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samedi 21 juillet 2012

Manipulation mentale. Programme Monarch

La programmation Monarque est une méthode de contrôle mental utilisée par de nombreuses organisations pour des raisons de « secret défense ». C’est la suite du programme MK Ultra, programme de contrôle mental développé par la CIA, et testé sur des militaires et des civils. Les méthodes sont étonnamment sadiques (son unique but étant de traumatiser la victime) et les résultats attendus sont horribles : La création d’un esclave contrôlé mentalement qui peut être déclenché à distance n’importe quand pour effectuer un acte demandé par le manipulateur. Alors que les mass médias passent ce fait sous silence, plus de deux millions d’américains ont traversé les horreurs de ce programme. Cet article examine les origines de la programmation Monarque et certaines de ces méthodes et symboles.

Avertissement :

Cet article contient des informations perturbantes qui pourraient déclencher une réaction chez des survivants du programme Monarque (et j'ajouterai, chez n'importe quel lecteur...)
La programmation Monarque est une technique de contrôle mental comprenant des éléments de sévices de rituels sataniques et du Désordre de Personnalités Multiples (DPM). Il utilise une combinaison de psychologie, de neuroscience et de rituels occultes pour créer chez les esclaves une personnalité dénaturée qui peut être programmée et déclenchée par les manipulateurs. Les esclaves Monarque sont utilisés par plusieurs organisations reliées au monde des « élites » dans des domaines tels que l’armée, l’esclavage sexuel et l’industrie du divertissement. Cet article va examiner les origines de la programmation Monarch, ses techniques et son symbolisme.

Les origines

A travers l’histoire, plusieurs comptes-rendus ont été faits sur des rituels et pratiques ressemblant au contrôle mental. Un des premiers écrits faisant référence à l’utilisation de l’occultisme pour manipuler le mental peut être trouvé dans le « Livre des Morts » égyptien. C’est une compilation de rituels, qui sont très étudiés par les sociétés secrètes d’aujourd’hui, décrivant les méthodes de torture et d’intimidation (pour créer des traumatismes), l’utilisation de drogues et de formules magiques (hypnotisme), donnant au final une mise en esclavage total de l’initié. D’autres éléments attribués à la magie noire, la sorcellerie et la possession démoniaque (où la victime est animée par une force extérieure) sont aussi les ancêtres de la programmation Monarque.
Cependant, c’est au cours du vingtième siècle que le contrôle mental est devenu une science dans le sens moderne du terme, quand des milliers de sujets ont été de manière systématique observés, répertoriés et sujets à des expériences.
Une des premières études méthodiques sur le contrôle mental basé sur les traumatismes fut menée par Joseph Mengele, un médecin travaillant dans les camps de concentration nazis. Il a d’abord atteint la notoriété comme médecins SS supervisant la sélection des nouveaux prisonniers, déterminant qui devait être tué et qui devait devenir un travailleur forcé. Cependant, il est surtout connu pour avoir fait des expériences macabres sur les détenus, dont des enfants, par lesquels Mengele était appelé « l’Ange de la Mort »
Joseph Mengele, 1935

Mengele est tristement célèbre pour ses expériences humaines sordides sur les prisonniers des camps de concentration, surtout sur les jumeaux. Une partie de son travail est cependant rarement mentionnée, et c'est sa recherche sur le contrôle mental. La plupart de ses travaux dans ce domaine ont été confisqués par les alliés et ils sont toujours confidentielles à l’heure actuelle.

DR GREEN (Dr Joseph Mengele) '' Le programmeur le plus significatif, peut être pourrait-on lui donner le titre de père de la programmation Monarch, fut Joseph Mengele, (''Dr Green'') un ex-médecin des camps de concentration nazis. Des milliers d’esclaves aux États-Unis, dont l’esprit est contrôlé par le programme Monarque, ont eu le ''Dr Green'' comme programmeur en chef.''

''Le Dr Mengele de triste mémoire à Auschwitz fut le principal développeur des programmes de contrôle mental Monarch basés sur le traumatisme et des programmes MK Ultra de la CIA. Mengele et environ 5 000 autres haut dignitaires nazis ont été envoyés en secret aux Etats Unis et en Amérique du Sud à la fin de la deuxième guerre mondiale lors d’une opération désignée sous le nom de « Paperclip » (''trombone''). Les nazis ont continué leur travail de développement du contrôle mental et de leurs technologies sur les fusées dans des bases militaires souterraines secrètes. La seule chose dont on nous a parlé a été le travail sur la technologie des fusées par des vedettes comme Werner von BRAUN. Les tueurs, bourreaux et mutilateurs d’êtres humains innocents étaient soigneusement hors de vue, mais bien occupés dans des installations souterraines militaires qui devenaient progressivement le domicile de milliers et de milliers d’enfants américains kidnappés dans les rues (environ un million par an) et placés dans des cages avec des barreaux de fer, entassés du sol au plafond servant à « l'entraînement ». Ces enfants seront utilisés pour peaufiner et perfectionner les technologies de contrôle mental de Mengele. Certains enfants sélectionnés (au moins ceux qui survivaient à « l'entraînement ») devenaient de futurs esclaves du contrôle mental qui seraient utilisés pour des milliers d’emplois différents allant de l’esclavage sexuel à des assassinats. Une part substantielle de ces enfants qui étaient considérés comme facilement remplaçables, étaient intentionnellement tués sauvagement devant (et par) les autres enfants afin de traumatiser les stagiaires sélectionnés et les rendre « conformes » et soumis.
Les recherches de Mengele servirent de base pour le programme de recherche secret et illégal de la CIA nommé MK-ULTRA.

MK-ULTRA



Document déclassifié « MK-ULTRA »

Le projet MK-ULTRA s’est déroulé globalement du début des années 50 jusqu’à la fin des années 60, en utilisant comme cobayes des citoyens américains et canadiens. Les preuves publiées indiquent que le Projet MK-ULTRA impliquait l’utilisation de nombreuses méthodologies pour manipuler l’état mental des individus et altérer les fonctions cérébrales, comme l’administration discrète de drogues et autres produits chimiques, la privation sensorielle, l’isolation et les sévices verbaux et physiques.
Les expériences conduites par MK-ULTRA les plus connues, sont l’administration de LSD sur des sujets humains ne se doutant de rien, dont des employés de la CIA, du personnel militaire, des docteurs, d’autres agents gouvernementaux, des prostituées, des malades mentaux, et des membres du public afin d’étudier leurs réactions.
Cependant, l’étendue de l’action de MK-ULTRA ne s’arrête pas là. Des expériences incluant des électrochocs violents, de la torture physique et mentale et des sévices ont été utilisés de manière systématique sur de nombreux sujets dont des enfants.

Photo rendue accessible d’un jeune sujet MK-ULTRA en 1961 

(Inscription au-dessus de la photo : enfant féminin de 8 à 10 ans qui suite à une période de 6 mois de LSD, torture, électrochocs et privation sensorielle a le cerveau d’un nouveau né. De chaque côté de la fillette figure une affiche avec : ''Filtrer les urines'')
Bien que les buts avoués du projet étaient de développer des méthodes de torture et d’interrogatoire qui seraient utilisées sur les ennemis du pays, certains historiens ont affirmé que le projet avait pour but de créer des « candidats Mandchoue », (d'après le titre du film du même nom) programmés pour commettre des actes variés tels que des assassinats ou autres missions secrètes.
MK-ULTRA a été mis en lumière par différentes commissions dans les années 70, dont la Commission Rockefeller en 1975. Bien qu’il ait été revendiqué que la CIA avait arrêté de telles expériences après ces commissions, certains lanceurs d’alertes sont venus témoigner que le projet était simplement entré dans la clandestinité et que la Programmation Monarque était le successeur caché de MK-ULTRA.
La déclaration la plus incriminante à ce jour faite par un membre du gouvernement concernant l’existence possible du Projet Monarque a été obtenue par Anton Chaitkin, un journaliste du « The New Federalist ». Quand la question a été posée directement à l’ancien directeur de la CIA William Colby « Et Monarque » ?, il a répondu en colère et de manière ambigüe : « Nous avons arrêté cela entre la fin des années 60 et le début des années 70. »

La programmation Monarque

Bien que l’existence de la programmation Monarque n’ait jamais été officiellement admise, des chercheurs éminents ont décrit l’utilisation systématique de traumatismes sur des sujets dans un but de contrôle mental. Certains survivants, avec l’aide de thérapeutes dévoués ont pu se déprogrammer et ensuite révéler les horribles détails de leurs épreuves.
Les esclaves Monarque servent essentiellement à des organisations utilisant des ''pigeons'' pour faire des missions spécifiques, qui ne discutent pas les ordres, qui ne se rappellent pas de ce qu’ils ont fait, et s’ils sont découverts, qui vont automatiquement se suicider. Ce sont les parfaits boucs émissaires pour des assassinats de haut niveau, les candidats idéals pour la prostitution, l’esclavage, et la production de films privés. Ils sont aussi les marionnettes parfaites de l’industrie du divertissement.
''Ce que je peux dire c’est que je pense maintenant que la programmation par rituels et abus sexuels est très répandue, qu'elle est systématique, très organisée à partir d’information hautement ésotériques publiées nulle part, qu'on ne l'a vue dans aucun livre ou émission télévisée, qu'on trouve partout dans ce pays et au moins dans un pays étranger.
Les gens disent “quel est son but ?” A mon avis, ils veulent une armée de candidats Mandchoue, des dizaines de milliers de robots mentaux qui se prostitueront, feront des films, de la contrebande de drogues, de la contrebande d’armes au niveau international, et toutes sortes d’activités très lucratives, et feront ce qu’on leur demande et les mégalomaniaques qui sont au sommet, croient réellement qu’ils ont créé un ordre satanique qui dominera le monde. »
Les programmeurs Monarque provoquent un traumatisme intense aux sujets à l'aide d’électrochocs, de torture, d’abus et de jeux psychologiques afin de les forcer à se dissocier de la réalité- réponse naturelle de certaines personnes soumises à une douleur intolérable. L’habileté du sujet à se dissocier est une exigence majeure et on la trouve plus facilement chez des enfants qui viennent de famille ayant abusé d'eux depuis plusieurs générations. La dissociation mentale permet aux manipulateurs de créer des personnalités transparentes au niveau de la psyché pouvant ainsi être programmées et déclenchées à volonté.
'
'La programmation d’un contrôle mental sur les traumatismes peut être définie comme une torture systématique qui bloque la capacité de la victime à traiter consciemment l'information (par la douleur, la terreur, les drogues, l’illusion, la privation sensorielle, la sur-stimulation, la privation d’oxygène, le froid , la chaleur, la manipulation , la stimulation cérébrale, et souvent, la ''presque-mort''), et ensuite utilise la suggestion et/ou un conditionnement classique et opératif (en accord avec des principes de modification du comportement bien établis) pour implanter des identités, obligeant la victime à faire, ressentir, penser ou percevoir les choses pour le bénéfice du programmeur. L’objectif est que la victime suive des directives sans en être consciente, et même effectue des actes violant les principes moraux, les convictions spirituelles et la volonté de la victime.
Mettre en place une programmation de contrôle mental repose sur la capacité de la victime de se dissocier, ce qui permet de créer de nouveaux personnalités transparentes pour ''conserve'' et ''cacher'' la programmation. Les enfants dissociés sont déjà des 'candidats' de premier choix pour la programmation.''
Le contrôle mental Monarque est secrètement utilisé par différents groupes et organisations pour des buts variés. D’après Fritz Springmeier, ces groupes sont connus comme étant « Le Réseau » et forme l’épine dorsale du NOM.

Les origines du nom

Le contrôle mental Monarque tient son nom du papillon "monarque" – un insecte qui commence sa vie en tant que ver (représentant le potentiel non développé) et qui après une période dans un cocon (programmation) renaît en un beau papillon (esclave Monarque). Des caractéristiques spécifiques du papillon Monarque sont également applicables au contrôle mental.
''Une des raisons principales pour laquelle le programme de contrôle mental Monarque a été nommé programme Monarch vient du papillon Monarque. Le papillon Monarque apprend où il est né (ses racines) et il fait suivre cette connaissance par la voie de la génétique à ses descendants (de génération en génération). C’est un des animaux qui a enseigné les scientifiques sur une connaissance transmise génétiquement. Le programme Monarque est basé sur les buts Illuminati et nazis de créer une race maîtresse, en partie grâce à la génétique. Si des connaissances peuvent être transmises génétiquement (c’est le cas), il est important de trouver des parents qui puissent passer les connaissances correctes aux victimes qui seront sélectionnées pour le contrôle mental Monarque.''
''Quand une personne subit un traumatisme induit par électrochoc, elle témoigne d'une sensation d'étourdissement; comme si elle flottait ou volait comme un papillon. Il y a aussi une représentation symbolique concernant la transformation ou la métamorphose de ce bel insecte : de la chenille au cocon (dormance, inactivité), puis au papillon (nouvelle création) qui retournera à son point d’origine. Tel est le schéma migratoire qui rend cette espèce unique.''

