stopper l'initiative conjointe des multinationales pharmaceutiques et de l'Union européenne.
En politique, il y a un vieux dicton : « qui ne dit mot, consent ».
Si vous ne faites pas entendre votre voix en signant la pétition, les bureaucrates européens en déduiront que personne ne se soucie de leur nouveau règlement.
Ils penseront alors que cet énorme cadeau qu'ils font à l'industrie pharmaceutique n'a attiré l'attention, ni l'indignation, de personne.
Alors s'il vous plaît, exprimez-vous, car maintenant, c’est le moment de vérité.
Et après avoir signé votre pétition, transférez ce message à toutes les personnes que vous connaissez.
Dites-leur qu’il est temps d’agir.
Il n’y a vraiment pas de temps à perdre.
Un grand merci.
Nous vous tiendrons informé des suites de notre démarche.
Augustin de Livois
Président de l'Institut pour la Protection de la Santé Naturelle
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