Méthode

La victime/survivant est appelée “esclave'' par le programmeur, qui à son tour est perçu par elle comme « maître » ou « dieu ». Environ 75% sont des femmes, puisqu'elles possèdent un seuil de tolérance à la douleur plus élevé et ont tendance à se dissocier plus facilement que les hommes. Les manipulateurs Monarque recherchent dans la psyché du sujet les compartiments de personnalités multiples et séparées en utilisant un traumatisme pour causer la dissociation.
Voici une liste partielle de ces formes de torture :
1. Abus sexuels et torture
2. Emprisonnement dans des boîtes, cages, cercueils, etc.. Enterré(e) vivant(e)(souvent avec une ouverture ou un tuyau pour l’oxygène)
3. Contention avec des cordes, des chaînes, des menottes, etc…
4. Quasi-noyade
5. Extrême chaleur et froid, incluant une immersion dans de l’eau glacée et des produits chimiques brûlants
6. Scalp de la peau (seules les couches superficielles de la peau sont enlevées aux victimes que l’ont veut laisser survivre)
7. Faire tourner les gens comme des toupies
8. Lumière qui aveugle
9. Choc électrique
10. Ingestion forcée de liquides et de matières corporelles offensantes, tel que du sang, de l’urine , des fécès, de la chair, etc…
11. Pendaison dans des positions douloureuses ou la tête en bas
12. La faim et la soif
13. Privation de sommeil
14. Compression avec des poids et des instruments.
15. La privation sensorielle
16. Drogues pour créer une illusion, de la confusion et de l’amnésie, souvent données par injection sous-cutanée ou par intraveineuse.
17. Faire ingérer ou par voie intraveineuse des produits chimiques toxiques (même des agents de chimiothérapie) pour créer une douleur ou une maladie.
18. Membres étirés ou disloqués
19. Application de serpents, d’araignées, asticots, rats, et autres animaux pour induire peur et dégoût.
20. Expériences aux frontières de la mort, le plus souvent asphyxie par étranglement ou noyade, avec réanimation immédiate.
23. Obligation de commettre ou d'être témoins d’abus sexuels, de torture et de sacrifice de personnes et d’animaux, habituellement avec des couteaux.
24. Participation forcée à un esclavage.
25. Abus sexuels pour provoquer une grossesse; le fœtus est ensuite avorté pour usage rituel, ou le bébé est sacrifié ou devient esclave.
26. Violences spirituelles pour que la victime se sente possédée, harcelée et contrôlée intérieurement par des esprits ou des démons.
27. Profanation des croyances judéo-chrétiennes et des formes de cultes; engagement à Satan ou autres déités
28. Abus sexuels et faire croire aux victimes que Dieu est malfaisant, comme convaincre une enfant que Dieu a abusé d’elle
29. Chirurgie pour torturer, faire des expériences ou causer la perception d'explosions physiques ou spirituelles (?) ou implants.
30. Dommages ou menaces de dommages causés à la famille, aux amis, à ceux qu'on aime, aux animaux de compagnie et autres victimes pour rendre complaisant.
  31 . Utilisation d’illusions et de réalités virtuelles pour semer la confusion et créer des révélations non crédibles.
La base de la réussite du programme Monarque consiste en ce que différentes personnalités ou parties de personnalités qu'on appelle ''dissociées'' peuvent être crées et ne pas se reconnaître mutuellement mais qui peuvent prendre possession du corps à des moments différents. Les murs d’amnésies construits par traumatisme, forment un bouclier de secret protecteur, quiempêchent de repérer les tyrans et empêche les personnalités de façade qui gèrent le corps la plupart du temps, de prendre conscience du système. Les personnalités dissociées de façade peuvent être de bons chrétiens et les personnalités profondément dissociées peuvent être les pires monstres sataniques qu'on puisse imaginer – un effet Dr Jekyll et Mr Hyde. L'enjeu est important de conserver secrète l’agence d’espionnage ou le groupe occulte qui contrôle l’esclave. Le taux de succès de ce type de programmation est élevé, mais en cas d'échec, la mort le résout. Chaque traumatisme et chaque torture servent un but. Un grand nombre d’expériences et de recherches ont servi à déterminer ce qui peut être fait ou non. Des graphiques ont été établis pour montrer quelle torture peut subir sans mourir un corps en fonction de son poids et de son âge.
''Suite aux traumatismes sévères, aux abus sexuels et autres méthodes, le mental se fragmente en personnalités multiples à partir de son centre. Auparavant appelé Trouble de Personnalités Multiples, il est maintenant appelé Trouble d'Identités Dissociées et il constitue la base de la programmation Monarque. Le conditionnement de la victime est renforcé ensuite par de l’hypnose, une coercition à double contrainte, des inversions plaisir-douleur, l'alimentation, la boisson, la privation de sommeil et sensorielle, ainsi que des drogues variées qui altèrent certaines fonctions cérébrales.''
Une dissociation est ainsi obtenue en traumatisant le sujet, par des abus sexuels systématiques et des rituels occultes terrifiants. Une fois qu’une rupture est obtenue au coeur de la personnalité, un ''monde intérieur'' peut être créé, et les personnalités dissociéespeuvent être programmées en utilisant de la musique, des films (surtout les productions Disney) et des contes de fées. Ces aides visuelles et auditives renforcent le processus de programmation en utilisant des images, des symboles, des significations et des concepts. Les personnalités dissociées peuvent être contactées par l'usage de mots déclencheurs ou de symboles programmés par le manipulateur dans la psyché du sujet. Les images intérieures vues le plus souvent par les esclaves du contrôle mental sont des arbres, l’arbre Cabalistique de la Vie, des boucles sans fin, des symboles et des lettres anciens, des toiles d’araignée, des miroirs, des verres brisés, des masques, des châteaux, des labyrinthes, des démons, des papillons, des sabliers, des réveils et des robots. Ces symboles sont communément insérés dans les films et vidéos populairepour deux raisons : désensibiliser la majorité de la population, en utilisant une programmation subliminale et neuro-linguistique et construire délibérément des déclencheurs spécifiques et donner des clés pour une programmation de base chez les enfants Monarque hautement impressionnables. Certains des films utilisés pour la programmation sont Le Magicien d’Oz , Alice au pays des MerveillesPinocchio et La Belle au Bois Dormant.

Le film “Le Magicien d’Oz “ est utilisé par les manipulateurs Monarque pour programmer leurs esclaves. Les symboles et significations du film deviennent des déclencheurs dans le mental de l’esclave en permettant un accès facile au manipulateur. Dans la culture populaire, des références voilées à la programmation Monarque utilisent souvent des analogies avec Le Magicien d’Oz etAlice au pays des Merveilles.
Dans chaque cas, l’esclave reçoit une interprétation particulière de l’histoire du film afin de renforcer sa programmation. Par exemple, un esclave regardant « Le Magicien d’Oz » apprend que « quelque part par-dessus de l’arc-en-ciel » (''Somewhere OverThe Rainbow''chanson bien connue, est tiré de ce film) il y a « le pays du bonheur » où doivent aller les esclaves du traumatisme dissociatif pour d’échapper à la douleur insupportable qui leur est infligée. En utilisant le film, les programmeurs encouragent les esclaves à aller « au-delà de l’arc-en-ciel » et à se dissocier, séparant ainsi leur esprit de leur corps.
''Comme mentionné ci-dessus l’hypnotiseur trouvera les enfants plus faciles à hypnotiser en sachant bien s’y prendre avec de jeunes enfants. Une méthode efficace est de dire aux petits enfants, ''Imagine que tu regardes un programme de télévision que tu aimes''. C’est pourquoi les films et autres émissions de Disney sont importants pour les programmeurs. Ils sont les parfaits outils hypnotiques pour faire dissocier le mental de l’enfant dans la bonne direction. Les programmeurs ont utilisés depuis le début des films pour aider les enfants à apprendre les textes à effet hypnotiqueIls ont besoin que les enfants fassent partie du processus hypnotique. Si l’hypnotiseur permet à l’enfant de se faire ses propres images, les suggestions hypnotiques seront plus fortes. Plutôt que de dire à l’enfant la couleur d’un chien, le programmeur peut le lui demander. C’est là que les livres et les films montrés à l’enfant aident à conduire son esprit dans la bonne direction. Si l’hypnotiseur parle à l’enfant, il doit prendre des précautions supplémentaires afin de ne pas changer la tonalité de sa voix et avoir des transitions douces. La plupart des films de Disney sont utilisés pour faire des programmations. Certains sont faits spécialement pour le contrôle mental.''

Niveaux de programmation Monarque

Les niveaux de programmation Monarque identifient les ''fonctions'' de l’esclave et sont nommés d’après les ondes cérébrales de l'électroencéphalogramme (EEG) qui leur sont associés.

Les types d’ondes cérébrales de l’EEG
 

Les ondes cérébrales sont captées à travers le cuir chevelu
Que ce soit un programme général ou habituel 
ALPHA est le contrôle de base de la personnalité. Il est caractérisé par une mémoire très prononcée, et une augmentation substantielle de la force physique et de l’acuité visuelle. La programmation Alpha est accomplie en subdivisant délibérément la personnalité des victimes ce qui, par essence, entraîne une division cerveau droit/cerveau gauche , permettant une union programmée gauche et droite par stimulation d’une voie neuronale.
BETA se rapporte à une programmation ''sexuelle'' (esclaves). Cette programmation élimine toutes les convictions morales apprises et stimulent l’instinct primitif, sans inhibitions. Des altérations « de type chat » peuvent se manifester à ce niveau. Connue comme programmation « chaton », c’est le type de programmation la plus visible et des célébrités féminines, des top modèles, des actrices et des chanteuses ont été soumis à ce type de programmation. Dans la culture populaire, s’habiller avec des imprimés félins signe souvent une programmation « chaton ».
DELTA est connu comme la programmation du « tueur » et a été développé à l’origine pour former des agents spéciaux ou des soldats d’élite( Delta Force, First Earth Battalion, Mossad,etc..) dans des opérations de couverture. Décharges d’adrénaline optimales et agression contrôlée sont évidentes. Les sujets sont sans peur et remplissent très systématiquement leur devoir. Les instructions d’autodestruction et de suicides se superposent à ce niveau.
THETA Considéré comme programmation psychique. Les lignées de sang (ceux qui viennent de lignées sataniques multi-générationnelles) voulaient montrer leur meilleure propension pour des capacités psychiques que ceux qui ne viennent pas de ces lignées. En raison de limites évidentes, plusieurs formes de systèmes de contrôle mental électroniques ont été cependantdéveloppées et introduites, à savoir des implants cérébraux, des lasers à énergie directe utilisant des micro ondes et/ou des ondes électromagnétiques. On dit qu'ils sont utilisés conjointement avec des ordinateurs très sophistiqués et des systèmes de localisation par satellite.

En conclusion


Il est difficile de rester objectif à la description des horreurs endurées par les esclaves Monarque. L'extrême violence, les abus sexuels, la torture mentale et les jeux sadiques infligés aux victimes par des « scientifiques renommés» et des officiels de haut niveau prouvent l’existence d’un vrai « cônoir » chez les gens au pouvoir (''Power that be''). Malgré les révélations, les documents et les lanceurs d’alerte, une grande majorité de la population ignore, écarte ou évite complètement le sujet. Plus de deux millions d'américains ont été programmés depuis 1947 par contrôle mental traumatique et la CIA a admis publiquement ses projets de contrôle mental dans les années 70. Des films tels que Le Candidat Mandchoue fait directement référence au sujet, en dépeignant même les techniques réelles, comme l'électrochoc, l'usage de mots déclencheurs et l'implantation de microchips (puces). Plusieurs figures publiques qu'on voit sur nos TV et écrans de cinéma sont des esclaves par contrôle mental. Des gens célèbres ont révélé leurs expériences de contrôle mental…et pourtant le public prétend que cela « ne peut pas exister ».
Les recherches et les fonds investis dans le projet Monarque ne s'appliquent pas seulement aux esclaves du contrôle mental. De nombreuses techniques de programmation mises au point dans ces expériences sont appliquées à grande échelle par les médias de masse. Les informations, les films, les clip vidéos, les publicités et les spectacles télévisés sont conçus en utilisant les données les plus récentes sur le comportement humain. Beaucoup proviennent de la programmation Monarque.

    Fritz Springmeier, The Illuminati Formula to Create a Mind Control Slave
    Ken Adachi, Mind Control the Ultimate Terror
    Anton Chaitkin, “Franklin Witnesses Implicate FBI and U.S. Elites in Torture and Murder of Children”, The New Federalist
    D. Corydon Hammond, Ph.D.
    Ellen P. Lacter, Ph.D., The Relationship Between Mind Control Programming and Ritual Abuse
    Ron Patton, Project Monarch 
     

mercredi 18 juillet 2012

LES ZÉOLITHES

DE LA LAVE ET C'EST TOUT ?
En général, la lave fait la fortune des agriculteurs et des éleveurs qui s'installent sur les pentes d'un volcan... même si c'est à leurs risques et périls.
Mélangée à la cendre, elle est plus fertile que la terre, elle permet de désinfecter les étables et on l'emploie aussi, en médecine traditionnelle, pour confectionner des onguents, des cataplasmes ou des potions.
Une éruption, c'est une bénédiction pour ceux qui restent !
Les roches volcaniques ont une seule propriété - mais de taille - elles absorbent tout. Certaines d’entre-elles, les zéolites, présentent des porosités minuscules qui parfois ne dépassent pas le millionième de millimètre. La lave que vous trouverez ici ou là en contient certainement, mais peu importe. 
Et quand vous saurez que de récentes expérimentations démontrent que ces roches volcaniques sont capables de pièger dans l’organisme une quantité de micro-organismes et de micro-particules nocives.... vous comprendrez pourquoi je vous en parle aujourd'hui.
Suivons l'exemple des cochons
C’est l’expérience d’un éleveur de porcs yougoslave qui a mis la puce à l’oreille du professeur Tihomir Lelas, de l’université de Zagreb. L’éleveur avait en effet observé que son bétail ne succombait plus au syndrome respiratoire aigu (affection commune chez les porcs) et il avait conclu empiriquement que cette particularité provenait du fait que ses porcs se nourrissaient en partie des zéolites qu’il ajoutait à leur litière. Le professeur Tihomir Lelas, intrigué par cette anecdote, s’est alors penché sur les propriétés physiques des zéolites.
Comment se fait-il qu'on n'en parle pas ?
Cherchez sur Internet le mot "zéolithe", vous saurez tout sur le nettoyage des piscines, sur le jardinage ou sur les litières pour chats, mais vous trouverez peu de choses concernant l'emploi médicinal de la zéolithe. Pourquoi ???
Je vous recommande de lire l'excellent article de Michel Dogna, ci dessous, pour découvrir que c'est un remède puissant qui ferait de l'ombre à beaucoup de spécialités pharmaceutiques si on en savait trop à son sujet.
Si vous avez un filon
Si vous habitez dans une région volcanique, vous devez sans doute connaître cela. Mais je ne suis pas certain que vous faites, une ou deux fois par an, une cure de lave volcanique... faites-le une fois, pour me faire plaisir. Broyez les cailloux le plus finement possible (il faut que ce soit presque farineux) et mettez-en une cuillère à café dans un verre d'eau que vous boirez avant chaque repas. Pendant 21 jours. Vous verrez, rien que pour la digestion, c'est très bon. Mais surtout, broyez fin...
Et si vous n'avez pas de volcan dans le quartier
En préambule, une mise en garde pour les petits malins qui vont utiliser de la litière pour animaux. Ne le faîtes que si vous êtes absolument sûr qu'aucun produit n'a été ajouté !
Pour une qualité médicinale, il faut simplement vous assurer que celle-ci ait été correctement filtrée et broyée (le plus fin sera le mieux) et qu'elle contienne la plus grande proportion d'un certain type de zéolite (voir article ci-dessous). Il existe un nouveau procédé de broyage mis au point par une société autrichienne qui permet d'obtenir des particules de la taille d'un micron. Car répétons-le, plus c'est fin, plus la capacité d'absorption est forte. Pour plus de détails, je vous renvoie à l'article publié sur le site principes-de-sante.com.
Dominique Vialard
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LA ZÉOLITE POUR SURVIVRE DANS UN MONDE RADIOACTIF
Les poudres de roches de la classe des zéolites sont de nature paramagnétique. Bien qu’elles ne soient pas des argiles, elles agissent tout comme les argiles. Leur découverte a été réalisée par le minéralogiste Suédois Axel Frederik Cronstedt en 1756. Le terme composé zéo-lite fait référence à la perte d’eau conséquente dont est sujette la zéolite lorsqu’elle est chauffée.
Une éponge chimique
La zéolite est une roche cristalline étonnante avec une structure en nid d’abeille de cavités et de canaux, qui est capable d’adsorber de nombreux types différents de gaz, d’humidité, de pétrochimiques, de métaux lourds et d’éléments radioactifs et une multitude de composés divers. Il existe 48 types de structures de zéolites naturelles. 
Les cavités et les canaux à l’intérieur de la zéolite peuvent occuper jusqu’à 51 % de son volume. Dans un gramme de zéolite, les canaux pourvoient jusqu’à plusieurs centaines de mètres carrés de surface sur laquelle des réactions chimiques peuvent prendre place. 
Les zéolites naturelles peuvent adsorber jusqu’à 30 % de leur poids sec en azote et en gaz ammoniac. 
Sous les retombées radioactives
Il est intéressant de savoir que les zéolites constituent l’un des fronts les plus efficaces de lutte contre la contamination radioactive dans les sols et contre l’accumulation radioactive subséquente au sein de la chaîne alimentaire. Une étude, en provenance de Suède, a récemment mis en valeur que la Mordenite, une zéolite naturelle, avait décontaminé la viande et les animaux vivants touchés par la radioactivité lors du désastre nucléaire de Tchernobyl. 
Depuis, les recherches se sont orientées vers une autre zéolite, la clinoptilolite, qui apparaît être un des meilleurs draineurs des radio-éléments aussi bien chez les animaux que chez les humains ; elle peut se substituer parfaitement au Miso dont l’élaboration est malheureusement longue.
Dans les pays de l’est, cette zéolite est utilisée pour décontaminer les cancéreux de leurs chimios et de leurs radiothérapies.
Posologie humaine : 1 à 3 cuillères à café par jour selon le degré de pollution
Usages vétérinaires
Les premières recherches, quant à l’influence des zéolites à clinoptilotite ont été réalisées sur la nutrition animale, et furent réalisées au Japon dans les années 1960. Ultérieurement, ces recherches préliminaires furent validées par des chercheurs en URSS, en Bulgarie, au Cuba, en Tchéquie, aux USA et dans d’autres pays.
La zéolite possède une histoire d’usage vétérinaire et industriel, incluant la purification de l’eau, la filtration de l’air, l’incorporation à de la nourriture pour les animaux d’élevage (afin de réduire la production d’ammoniac et d’accroître la capacité nutritionnelle), l’utilisation dans les étables et pour les litières des chats afin de diminuer les odeurs. 
 Les résultats des expérimentations de complémentation nutritionnelle révélèrent que les zéolites, lorsqu’elles étaient ajoutées à la nutrition des poules, des cochons et du bétail contribuaient 
  • à une meilleure digestion,
  • à un gain de poids, 
  • à la prévention et à la guérison des pathologies intestinales,
  • à une baisse des dépenses médicales,
  • au contrôle des odeurs agressives des excréments,
  • à une augmentation de la survie animale 
  • à l’élimination des moisissures durant le stockage.
Absorbant des métaux lourds
L’exposition au mercure, au cadmium, au plomb et à l’arsenic constitue la principale menace vis à vis de la santé humaine. Ces métaux ont été extensivement étudiés et leurs effets sur la santé humaine régulièrement répertoriés par des institutions internationales telles que l’OMS.
Ces études ont mis en exergue que la zéolite possède une affinité élevée pour piéger le plomb, le cadmium, l’arsenic, le mercure et d’autres métaux potentiellement dangereux. Au travers du processus d’échange de cations, la zéolite peut abaisser l’exposition totale aux métaux lourds chez un individu. Cela permettrait d’influer, de manière conséquente, sur la réduction de certains cancers et de pathologies cardiaques.
Il est intéressant de souligner que la zéolite semble éliminer les toxines dans un ordre particulier. Durant les premières semaines, elle élimine les métaux lourds ci-dessus mentionnés; elle élimine ensuite les toxines de seconde urgence, à savoir les pesticides, les herbicides et les plastiques.
Le PH sanguin: entre 7,35 et 7,45
Le sang doit être conservé à un niveau très spécifique de pH 7.4 afin de maintenir son homéostasie. Malheureusement, le régime alimentaire Occidental moderne contient énormément d’aliments acidifiants, tels que le sucre, les féculents et les hydrates de carbone raffinés. Ce type d’aliments ne peut pas maintenir un équilibre acide/basique adéquat dans le corps et il induit une augmentation de l’acidité. Il est alors impératif de restaurer l’homéostasie si l’on veut empêcher les pathologies de s’implanter dans l’organisme.
Le corps possède une panoplie variée de mécanismes permettant de maintenir l’homéostasie dans le sang et dans les fluides extracellulaires. C’est la présence de substances tampons, dissoutes dans le sang, qui lui permet de conserver un pH relativement constant.
La zéolite protège le système en maintenant le pH à des niveaux oscillant entre 7.35 et 7.45, à savoir le pH optimal pour l’organisme humain. Le niveau de pH dans le corps influence à la fois l’immunité et le fonctionnement cérébral. Un sang acidifié, (7.34 ou inférieur), génère un terrain favorable au cancer. Dans un environnement acide, les fonctions des cellules cérébrales peuvent être également perturbées, ce qui entraîne de la dépression, de l’anxiété, de l’hébétude, de la paranoïa, des illusions ou des hallucinations.
Le végétal et l'animal dans votre intestin
La zéolite diminue l’incidence de la maladie et du décès induits par les pathologies intestinales chez divers animaux. Fondée sur ces résultats, une étude exhaustive à été réalisée dans la thérapie des pathologies diarrhéiques chez l’être humain. Cette recherche a permis que le remède ENTEREX soit approuvé.
L’ingestion de la zéolite peut être comparée à de l’argile puissance 2. En raison des propriétés d’échanges d’ions, la zéolite peut modifier le contenu ionique, le pH, la capacité de protection des sécrétions gastro-intestinales et affecter le transport au travers de l’épithélium intestinal. Elle peut avoir également une influence positive sur la flore bactérienne et la résorption des vitamines et des oligoéléments. Le contact entre les particules de zéolites avec les muqueuses gastro-intestinales peut induire la sécrétion de cytokines (une partie de notre système immunitaire) avec des actions localisées et systémiques. Il en résulte un tractus digestif en meilleure santé possédant une flore et une faune équilibrées.
Une piège à champignons et à radicaux libres
La zéolite est réputée pour sa capacité de neutraliser des mycotoxines en formant des complexes hautement stables. Les mycotoxines constituent une famille diversifiée de toxines produites par certains champignons et plus particulièrement par des espèces du genre Aspergillus, Claviceps et Alternaria. Il existe plusieurs centaines de mycotoxines différentes qui peuvent provoquer des problèmes de santé tels que des pathologies rénales et hépatiques et peuvent affaiblir le système immunitaire.
Les mycotoxines qui ont été le plus extensivement étudiées sont les aflatoxines que l’on trouve dans le maïs, les arachides, le lait et les céréales qui ont été corrélées à l’émergence de cancers du foie, de l’estomac et des reins. 
La zéolite constitue aussi un antioxydant unique. Elle agit en absorbant l’excès de radicaux libres dans son système parce qu’il possède un électron libre non apparié. Par contraste, la zéolite piège les radicaux libres au sein de sa structure complexe: elle les neutralise et elle les élimine.

Et le cancer ?
Les nitrosamines sont probablement les substances cancérigènes les plus répandues: dans l’environnement de travail, dans les viandes industrielles, dans la fumée de cigarettes et dans les bières. La pollution environnementale aggrave ce problème caché en raison de la contamination de la nourriture et de la pollution de l’atmosphère. La zéolite est considérée comme le meilleur piège à nitrosamine. Elle a été utilisée dans des remèdes à libération prolongée, des remèdes anti tumoraux, des remèdes enzymatiques et même des additifs dans les cigarettes pour éliminer les substances carcinogènes.
La zéolite possède la rare capacité d’intégrer une quantité gigantesque de toxines chargées positivement, en neutralisant indirectement leur influence dans l’émergence de cancers. Au cours de ce processus, la zéolite développe une charge légèrement positive. Elle est alors attirée dans la membrane chargée négativement de la cellule cancéreuse. Lorsque la zéolite pénètre dans la cellule cancéreuse, le gène p21 est activé. Ce gène agit comme un suppresseur de tumeur de par sa capacité de contrôler la progression du cycle cellulaire. L’activation du gène p21 stoppe la croissance des tumeurs en supprimant indirectement les signaux de croissance.
Résumé des indications
  • Cancers : absorbe les toxines
  • Herbicides : absorbe et élimine
  • Intestins : équilibre la flore, optimise la perméabilité, régule le tractus
  • Métaux lourds (Pb Cd As Hg) : élimine
  • Pesticides : absorbe et élimine
  • Plastiques : élimine
  • Radicaux libres : neutralise et élimine
  • Radioactivité : chélate et élimine
  • Sang : régule le pH
  • Toxines : absorbe et élimine
  • Tumeurs cancéreuses : ralentit ou stoppe
Contamination importante : 1 cuil. à café + eau avant 3 repas
Contamination légère : 1 cuil. à café + eau au lever
Michel Dogna

La condition animale

De Michel Tarrier


MAIS BON SANG !



...Restons donc stupides et gardons notre vilaine conscience !

Hypocrite précaution : cet article vous dispense de vidéos aux images insupportables...

Apanage des pays riches, la consommation de viande ne cesse d'augmenter dans le monde. L'élévation du niveau de vie dans les pays émergents amplifie les effets déjà catastrophiques d'une surconsommation de viande non soutenable et inutile.

La consommation de la viande et du lait est partout en hausse. Elle s’accroit considérablement dans des pays comme la Chine. Depuis un demi-siècle, la production mondiale de viande est passée de 44 millions à plus de 220 millions de tonnes. La société humaine consomme annuellement plus de 53 milliards d'animaux par an ; dans l'ordre : poulets, canards, porcs, lapins, dindes, moutons, chèvres, bovins et chevaux. Dans le premier monde, 98 % de la totalité des animaux avec lesquels nous sommes en interaction servent à l’alimentation. Les abattoirs nord-américains tuent quotidiennement 25 millions d’animaux par jour. Selon les estimations de la FAO, la production planétaire de viande et de lait doublera d’ici 2050. À cette occasion, les éthiciens agitent de plus en plus la question de notre responsabilité morale à l'égard des animaux. Les États-Unis transforment chaque jour 1000 tonnes de viande de bœuf en hamburgers, et chaque citoyen nord-américain dévore durant sa vie 9 bœufs de 500 kg. Un Français mange 100 kg de viande par an, trois fois plus qu’il y a un demi-siècle.

La plupart de ceux qui se prétendent écologistes sont tout autant zoophages et les partis verts et ONG environnementales se refusent d'aborder le sujet, y compris dans le cadre de la fameuse cantine scolaire Bio du WWF où la barbaque trône en maître.

Aux États-Unis, 70 % des céréales sont destinés aux animaux d'élevage, contre seulement 2 % en Inde. Dans un parc d'engraissement américain de 37.000 bovins, 25 tonnes de maïs sont distribuées chaque heure. 90 % des cultures de soja, dévoreuses d’écosystèmes majeurs, vont aux animaux d'élevage pour la grande bouffe occidentale. Pour satisfaire à la demande, entre 1977 et 1980, le Brésil a augmenté de 400 % ses exportations de soja. Simultanément, 38 millions d’habitants étaient sous-alimentés et 10.000 petits Brésiliens mouraient de faim, Il faut 7 kg de céréales et 10.000 litres d’eau douce pour produire un seul kilogramme de bœuf.

Un consommateur humain qui passe au tout végétal, ne serait-ce qu’une fois par semaine, fait montre d’une solidarité planétaire de l’ordre de 5.000 litres d’eau par an.

Le choix du mode alimentaire est donc déterminant dans la valeur de l’empreinte écologique de chacun. Si toutes les céréales utilisées pour le bétail américain étaient consommées directement, elles nourriraient 800 millions d'humains.

La production carnée est au premier rang des causes du détournement calorique planétaire : 500 calories d'énergie alimentaire issues d’un steak d’un demi-kilogramme demandent 20.000 calories de carburant fossile à produire. Les voilà les chiffres de la gabegie !

Dans le système nord-américain qui nous obnubile, la moitié de l’eau dont la majeure partie est non-renouvelable, est dilapidée au profit de l’arrosage d’une agriculture servant à la nourriture des animaux d’élevage. La pollution des eaux, dont celle de nature pesticidaire, est en grande partie le fait des rejets de l’élevage productif.

C’est aux méfaits de l’élevage qu’il faut attribuer 85 % de l’érosion de la fertilité des sols (déboisement, création de déserts agraires, désertification), et 20 % de l’augmentation de l’effet de serre causé par le méthane, gaz largement produit par les vaches que nous mangeons. On saccage 17 mètres carrés de forêt tropicale, abritant une phytomasse de 75 kg de plantes vasculaires et de vie animale, pour produire un steak haché de bœuf, chiffre évalué pour l’Amérique centrale. 200 millions d’hectares de forêts tropicales ont été rasés depuis 50 ans pour faire place à des pâturages d’engraissement ou à des fermes « modèles » de bovidés. En attendant d’amputer ce qui reste au profit des agrocarburants de première génération, nous transformons déjà des forêts en hamburgers tout en participant au réchauffement du globe.

Dans les pays traditionnellement voués au pastoralisme, notamment ceux musulmans, le surpâturage de rente a succédé aux modestes troupeaux familiaux. Cette charge outrancière des troupeau, qui se superpose à des paysages très sensibles parce que semi-arides, induit l'anéantissement irréversible des écosystèmes. C'est une tragédie sans remède et qui sera bientôt source de famine par tarissement des ressources naturelles, perte d'absorption des sols et assèchement des nappes phréatiques.

Outre le fait qu’une alimentation végétarienne réduit le risque de mort par attaque cardiaque de 50 à 4 %, et divise par trois le risque de cancer du sein et des ovaires, on voit bien que l’exploitation des animaux par la boucherie est aussi l’une des grandes causes de la faim dans le monde. Il est donc pour le moins stupide de la part des carnivores bien-pensants d’argumenter la famine du tiers-monde pour relativiser le souci d’un meilleur respect dû aux animaux.

L’élevage en batterie entre dans les pratiques les plus ignominieuses de notre humanité. Poules, dindes, cochons, bovidés sont industriellement torturés au nom de la recherche d’un profit maximal. Mais la morale est que ce mauvais traitement retombe sur la santé de ceux qui consomment cette chair pétrie de souffrances et de poisons.
À la production de la viande s’ajoute celle laitière, intensive : l’exploitation du cheptel bovin est éthiquement inqualifiable. L'image de la vache - reine des près - paissant paisiblement dans la verte prairie et se laissant traire avec allégresse par l’aimable fermière toute rougeaude est un pur produit d’agence qui cache une bien affligeante réalité. Comme tout mammifère, notre brave vache a besoin de mettre bas une fois l’an. Il n’en est plus question sous le motif de l’esclavage laitier auquel elle est soumise. Et si on laisse le veau téter, la vache va freiner la descente de son lait et nuire à la productivité imposée par le Crédit Agricole de son fermier-proxénète. La fin justifie les moyens. Le veau lui est donc retiré quelques jours après sa naissance. Les vaches sont très maternelles et le stress qui en résulte est incommensurable. Si le veau est une future génisse, elle ira rejoindre le bataillon d'autres vaches laitières. Sa première grossesse aura lieu à deux ans, puis elle sera à nouveau fécondée trois mois après chaque vêlage, par insémination artificielle dans 70 % des cas. Elle sera maintenue en lactation sept mois au minimum par an et l'éleveur continuera à la traire même pendant sa grossesse. Ce productivisme outrancier est si exténuant qu’il réduit le potentiel de longévité de l’animal, de vingt années à seulement cinq. C’est ainsi que les trois quarts de la viande bovine proviennent de vaches laitières sacrifiées pour causes de stérilité ou de rendements médiocres. Séquestrés dans des caissettes à claire-voie, les veaux à viande sont dans l'incapacité de se retourner, car tout exercice augmenterait leur développement musculaire, durcirait leur chair, et ralentirait leur prise de poids. La diarrhée, due à un régime inadapté mais savamment calculé pour leur causer une anémie donnant une chair blanche, rend les lattes glissantes, et les veaux tombent souvent, se blessant les pattes. C’est pourquoi à leur arrivée à l'abattoir, beaucoup d'entre eux peuvent à peine marcher. 50 % de la production d’antibiotiques vont aux animaux d'élevage, sont administrés par ingestion subthérapeutique et se retrouvent dans nos corps et dans les sols. Pour « faire » un veau de boucherie, il faut donc : le priver de sa quantité suffisante de lait maternel, le transporter à l’encan par camion dès son plus jeune âge, le faire vivre au voisinage d'animaux malades et mourants, le vendre à des usines où, enchaîné à vie dans un cageot individuel de quelques 60 centimètres de large, on lui ôtera toute faculté de marcher, de s’allonger, de s'ébrouer et de jouer, le maintenir à l'obscurité pour diminuer son agitation, le priver de litière, le nourrir par des surplus de lait écrémé gouvernemental, lui supprimer toute nourriture solide, le rendre anémique, l’infester de maladies respiratoires et intestinales.
La vie faite à nos frères mammifères les cochons et les bovidés est invivable, mais l’immense majorité du milliard et demi d’animaux mangés en France sont des volailles. La vie de 90 % de ces oiseaux qui se déroule en batterie sous lumière permanente est un supplice. Les gentils végétaliens ne doivent pas se tromper d’adresse car la poule de ferme, aux œufs d’or bio, ne court plus les poulaillers.
6 milliards de poulets sont abattus chaque année au sein de l’Union européenne. Plus de 90 % des poules pondeuses sont soumises à un élevage intensif, dont le sadisme extrême est le recours à un suréclairage incessant, visant à accélérer la croissance en exploitant la photophase. Les volailles sont entassées dans des hangars sans fenêtre, pouvant contenir de 10.000 à 70.000 individus. Les poules sont incarcérées dans des séries de cages superposées dont chacune contient 4 à 5 sujets. Chaque poule ne dispose pas plus de 550 centimètres carrés, c'est-à-dire l'équivalent d'une feuille de papier A4. Le gallinacé n’est finalement heureux que lorsqu’il arrive dans le four où il dispose enfin de quatre fois plus d’espace « vital »… Dans une indifférence totale, c’est l’animal qui paie le plus lourd tribut à notre perversion carnivore.
En renonçant au régime carné, ou en reléguant la viande à une consommation subsidiaire, il s’agit tant de mettre un terme aux affres environnementaux du pâturage intensif, que de soulager considérablement la faim dans les pays exploités, d’assurer aux pays exploiteurs une alimentation moins pathogène et dégénérative, d’établir un rapport moins barbare entre les animaux éleveurs que nous sommes et les animaux élevés, lesquels le sont très généralement dans des conditions abominables. L’effet dissuasif que l’on pouvait espérer de la vache folle, véritable effet boomerang de nos viles exactions, n’a duré qu’un temps. Attendons donc la prochaine et méritée volée de bois vert pour nous lamenter sur des méfaits qui ne sont que bel et bien mérités.
Salmonellose dans les œufs de batteries, vache folle au prion, poulets à la dioxine, viande de porc aux nitrates et aux nitrites se transformant dans notre corps en nitrosamines hautement cancérogènes, charcuteries à la listériose, cancer du pancréas par les viandes grillées, cancer du colon proximal et distal dus aux viandes rouges et transformées, cancer du sein (dit à récepteurs hormonaux positifs), les carnivores sont prêts à affronter les pires maux pour continuer à mettre de la souffrance animale et du cadavre dans leur assiette, et à permettre le plein emploi à la filière bouchère.
Une dernière réflexion sur le sujet : à quel délire paranoïde correspond le fait de « déguster » de l’agneau et de caresser son chien ?
Inversons pour comprendre la gratuite relativité de cette attitude. Si nous mangeons du mouton, alors acceptons que les Chinois bouffent du chien, parce que nous ne valons guère mieux. Catégoriser en valeurs comestible ou sentimentale notre rapport à l’animal, et notamment aux mammifères monophylétiques (ancêtre commun), auxquels nous appartenons, est une démarche psychopathe. Sommes-nous complètement dingues ?
La viande rend malade, mais nous continuons à en manger de plus en plus...
La viande est source d'infernales cruautés, mais nous continuons à en manger de plus en plus...
La viande est objet de disparités entre les peuples, mais nous continuons à en manger de plus en plus...
La viande induit déforestation, désertification, pollution, mais nous continuons à en manger de plus en plus...



Même pas honte de vivre avec une mauvaise conscience !
Michel Tarrier
Écologue, écosophe, essayiste

Grand coup de pied dans l'arnaque du "réchauffement global"

Envoyé par Chris

Dominique Guillet

Mon second article "Carbone mon Amour" est en ligne.
Mon troisième article "Effet de Serres et révolution verte eugénique" est en ligne.
Mon quatrième article "Les écolos-thermistes" est en ligne
Global Worming, le Ver est dans le Vert

Je l’avoue, j’y ai cru (un peu) au réchauffement climatique anthropique en me disant, sans y réfléchir beaucoup plus, ce que se disent beaucoup d’écologistes: lutter contre le CO2, de toutes façons, revient à remettre en question les fondements de la société occidentale mortifère et les méfaits de la globalisation.
D’autre part, les ONGs institutionnelles de la contestation en avaient fait un de leurs chevaux de bataille; ce que se disent beaucoup de jeunes militants, sans plus y réfléchir. Roulez Jeunesse, à l’assaut de la pétrochimie! Les premiers doutes métaphysiques commencèrent à m’empoigner lorsque je découvris, au Salon de l’Agriculture-Voiture de février 2007, l’arnaque des “bio-carburants”, que j’appelai à l’époque des “nécro-carburants” (en m’inspirant, il est vrai, de Jean-Pierre Berlan, grand expert du débusquage des arnaques sémantiques).
Les multinationales du sucre, de la pétrochimie et des constructeurs d’automobiles, la bouche en coeur, chantaient l’hymne des agro-carburants qui allaient participer à la lutte contre le réchauffement climatique, et sauver la planète, (sans compétition, promis-juré, avec la production alimentaire)... de concert avec un grand nombre d’écologistes.
Quelques mois plus tard, c’était l’annonce du Grenelle de l’Environnement dans les bas-fonds, puants d’hypocrisie et de mensonge, duquel, se vautrèrent les institutionnels de la contestation: WWF, Greenpeace, Amis de la Terre et autres ONGs membres de l’Alliance pour la Planète. Une Alliance plus que molle, faut-il le préciser ?

A l’époque, j’avais même commis un petit article sur la reconversion de toutes les terres agricoles à l’agriculture biologique afin de fixer 3,7 tonnes de CO2 par hectare et par année et d’annuler, par la-même, une grande partie des émissions CO2 du parc automobile.
La FAO ne venait-elle pas d’affirmer, lors de son symposium, que l’on pouvait nourrir toute la planète avec l’agriculture biologique sans mettre en danger l’environnement? On peut toujours rêver.

Depuis lors, je m’étais tu, pressé par certains amis de ne pas remettre en question le dogme absolu du réchauffement climatique anthropique, à la sauce CO2, afin de ne pas gêner la marche inéluctable des écologistes vers le Pouvoir.
C’est un tel panier de crabes, témoin la lutte acharnée, et les nombreux coups bas, accompagnant la toute nouvelle “taxe-carbone” qui ébranlera les fondements du paradigme Occidental tout autant qu’un pet méthanier de bovin, au parfum de soja chimérique!
Dans cette ambiance hystérique et dogmatique, quasi-religieuse, on ne sait plus à quel MalSaint se vouer! Je ne m’étendrai pas sur ma dernière mission au Népal, au mois de mai dernier, dont les rivières étaient à sec.
Le réchauffement climatique anthropique est-il à ce point brûlant, dans cette partie du monde, que l’eau de fonte des glaciers Himalayens (prétendument en désagrégation catastrophique) s’évapore avant même de s’écouler ?
Les vieux paysans Népalais affirment, quant à eux, que rien n’a changé et que le climat a toujours changé.
En bref, le changement climatique! Les paysans Népalais, il est vrai, n’ont pas le loisir de se laisser tenter par quelque carotte (glaciaire) de milliards de dollars à la clé, de subventions, pour prouver une corrélation “scientifique” entre un accroissement de la température et une augmentation (ou prétendue telle) du CO2 depuis 1860.

Et puis, il y a quelques jours, malgré le temps relativement frais pour la saison, mon sang s’échauffa fortement lorsque je reçus le dernier ouvrage de James Lovelock “The Vanishing Face of Gaïa”.
James Lovelock, le concepteur autrefois génial de la théorie Gaïa, avait déjà fortement dérapé dans son ouvrage de 2006 “La Revanche de Gaïa”.
Dans ce dernier ouvrage, Lovelock fait endosser à Gaïa son catastrophisme apocalyptique dont nous ne pourrons nous prévenir, selon lui, que par la technologie et encore plus de technologie. Les solutions que James Lovelock propose, ce sont: l’énergie nucléaire, les chimères génétiques, l’agriculture agressive (parce que, dit-il, on a beaucoup exagéré les méfaits de l’agrochimie), la nourriture synthétique (des pilules ?), l’hyperconcentration de l’urbanisation (des camps de concentration ?), etc, etc.
James Lovelock est convaincu que le GIEC est manipulé (ce dont nous sommes également persuadés, mais pas dans le même sens!) et que c’est de 5 à 6°C, d’ici 2016-2020, que la température planétaire va monter. Selon James, il ne restera plus d’autres solutions à l’humanité que d’aller s’installer aux Pôles.
Et pourquoi pas, ajouterai-je, d’y domestiquer les ours, les manchots, les phoques et les pingouins pour pratiquer une agriculture polaire, “durable”, évidemment!

Aujourd’hui, une fois de plus, j’ai la rage à fleur de peau et n’en déplaise à la “bien-pensée” écologique (ou qui s’est auto-proclamée telle), il me semble indispensable de soulever quelques questions impertinentes eu égard à la priorité brûlante de cette lutte contre un prétendu réchauffement climatique anthropique.
Tout porte à croire, en effet, qu’une grande partie des écologistes, et des citoyens, est victime d’une énorme arnaque pseudo-scientifique, médiatique et sémantique, qui occulte, de façon bien orchestrée:

1. La destruction de l’intégralité de la biosphère, et l’empoisonnement de l’humanité, par la mafia de la semence, de la pétro et agrochimie et de la pharmacie, et ce depuis plus de 60 ans, avec la complicité bienveillante de tous les états Occidentaux.

2. L’utilisation d’une panoplie de peurs instillées par des médias à la botte des Autorités: la peur du terrorisme, la peur des anarcho-autonomes, la peur de la grippe porcine, la peur du CO2, la peur des canicules... pour faire monter leur Nouvel Ordre Mondial, qui n’est qu’une soupe mal réchauffée de l’ancien.

3. L’imposition de nouvelles taxes aux peuples pendant que la mafia continue de tout empoisonner, de tout polluer, de tout saccager et d’engranger des dividendes. Il semblerait qu’on ait déjà gommé, de la mémoire collective, le tout récent, et le plus grand, hold-up financier dont l’humanité ait jamais été la victime: des milliers de milliards de dollars injectés pour la prospérité de la finance, des banques, des assurances...

Au risque de me répéter, permettez-moi d’énumérer quelques faits bien réels, procédant du vécu planétaire quotidien, et non point de la simulation d’ordinateurs virtuels:

- Aujourd’hui, ce sont plus d’un milliard d’êtres humains qui ne mangent pas à leur faim.

- Tous les jours, ce sont 35 000 êtres humains, principalement des enfants, qui meurent de faim: à savoir, ils trépassent.

- Les sols agricoles sont ruinés, biologiquement morts, et selon certaines études, au taux de 76 milliards de tonnes de sols érodés tous les ans, il n’y aura plus un seul gramme de terre arable en 2050.

- Ce sont 2,6 milliards d’humains qui sont sans assainissement, et ce sont 1,3 milliards d’humains qui sont sans accès à l’eau potable. Tous les ans, 2 millions d’enfants de moins de cinq ans meurent de maladies diarrhéiques liées au manque d’eau potable.

- La biosphère est cancérisée et une partie de l’humanité se meurt empoisonnée par les aliments et les produits de la chimie, de la pharmacie et de l’agrochimie.

- 300 personnes possèdent autant que les 3 milliards d’individus les plus pauvres de la planète: ces 3 milliards d’individus vivent avec 1 dollar par jour et peut-être moins.

Ces faits, qui sont loin d’être exhaustifs, dans le catalogue des calamités, remettent fort bien en perspective les dangers, réels ou illusoires, liés à une augmentation de la température d’1 ou de 2°C: à savoir, de vagues montées des eaux, un déplacement de réfugiés “climatiques”, une remontée des vignobles Français vers le nord, et autres épiphénomènes, que le GIEC, et autres affiliés, nous promettent pour demain, pour après-demain, pour 2050, ou pour 2100...
Les Origines de l'Arnaque Climatique
Les origines de ce canular ne sont pas si vieilles puisque dans les années 70, l’hystérie était plutôt dans le refroidissement: le “global cooling” allait détruire l’agriculture humaine.
On comprend aisément que cette hystérie puisse être beaucoup plus fondée que l’hystérie actuelle car les archives historiques foisonnent de témoignages poignants quant aux destructions des récoltes, aux disettes, aux famines, aux maladies, et aux pestes en tous genres, qui prévalurent durant le dernier Petit Age Glaciaire dont l’Europe sortit en début de 19 ème siècle.

Le GIEC fut créé en 1988, c’est un appendice de “l’Organisation des Nations Unies”, (nous serions tentés de dire un truc dans le machin). Le GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) serait composé de 2700 “scientifiques”. Faites-vous confiance à l’ONU? Moi, pas.

L’ONU a-t-elle été capable d’empêcher, depuis des dizaines d’années, les dommages collatéraux: à savoir l’extermination des populations civiles en Afrique, au Guatemala, en Palestine, en Irak, en Afghanistan, etc?

La FAO (une division de l’ONU) a-t’elle été capable de solutionner le problème de la faim dans le monde? Ses discours pleurnichards, et les promesses jamais tenues, mettent une chose en valeur: la FAO ne peut rien faire à l’encontre de la mafia de l’agrochimie qui prend les décisions et qui dépouille le Tiers-Monde. De plus, les agricultures vivrières ont été ruinées par le “dumping”, à savoir les cultures archi-subventionnées des pays occidentaux.
Le directeur de la FAO, Jacques Diouf, avait même un jour affirmé que son organisation pouvait solutionner la moitié du problème de la faim, et de la malnutrition, dans le monde avec seulement l’équivalent de deux semaines de dépenses militaires US, à savoir une petite vingtaine de milliards de dollars. Au jour d’aujourd’hui, ce sont 1500 milliards de dollars qui sont dépensés, tous les ans, par les pays occidentaux, en armements.
Et le président Sarkozy tente de larguer ses avions rafales chez Mr Lula car dans ce commerce de la mort, la France est aux premiers rangs.

La FAO, ne l’oublions pas, c’est également l’infâme Codex Alimentarius, le “Nécro-Codex” qui va définitivement confier le contrôle de la nourriture, et de la santé, à une poignée de multinationales qui oeuvrent “dans les sciences de la vie”, entendez-par là qu’elles oeuvrent à diminuer drastiquement l’impact démographique sur les ressources planétaires!

Peut-on faire confiance à l’OMS (une division de l’ONU)? Il n’est que d’analyser les prises de position de cette organisation quant à la récente pandémie, “disséminée” du bleu du ciel, et les fortes présomptions pesant sur des multinationales produisant à la fois les virus et les vaccins, pour en esquisser une réponse.

Peut-on faire confiance à l’UNCCD (la Convention des Nations Unies pour combattre la désertification) ?
 N’en parlons même pas, ce sont d’illustres inconnus sans moyens financiers.

Kofi Annan, l’ancien secrétaire de l’ONU, déclarait récemment que, tous les ans, ce sont 300 000 personnes qui meurent du réchauffement climatique.
Sans plaisanter ?
Même si ce chiffre était réellement fondé, cela correspondrait à une dizaine de jours de décès par la faim.
Et à combien de jours de décès par malaria? Kofi Annan est maintenant le président du “Global Humanitarian Forum” [05], une ONG humanitaire, qui a lancé, en juin 2009, sa campagne “Time for Climate Justice”, dont le conseil d’administration comprend, entre autres, le président du GIEC, l’ancien président du FMI, l’ancien président du World Bank Group, la présidente de la Fondation Rockefeller...

L’ancien conseiller spécial de Kofi Annan, Jeffrey Sachs, a créé le “Millenium Promise”, une ONG dédiée au lancement de la Révolution Verte Africaine, en collaboration avec Ban Ki-moon, le présent secrétaire de l’ONU ( et histoire de brouiller les cartes un peu plus, le nom de cette ONG est très proche de celui du programme de l’ONU “Millenium Development Goals”. Parmi les membres fondateurs de cette ONG humanitaire se trouvent  Monsanto [08], Novartis, Sanofi-Aventis, Fondation Microsoft, Sumitomo Chemical, GlaxoSmithKline (signalons au passage que Sanofi-Aventis, Novartis et GlaxoSmithKline sont les producteurs de vaccins contre la pandémie H1N1!), etc, etc, et Lehman Brothers, la plus grande faillite bancaire US de l’automne 2008.

Incontournable Lehman Brothers dont on retrouve le directeur comme co-fondateur de la Fondation “The Alliance for Climate Protection”, l’Alliance pour la Protection du Climat, créée par Mr Al Gore en 2006.
Ce dernier n’est plus à présenter, ancien vice-président US (c’est tout un programme), prix Nobel de la Paix (avec le GIEC) en 2007. Après avoir créé sa fondation et son cabinet Londonien “Generation Investment Management” [10], il lance son film best-seller “Une vérité qui dérange”. Précisons que “Generation Investment Management”, spécialisé dans la gestion des “crédits carbone”, a été créé en partenariat avec David Blood, ancien directeur de “Goldman Sachs”, Mark Ferguson, ancien chairman de “Goldman Sachs Assets Management pan-European Research” et Peter Harris, ancien directeur de “Goldman Sachs Assets Management”.

Les quelques jours que j’ai passés sur la toile à tenter de débrouiller cet écheveau m’ont profondément consterné.
Mr Paulson, qui a donné son nom au “Plan Paulson”, aux USA, est aussi l’ancien directeur général de Goldman Sachs.
Nous convions les lecteurs intéressés à consulter le courageux article de Matt Taibbi, paru dans Rolling Stones, “Goldman Sachs - La grande machine à bulles” dont le dernier volet s’intitule “Bulle 6: le réchauffement global”.

Après 18 années de dénonciation des agissements des multinationales de la semence, ce n’est pas que je sois naïf quant aux ramifications souterraines de ce petit monde malsain. Mais je n’imaginais pas l’amplitude du “global worming”: le ver s’est infiltré partout.
Et je ne parle pas du noble ver de terre, espèce en voie d’extinction dans la majorité des terres agricoles brûlées par la chimie, je parle du “ver” imaginé par John Brunner, l’auteur génial d’écologie-fiction, le “tapeworm” qui s’infiltre dans les réseaux...
Les Réseaux Parasiteurs
Les réseaux, les résONG, une grande famille qui s’affaire autour de ce nouveau concept: le réchauffement climatique anthropique.
Le puits de carbone: un fond de commerce sans fond. Les ONGs le savent pertinemment: la voie royale vers la subvention, c’est le carbone. Le carbone dissous est le gage de gros sous.
Un autre type d’effet de “serres”.

Je découvre aujourd’hui même un réseau dénommé Avaaz .
Non, ce n’est pas une agence de voyage, c’est une ONG créée par Ricken Patel (qui fut consultant pour ONU, Fondation Rockefeller, Fondation Bill Gates...) qui «organise la plus grande mobilisation sur le climat jamais réalisée: une alarme climatique à travers des “flashmobs” coordonnées partout sur la planète.»
Le système fonctionne sous forme de chaîne et leur message convie à donner des dollars, beaucoup de dollars [16]: «Il ne nous reste plus que quelques jours.
Si d’ici lundi, nous pouvions collecter 150 000 dollars, Avaaz pourrait engager les grands moyens sur ce projet: construire une carte du monde et un blog dans le style de Twitter permettant de relier tous les événements organisés pour le climat le 21 septembre; mettre en place une base de données téléphoniques mondiale pour permettre à des milliers d’entre nous d’inonder nos dirigeants de coups de téléphone; et enfin engager une équipe de professionnels pour faire la différence sur le terrain médiatique, face aux puissants lobbys industriels et pétroliers». Sans commentaires, 150 000 dollars pour créer un blog (de luxe) et une carte du monde.
Un blog à gogos, s’entend. Avaaz se félicite de ce qu’Al Gore ait déclaré «Avaaz est une source d’inspiration et a déjà changé beaucoup de choses.»
Tout ce petit monde se renforce mutuellement ses territoires de gratification. Cela ne mange pas de carbone. Avaaz organise des marches virtuelles avec des pancartes virtuelles sur la toile virtuelle. (Le lobbying est-il virtuel aussi ?)
Quelle bonne idée, cela économise du carbone.
Il est vrai que les technologies de la virtualité “carbone zéro” ont bien amélioré les conditions de travail de nombreuses ONGs dans certaines parties du monde: les logiciels de mise en page, les courriers électroniques et les appareils de photos numériques permettent maintenant de présenter des dossiers virtuels et de générer beaucoup de soutiens financiers, non virtuels.
On se gardera, bien évidemment, de généraliser. Cependant, beaucoup d’ONGs ne sont réellement que des organisations parasites lorsqu’elles ne sont pas infiltrées, parasitées, par le ver, pour des objectifs bien précis qui n’ont rien à voir avec le bien-être des peuples.

L’ONG Greenpeace, quant à elle, fait récemment dans l’esthétique, ou plutôt le nu.
Greenpeace France «appelle à une mobilisation artistique et militante pour les vins français» et «invite des centaines de figurants à participer nus à une installation humaine incarnant la vulnérabilité de l’homme face aux changements climatiques.» C’est touchant.
Dans un vignoble au début octobre.
Ma première réaction fut d’espérer que cela soit dans un vignoble bio mais tranquilisons-nous, à cette époque de l’année, dans un vignoble en chimie, les risques de traitement létal sont moindres qu’en début de saison.
Selon Greenpeace (en cela appuyé par une étude INRA) les vignobles sont en risque de déplacement septentrional, ce qui rappelle les bons vieux temps du réchauffement climatique médiéval, lorsque la vigne croissait en grande abondance en Angleterre et même beaucoup plus au nord.
Bref, il s’agirait donc de sauver les saveurs de terroir de la vigne Française.

Question impertinente: est-il réellement important de sauver des vignobles en chimie dont les vins contiennent jusqu’à 5800 fois plus de pesticides que l’eau, ce qui n’est pas peu dire, vu l’état de nos eaux ?
Autre question impertinente: en parlant de vulnérabilité de l’homme, qu’en est-il de celle des enfants qui tous les jours meurent de faim, de malaria, de diarrhée ou sous les bombes-bavures libératrices ?
Ne pourrait-on pas organiser une “installation humaine nue” au milieu du très pauvre Niger (récemment inondé), dans la région d’Agadez, par exemple, tout près des mines d’uranium qui fournissent les centrales nucléaires Françaises ?

Mais là, nous sommes dans l’émotionnel, n’est ce pas ?
Tout comme le directeur de Greenpeace Angleterre qui vient d’avouer, devant les caméras Anglaises que, oui, bon d’accord, Greenpeace a menti: les glaces du Pôle Nord n’auront pas fondu d’ici 2030. [23] C’était pour l’émotionnel, dit-il.
En bref, pour faire peur, pour fomenter de la panique, une vieille technique populiste, la stratégie favorite du Nouvel Ordre Mondial.

Dans la famille Alliance pour la Planète, les adeptes du consensus mou, nous avons également le RAC, le “Réseau Action Climat” qui est une ONG “spécialisée sur le thème de l’effet de serre et du changement climatique.
” C’est le représentant français du réseau mondial d’ONG “concernées par les changements climatiques”, le “CAN : Climate Action Network” qui regroupe 450 ONGs sur toute la planète.
Leur but est “de promouvoir l’action individuelle et gouvernementale pour réduire le changement climatique induit par l’homme à des niveaux écologiquement soutenables”.

Combien d’ONGs “concernées” par le changement climatique? Des Milliers? Combien de salariés ?
Des dizaines de milliers ?
Tout cela pour décoder “les niveaux écologiquement soutenables de l’impact de l’homme sur le climat”. Et quelles sont les sources de financement?

On se plaît à rêver qu’une telle colossale quantité d’énergie humaine, logistique et financière soit déployée pour sauver les sols, car là, il y a réellement urgence incommensurable.
Et, qui plus est, une source avérée de changements climatiques: érosion des sols, déforestation pour produire les aliments à bétails, déforestation pour produire les nécro-carburants, désertification et bouleversement des régimes de pluies, etc.

A quand les Protocoles Humiques, les Alertes Humiques, les Ultimatums Humiques, les Réseaux Action Humus, les Fondations pour la Protection de l’Humus...
Il est vrai que, dans ce cas précis, les solutions sont simples, trop simples: reforestation, semences de vie, pratiques agro-écologiques, compostage, extraits fermentés de plantes, etc. Les solutions sont trop simples, et trop peu coûteuses, pour générer un fond de commerce “durable” pour les ONGs.
Et puis la mafia de l’agrochimie et de la semence chimérique veille. Elle est omniprésente. Et pour illustrer le parasitage, cela fait des années que je vois, encore, dans les pays dits du Tiers-Monde, de grosses ONGs US enseigner le compostage en fosse de béton, la putréfaction en fosse de béton, devrais-je dire. Du pur sabotage.
Simples Questions au GIEC
Rappelons que le CO2, ou dioxyde de carbone, est en toute petite quantité dans l’atmosphère: 0,038%.
Le CO2, c’est la base de la vie: processus de photosynthèse, respiration, etc. L’atmosphère en contiendrait autour de 800 gigatonnes, 800 milliards de tonnes.

Le CO2 se retrouve également dans:

- les plantes terrestres: 600 milliards de tonnes de carbone dans les tissus biologiques
- la vie océanique: 2 milliards de tonnes de carbone dans les tissus biologiques
- la surface océanique : 800 milliards de tonnes de carbone, principalement sous forme d'ions de bicarbonate
- les profondeurs océaniques: 35 000 milliards de tonnes de carbone, principalement sous forme d'ions de bicarbonate
- le sol: 2000 milliards de tonnes de carbone, en déchets organiques d'origine biologique.

Les émissions naturelles de CO2 (incendies de forêts, respiration animale et végétale et respiration des organismes du sol) seraient de l’ordre de 772 milliards de tonnes tandis que les émissions anthropiques de CO2 (générées par l’humanité) seraient de l’ordre 29 milliards de tonnes, à savoir environ 3% du total.

L’hypothèse du GIEC, érigée en dogme absolu, (malgré l’opposition sans cesse croissante de dizaines de milliers de scientifiques de par le monde) est que l’accroissement de la température depuis 1860 est provoqué par l’accroissement de la concentration de l’atmosphère en CO2.

Ce n’est pas le propos de cet article de décortiquer, d’analyser, de comparer des centaines d’études “scientifiques” absolument contradictoires concernant cette problématique.
J’invite les lecteurs à réfléchir, à enquêter, à faire preuve d’intuition féminine et de bon sens et bien sûr à suivre les traces inodores de l’argent.
J’ai commencé une rubrique “Climats de Gaïa” [24] sur mon site Liberterre, présentant des dossiers et articles, et il existe de nombreux sites et blogs sur la toile disséquant la supercherie climatique (une pléthore en langue anglaise) même s’il est vrai que certains, de par leur encensement hystérique de la modernité occidentale, ne sont franchement pas ma tasse de thé. Diversité culturelle oblige. Non à la Pensée Unique et Monolithique.

Je souhaiterai juste poser quelques points et questions très simples:

- En 1860, nous sortions du Petit Age Glaciaire qui avait prévalu durant plusieurs siècles.
L’accroissement léger et progressif des températures, depuis lors et sans doute avant, n’est-il pas naturel puisque nous sommes sortis d’un cycle pour nous engager dans un autre?

- Selon le chercheur Allemand Ernst Georg Berk [25], et bien d’autres chercheurs [26] [66], “Entre 1812 et 1961, il y eut plus de 90 000 mesures du CO2 atmosphérique par la méthode Pettenkofer.
Ces mesures ont mis en exergue des pics de CO2 atmosphérique en 1825, 1857 et 1942. En 1942, la concentration en CO2 atmosphérique était de 400 ppm et donc plus élevée que de nos jours.
Un graphe du CO2 atmosphérique, mesuré par cette méthode, montre que pour la plus grande partie du 19 ème siècle, ainsi que de 1935 à 1950, le CO2 atmosphérique a été plus élevé que de nos jours”.
Est-il vrai que le GIEC n’a conservé de ces 90 000 mesures que celles lui permettant de créer sa “courbe en crosse de hockey” et de fixer arbitrairement un seuil minimal originel de 220 ppm? Si oui, pourquoi?

- Comment le GIEC explique-t-il la croissance de la température entre 1910 et 1940, la non-croissance (ou “croissance négative” pour employer les termes de la nov-langue!) de la température entre 1940 et 1975 environ (qui fut telle que certains annoncèrent un nouveau petit âge glaciaire) et l’accroissement subséquent à partir de 1975 environ jusqu’au début du siècle suivant ?

- Comment le GIEC explique-t-il, en l’absence de CO2 anthropogénique, le réchauffement climatique de l’Epoque Romaine ? En effet, certaines études qui ont publiées dans diverses revues scientifiques (Science, Nature...) mettent en valeur une très haute température durant cette période, jusqu’à 2,5 °C de plus que les températures actuelles. [20]

- Comment le GIEC explique-t-il, en l’absence de CO2 anthropogénique, le réchauffement climatique de l’Epoque Médiévale ? Rappelons que ce réchauffement climatique, entre 900 et 1400 environ, permit aux Vikings de naviguer les mers, de s’installer au Groenland, et de pénétrer jusqu’au Kentucky (500 ans avant la non-découverte de Christophe Colomb).
Cette époque fut une période de grande prospérité en Europe. Les études, auxquelles nous venons juste de nous référer, mettent en valeur des températures en excès de celles qui prévalent actuellement d’1,5 °C et jusqu’à 3 °C (pour un sous-cycle de 80 ans).

- Le GIEC laisse entendre que les niveaux de concentration de CO2 ont toujours été très bas sur la planète.
Pourtant, les chercheurs stipulent que le niveau du CO2 atmosphérique était de 7000 ppm il y a 600 millions d’années (20 fois plus qu’aujourd’hui).
Le cadre de cet article ne nous permet pas de décliner les énormes variations de CO2 alors que la température restait stable. Nous convions les lecteurs à consulter les travaux du botaniste Anglais, David Beerling, qui explique que: «Si l’on en juge par les flores modernes planétaires, les feuilles suscitent un sentiment d’inévitabilité évolutive.
Il est difficile d’imaginer que les plantes pourraient accomplir leur labeur quotidien de photosynthèse si elles étaient dépourvues de feuilles.
Cependant, et c’est surprenant, lorsque les plantes se lancèrent dans leur grande saga de colonisation de la Terre il y a environ 465 millions d’années, elles le firent sans feuilles... Les feuilles sont des structures remarquables qui permettent aux plantes de gérer, au quotidien, leur labeur de photosynthèse et de garantir ainsi la continuité des générations.
Cela prit, cependant, 40 millions d’années avant que cette innovation, en apparence simple, n’apparaisse et ne se répande au travers de tout le royaume végétal...
Pour résumer, l’évidence suggère que des niveaux très élevés de dioxyde de carbone prévalurent, lorsque les plantes primitives apparurent, qui s’effondrèrent, par la suite, lorsque la version botanique de l’explosion Cambrienne eut lieu.
Lors de cette explosion végétale, les vestiges fossiles révèlent que les feuilles apparurent graduellement, minuscules au début et devenant progressivement de plus en plus amples, tout en augmentant le nombre de pores stomataux forcés par le stress généré par la disette en dioxyde de carbone.»
Ainsi, le monde végétal ne fut constitué, pendant 40 millions d’années, que de troncs et de tiges en raison du taux extrêmement élevé de CO2 dans l’atmosphère. Il est difficile, certainement, pour l’imagination humaine de concevoir un monde végétal sans feuilles. Le GIEC aurait-il une explication censée quant à la stabilité des températures, à cette époque reculée, malgré les énormes fluctuations de CO2 ?

- Pourquoi le GIEC prétend-il que la dernière décennie a été la plus chaude alors que les records de température s’établissent comme suit, dans l’ordre décroissant? 1934/1998/1921/1931/2006/1999/1953/1990/1938/1939.

Cette liste de questions très simples est loin d’être exhaustive. On devrait évoquer également, bien évidemment, le soleil, la vapeur d’eau (le principal agent de “l’effet de serre”), les rayonnements cosmiques, le réchauffement de la planète Mars, les oscillations océaniques, etc. Il existe, d’ailleurs, en anglais une pléthore d’ouvrages, très documentés, qui dissèquent très clairement l’arnaque climatique.

J’en poserai une dernière, cependant, que d’aucuns pourraient même considérer comme “mystique” et qui a trait à la vanité “du bipède qui s’est auto-proclamé le roi de la création” pour emprunter une des terminologies favorites de Pierre Rabhi, le poète et écologiste. Gaïa, l’être planétaire, n’est pas un super-ordinateur: l’amplitude et la complexité de ses dynamiques et de ses boucles d’actions et de rétro-actions (pour ne pas même évoquer son “telos”) ne pourront jamais être analysées par un boîtier en aluminium doté d’une poignée de composants électroniques.
N’est ce pas le summum de l’arrogance, et de la démence, que de prétendre prévoir, à échéance de 10 ans, d’un siècle ou de deux siècles, les climats de la Planète Terre à partir d’un super-ordinateur, fût-il du GIEC, et des quelques miettes de “données” partielles et passagères dont il aura été nourri ?
Un tel super-ordinateur n’est qu’un simulacre lamentable de la planète authentique, le jouet virtuel et pathétique d’une poignée de scientistes capricieux.
Le CO2 en Bouc-émissaire
Cela fait longtemps que nous évoquons le spectre d’un gouvernement mondial et pour cela, nous fûmes qualifiés de fantaisistes, de paranoïaques, d’exaltés, etc.
Et le Nouvel Ordre Mondial, dont personne auparavant ne prononçait publiquement le trinôme fatal, est maintenant dans la bouche de tous ceux qui sont en contrôle des pays occidentaux, ou qui prétendent l’être (et parfois même des pays en voie d’occidentalisation): les experts agités en illusions, en double-langage, et en inversion des valeurs, dont l’incohérence des discours est à la mesure de leur inféodation aux puissances économiques et financières. Le Nouvel Ordre Mondial, la marque déposée du “Capitalisme social”, est prôné comme LA solution à la “crise planétaire”.
Que penser de l’affirmation, le 8 décembre 2008, de l’éditorialiste du Financial Times, Gideon Rachman: «La gouvernance internationale ne tend à être efficace que lorsqu’elle est anti-démocratique.» [27] Et que penser de l’assertion récente (voeux au corps diplomatique du 16 janvier 2009) proférée par le représentant élu du peuple français, Mr Nicolas Sarkozy [28]: «Nous irons ensemble vers le Nouvel Ordre Mondial, et personne, je dis bien personne ne pourra s’y opposer.» Ces affirmations sont en phase avec le sempiternel mantra de “gouvernance globale” martelé par Mr Al Gore, dans ses nombreux discours, pour sauver la planète de l’enfer climatique.

Néanmoins, je ne serais pas allé au charbon, sur ce terrain miné, et politiquement incorrect, de la remise en question du dogme carbo-dioxhideux si ce n’avait été “que” pour dénoncer, une fois de plus, le Nouvel Ordre Mondial.
Mon principal objectif est de dénoncer, ainsi que je l’ai souligné en début d’article, le fait que l’on fasse porter au réchauffement climatique anthropique, à la sauce CO2, “la destruction de l’intégralité de la biosphère, et l’empoisonnement de l’humanité, par la mafia de la semence, de la pétro et agrochimie et de la pharmacie, et ce depuis plus de 60 ans, avec la complicité bienveillante de tous les états Occidentaux.”

J’ai beaucoup apprécié la récente prise de position de Mr. Syun-Ichi Akasofu, (auteur d’une lettre ouverte au GIEC) qui fut le fondateur-directeur de l’International Arctic Research Center de l’Université d’Alaska. Mr. Syun-Ichi Akasofu est un géophysicien réputé, de 79 ans, qui manifestement, vu son âge canonique, ne peut pas être accusé de courir après des subventions du GIEC ou de quelque autre multinationale.
Dans l’un de ses derniers articles, attaquant très férocement les conclusions du GIEC, Mr. Syun-Ichi Akasofu évoque le danger du “parapluie” climatique:

« Cela pose sérieusement question, également, que le réchauffement climatique puisse être aussi facilement rendu responsable de tous les problèmes qui surviennent: les inondations (qui résultent souvent plutôt de la déforestation massive ou de la perte des zones humides) ou l’extinction de certaines espèces (qui peut résulter de l’excès de cueillette, de la perte des habitats, de l’invasion d’espèces exotiques, de problèmes de pollution), etc.
Pendant ce temps là, ceux qui sont réellement responsables de ces calamités peuvent aisément se cacher sous le “parapluie du réchauffement climatique”.»

Et le catalogue des calamités imputées au réchauffement climatique ne cesse de grandir au fil des années et au fil de l’attribution de subventions bien grassouillettes permettant de prouver tout, et son contraire, et d’agrémenter le vomi médiatique de nouvelles sensationnelles et renforçant le dogme établi.

- L’INRA (Institut National de la Recherche Agronomique) a découvert récemment que le nombre d’espèces de pucerons a augmenté très sensiblement “au cours des 40 dernières années”, en raison du réchauffement climatique.
S’est-on posé la question de savoir si cela n’était pas plutôt imputable aux méthodes de l’agrochimie. Pas du tout. Et pourtant, un directeur des recherches (dissident) de l’INRA, Francis Chaboussou, avait déjà écrit en 1985 que «les relations entre plantes et parasites sont avant tout d’ordre nutritionnel. Une fertilisation déséquilibrée, notamment les carences en oligo-éléments et les excès d’engrais azotés, perturbent la synthèse des protéines à l’intérieur de la plante.
Les substances solubles qui servent de matériau à cette synthèse s’accumulent alors dans les tissus et constituent une nourriture de choix pour les parasites.» Les insectes ne font, donc, qu’éliminer les plantes déséquilibrées.
Aucune relation entre les pucerons et le CO2.

- Des scientifiques français du MNHN (Muséum National d’Histoire Naturelle) de Paris ont montré que les oiseaux ne bougeaient pas assez rapidement en réaction au changement climatique.
Ne se pourrait-il pas que l’apathie des oiseaux provienne d’une autre cause ?
Car comme le précise la LPO (Ligue de Protection des Oiseaux), dans son communiqué dénonçant le Cruiser de Syngenta, [32] «Force est de constater, en tout cas, que dans toute l’Europe, et en particulier en France, les populations d’oiseaux des zones agricoles ont chuté de 30 à 40 % en moyenne depuis les années 1980-1990!
En Angleterre, l’ornithologue Campbell a montré qu’il existe une corrélation étroite entre la période où l’emploi massif des pesticides a débuté et celle où la chute des populations d’oiseaux a commencé. L’ornithologue allemand Reichhof a souligné le rôle des villes et des villages comme sanctuaire pour la biodiversité, alors que, de leurs côtés, les campagnes se désertifient.» Soulignons que 30 à 40 %, en moyenne, ce n’est que depuis les années 1980-1990.
Nous n’avons pas de chiffres précis sur l’extermination des populations d’oiseaux à partir de 1945 puisqu’il était “scientifiquement” établi par l’INRA, et autres affiliés, que les pesticides ne représentaient AUCUN problème pour les êtres vivants.
Il fallut attendre l’ouvrage de Rachel Carson et le lancement de la revue “la Gueule Ouverte” (dont le n°12 d’Octobre 1973 titrait “Quelle Terre laisserons-nous à nos enfants ?” pour que le problème des pesticides commencât à être posé.
En conclusion, l’anéantissement des oiseaux en France n’a rien à voir avec le CO2.

- L’INRA a récemment déclaré vouloir travailler à adapter les blés, et autres grandes cultures, au réchauffement climatique.
Les agronomes s’alarment, en effet, de la stagnation des rendements des grandes cultures depuis 1990.
Les meilleurs limiers du petit monde de la biologie, de la génétique, de l’économie et de l’agronomie sont partis en quête du coupable.
Et ils l’ont trouvé: le réchauffement climatique. S’est-on posé la question de la santé des sols agricoles Français ?
Non, parce que cela va de soi, ils sont débordants de vitalité, n’est-ce pas ?
 Parlez-en donc à l’agronome Claude Bourguignon de la vitalité de nos sols agricoles!

- Greenpeace s’est empressé de faire porter la responsabilité des récents feux en Australie au réchauffement climatique.
Ces feux sévissaient sur une partie du continent alors que l’autre partie était engloutie par les inondations, dues sûrement, elles-aussi, au réchauffement climatique! Est-il nécessaire de porter à la connaissance de Greenpeace que les feux en Australie, et les sécheresses, ont été rapportés historiquement depuis 1789, à savoir depuis que les Blancs ont envahi le territoire des Aborigènes. Les feux du 7 février 2009 tuèrent plus de 170 personnes et détruisirent un demi-million d’hectares. Les feux du 6 février 1851, par exemple, tuèrent 12 personnes et détruisirent 5 millions d’hectares.
Faut-il également rappeler aux activistes de Greenpeace que le continent Australien a été détruit intégralement par un siècle et demi de déforestation, d’agriculture et d’élevage intensifs. Précisons, de plus, que l’Australie a été sous un régime d’intenses sécheresses de 1910 à 1945, un régime d’intenses inondations de 1945 à 1975 et de nouveau un régime d’intenses sécheresses à partir de 1975 et jusqu’à récemment.
Ces différentes périodes seraient, bien sûr, en lien avec les phénomènes connus sous le nom d’El Niño et La Niña.
Nous remarquerons, bien évidemment, que ces périodes correspondent presque exactement aux croissances et décroissances de température pour lesquelles nous avons posé, ci-dessus, une question au GIEC. Dans tous ces cycles climatologiques Australiens, quel est réellement l’impact du CO2 ?
Vraisemblablement, aucun.

- Au Népal, WWF tire les sonnettes d’alarme sur le réchauffement climatique menaçant un grand nombre d’espèces Himalayennes.
Il serait plaisant de voir WWF Népal monter au créneau aussi résolument pour dénoncer la perte des sols agricoles Népalais. La région de Katmandou, l’une des plus fertiles du monde, autrefois, est dévastée, brûlée, par la chimie agricole: les paysans Népalais pleurent, ils ne savent plus quoi faire.
Et si les sols Népalais sont ruinés par les fertilisants synthétiques, les herbicides et autres pesticides, qu’en est-il des écosystèmes locaux environnants ?
Sont-ils protégés par une bulle en verre, une bulle virtuelle ou par la grâce de Vishnou?

Je pourrais multiplier la liste de ces exemples.
La biosphère agonise sous l’impact de l’agriculture toxique: rien à voir avec le CO2.
Les Caniculs-bénis, une nouvelle secte ou une nouvelle religion?
Lorsqu’un groupuscule d’individus proclame, haut et fort, qu’une entité extraterrestre, venant du Très Haut du Cosmos, dans son vaisseau spatial, les a visités et les a exhortés à se dépouiller de l’orgueil humain de se prendre pour le maître de la Création, à se repentir de tous les maux qu’ils ont infligés à notre Mère la Terre et les a informés que les élus repentis seront ascensionnés, sur un plan énergétique supérieur, le 21 décembre 2012, ce groupuscule est qualifié de “secte” par les Autorités et, bien sûr, mis à l’index.

Si ce même dogme était proclamé par un milliard d’individus (ce n’est qu’une supposition, une hypothèse de travail), le consensus global en ferait une “religion” officielle et respectée.
Ainsi va la vie humaine.

Les Caniculs-bénis du réchauffement climatique anthropique, à la sauce CO2, ne sont-ils encore qu’une secte groupusculaire ou bien déjà une religion en gestation ?
Le consensus n’en est-il encore qu’à sa phase molle (avec un groupe “d’illuminés” menant la barque) ou bien déjà en phase de ferveur collective, active et fiévreuse ?
En bref, quelle est l’amplitude de l’infestation idéologique parasitaire ?
 Le Ver a-t-il déjà miné intestinement les méandres de la conscience collective ?

Les années à venir nous le diront mais il se pourrait fort bien que le prosélytisme ardent de cette flatulence, émanant du désert culturel, soit très vite refroidi par un vent de “global cooling” car il en va des vents comme des cycles du climat, nul ne sait d’où ils viennent...

On peut sans doute faire remonter les origines de ce dogme à la conférence de 1975, en Caroline du Nord, organisée par l’anthropologue Margaret Mead.
La conférence s’intitulait “The atmosphere: endangered and endangering”.
Ce n’est pas le propos de cet article de mettre en doute la sincérité des motivations de Margaret Mead.
Notons, cependant, qu’intervenaient à cette conférence Paul Ehrlich, ultra-malthusianiste et auteur de la “Bombe P.” (qui avait prophétisé la disparition de l’Angleterre d’ici l’an 2000) et Stephen Schneider qui faisait la promotion du scénario du “Refroidissement Global”, vers 1970. Stephen Schneider est connu pour avoir déclaré en 1996, à un journaliste: «Afin de capturer l’imagination du public, nous devons promouvoir des scénarios de panique, proférer des déclarations dramatiques, et très simplifiées, et faire abstraction de tout doute que nous puissions avoir... » Stephen Schneider aurait également précisé, durant la conférence de 1975, que «les politiques d’énergie nationale et d’alimentation doivent avoir pour fondement que le contrôle de la population par guerre nucléaire ou par affamement de masse, est indéfendable.»
Tant mieux, nous l’avons échappé belle! James Lovelock y participait également et ne manqua pas, alors, de se moquer ouvertement des scénarios les plus hystériques concernant le réchauffement anthropique.
James Lovelock a beaucoup changé.

Michael Crichton, le célèbre écrivain US de science-fiction, scénariste et producteur de films, dénonça farouchement, durant les dernières années de sa vie, l’arnaque climatique.
En 2003, lors d’une conférence, il déclara: «Il est clair que tout scientifique puisse être accusé comme Galilée le fut.
Mais je n’aurais jamais imaginé “Scientific American” dans le rôle de la Mère Eglise». Michael Crichton posa également la question de savoir depuis quand le terme “sceptique” est-il devenu un “gros mot”.

En juillet 2009, lors d’une conférence , Mr. Al Gore proféra ses litanies habituelles «... grâce à la gouvernance globale et bla bla bla...» mais compara, aussi, la lutte contre le réchauffement climatique à la lutte contre les Nazis.
Quelques heures plus tard, le Times escamotait, de son site web [49], cette image un peu “forte”.
Mais Mr Al Gore voulait-il suggérer, oui ou non, que les sceptiques sont des pro-Nazis, ou l’auraient été, ou le seraient ?

Tout cela est profondément troublant et il semblerait, en effet, que les prosélytes de ce nouveau dogme aient fait appel à toute l’artillerie lourde de certaines techniques religieuses d’antan pour imposer leurs croyances aux “Païens climatiques”.

Les sceptiques sont dénoncés comme des “négationnistes” (à savoir comparés à ceux qui mettent en doute l’Holocauste) et parfois même comme des criminels climatiques .
Ils ne sont pas, encore, brûlés sur les bûchers de l’Inquisition Climatique mais ils ont, néanmoins, grand peine à pouvoir s’exprimer.
Les médias, à la solde des Autorités, ont bloqué tout accès aux tribunes publiques. Ainsi, en Angleterre, le célèbre Professeur David Bellamy, aujourd’hui âgé de 76 ans, botaniste, auteur de 35 ouvrages et ayant à son actif 400 programmes de télévision, fut viré comme un malpropre lorsqu’il osa s’exprimer publiquement sur l’arnaque climatique.

Le film de Mr. Al Gore “Une vérité qui dérange” a été distribué dans des dizaines de milliers d’écoles: un lavage de cerveau savamment orchestré.

Nous avons déjà évoqué les discours apocalyptiques de certains, à l’instar des prophéties bibliques: les eaux qui vont monter et les vagues qui vont nous engloutir (le Déluge ?), la fournaise climatique suffocante (l’Enfer). On pourrait également évoquer la culpabilité, la rédemption par les taxes, le dogme incontournable des rapports du GIEC, les gurus auto-proclamés...

Le Diable est tout trouvé, c’est le CO2!
L’éternel combat entre les Fils de la Lumière et les Fils des Ténèbres.
La dichotomie fatidique, fondement de la théologie de l’annihilation. Le CO2 a été tellement satanisé que la simple mention de ce gaz atmosphérique évoque, dans l’imagination populaire, le poison, le polluant, le toxique.
Et pourtant le carbone est la base de la vie et tous les aliments que nous consommons procèdent du dioxyde de carbone atmosphérique.

Ceux qui osent évoquer le Soleil, comme facteur fondamental des cycles climatologiques, sont stigmatisés à l’image de Galilée qui osa positionner notre astre au coeur du système planétaire.
L’Histoire qui se répète.

On pourrait également mentionner les “indulgences pontificales” remplacées par les “compensations de carbone” vendues par un nouveau clergé, les grands prêtres de l’absolution climatique.

Les Autorités doivent se pâmer d’aisance à la vue de toutes ces “croisades climatiques”, pour la plupart virtuelles et informatisées: ne préfèrent-elles pas, en effet, que les militants activistes soient en face de leur ordinateur (la boîte à réalité virtuelle) plutôt que de bêcher leur jardins (dans un souci d’autonomie fertile) ou de fomenter les “Insurrections qui viennent”.

La sémantique de ces croisades climatiques, et des multiples pétitions afférentes, à l’image de celle de la nov-langue, est experte à semer la confusion dans les esprits: “alerte climatique”, “crise climatique”, “cent jours pour lutter contre le réchauffement”, “on ne négocie pas avec le climat, on agit”, “l’ultimatum climatique”, “le Climat entre nos mains”, “
350.org”, “seal the deal”, “fondation pour la protection du climat”, “réseau pour un climat neutre”, “Time for Climate Justice”,” Climate for Life”, etc, etc, ad nauseam.

Des petits malins commencent même à proposer des “vacances climat neutre”, des “voyages sans carbone” et toute une gamme de “produits à bilan carbone neutre”.

Et James Lovelock parle, dans son dernier ouvrage, de notre “empreinte écologique plus noire que le péché”.
A quand la confession publique obligatoire et le dévoilement de son “empreinte carbone” ?
Et pour les châtiments ?
Fixation du CO2 et Libération de l'Humus
Il paraîtrait que la “taxe carbone” est de gauche!
Et l’Ecologie doit-elle être de gauche, aussi ?
Est-ce pour cela que Mr Sarkozy a sorti de son placard à bolets un cryptogame de la préhistoire ?
 L’écologie politique est-elle à ce point fossilisée qu’elle se soit rendue complice de cette imposture climatique ?
Ou est-ce, peut-être, que l’écologie politique n’a vraiment jamais remis en cause, intrinsèquement, les fondements mortifères de la civilisation occidentale moderne? Juste du vernis verdâtre pour occulter le vert de gris ?
Mais cela n’est sans doute pas si simple car combien d’écologistes ont des doutes profonds concernant cette arnaque climatique ?
Néanmoins, peu d’entre eux osent l’exprimer publiquement de peur de passer pour des crétins ou des voyous climatiques.

La question que je pose aujourd’hui à tous les écologistes, mais aussi aux ONGs, aux commissions de l’ONU, aux oligarques globalistes, aux fondations, aux représentants élus, aux négociants en crédit carbone, etc, est la suivante:

Si l’urgence du réchauffement climatique est à ce point dramatique, si le CO2 est sur le point de carboniser l’humanité ou de l’engloutir par la montée des eaux, pourquoi ne pas promouvoir AUJOURD’HUI même (et pourquoi ne l’avoir pas fait avant) la reconversion à l’agriculture biologique de toutes les terres agricoles de la planète ?

Le Rodale Research Center a déduit de ses recherches, qui ont porté sur 24 années, la capacité de fixer par année et par hectare 3,7 tonnes de CO2 en agriculture biologique. [55] Et ce, sans prendre en considération les réductions en émissions de CO2 dues aux besoins énergétiques inférieurs de l’agriculture biologique que le Professeur David Pimentel, de l’Université de Cornell, estime à 63% des besoins énergétiques de l’agriculture chimique [56]. A raison de 2000 millions d’hectares arables planétaires, la fixation de CO2 serait de 7,5 milliards de tonnes de CO2, à savoir près du tiers des émissions anthropogéniques “officielles”.

Dans le même ordre d’idée, pourquoi ne pas limiter AUJOURD’HUI même (et pourquoi ne l’avoir pas fait avant) la goinfrerie en viande de l’occident et d’avoir, par là-même, stopper une grande partie de la déforestation, responsable d’une portion des dites émissions (pour ne pas mentionner les pets méthaniers des bovins!)?

La réponse à ces questions, et surtout à la première, est claire et évidente: parce que la mafia de l’agrochimie en a décidé autrement et qu’elle serait ruinée par une telle reconversion. Mais j’aimerais tellement l’entendre de la bouche des fondations, de l’ONU, des ONGs, des partis politiques...
Peut encore rêver que Mr Al Gore (au nom prédestiné) se transforme en apôtre du compostage...?
N’avait-il pas d’ailleurs évoqué, dans son discours sus-mentionné en juillet 2009, qu’effectivement certains sols étaient décidément très peu fertiles et en manque vital de carbone?

L’urgence d’aujourd’hui, ce n’est pas le CO2, ce n’est pas le réchauffement climatique anthropique, L’urgence, c’est “la destruction humique”.
Les sols agricoles sont biologiquement morts, dans leur grande majorité.
La reconversion de toutes les terres agricoles par des pratiques agro-écologiques permettrait, en sus de la fixation de CO2 (qui n’est qu’un épiphénomène) de régénérer les sols, de stopper l’érosion des sols et de ralentir les processus de désertification, d’augmenter considérablement le pouvoir de rétention en eau des sols (et donc de diminuer drastiquement les besoins en eau douce de l’agriculture, un des enjeux véritables du futur), de nourrir les peuples avec des aliments sains, hautement nutritifs et exempts de poisons (et donc de réduire drastiquement les cancers et autres pathologies et toutes les dépenses financières afférentes), de protéger les nappes phréatiques, de régénérer l’agroforesterie traditionnelle et de préserver la biodiversité alimentaire en gardant précieusement les variétés traditionnelles qui sont, de loin, beaucoup plus résilientes.

C’est d’ailleurs ce que prétendent faire les multinationales de la semence (Monsanto, Syngenta, en partenariat avec Bill Gates et la Fondation Rockefeller): “sauvegarder la biodiversité en cas de changement climatique, de guerre ou de catastrophe naturelle” dans leur grande banque “réfrigérée naturellement par un climat glacial” de l’archipel du Spitzberg (archipel de Svalbard) en Norvège.
Le dit archipel, qui selon les alarmistes, aux grands discours apocalyptiques et hypocrites, serait au coeur même du changement climatique surchauffant, à raison même de 0.7 °C d’augmentation par décennie!
Les clowns ne sont pas en manque de contradictions. [42]

Et pour reparler de résilience, je m’étonne de cette frayeur hystérique d’une légère montée des températures qui ruinerait l’agriculture.
Nous mentionnerons, au passage, que le maïs, plante C4, poussait littéralement, autrefois, dans les déserts du sud-ouest des USA.
Les agronomes modernes en ont fait une pompe à eau qui nécessite 1500 litres de ce précieux liquide pour produire 1 kilo de grain sec.
Monsanto, Syngenta, DuPont, de la grande famille des Humanitaires Globalistes, travaillent, depuis plusieurs années, à créer des chimères génétiques de maïs qui seront résistantes à la sécheresse... et au réchauffement climatique.
La boucle est bouclée.
L’INRA, nous l’avons évoqué, envisage de déployer tout son “génie” génétique pour briser cette fâcheuse tendance que le blé a de ne pas vouloir produire encore plus et pour l’adapter, bien sûr, au réchauffement anthropique.

Question simple, et naïve, peut-être: lors du réchauffement climatique de l’Epoque Romaine et lors du réchauffement climatique de l’Epoque Médiévale, comment les paysans ont-il pu continuer à cultiver leurs variétés de céréales puisqu’ils ne bénéficiaient pas de l’accompagnement éclairé (les pôvres) des agronomes, biologistes, et autres généticiens de l’INRA ?
La réponse est claire: les variétés dites “de population” vivantes, fluides, ouvertes à tous vents, étaient capables de s’adapter, dans un sol biologiquement vivant, à tous les “changements climatiques”!

L’INRA ne vient-il pas de découvrir que “les plantes migrent en altitude en réponse au réchauffement climatique” et plus précisément de “l’ordre de 29 mètres en altitude par décade.”
A savoir pour s’adapter à un dixième de 0,7°C, par décade. Quelle découverte phénoménale!
Non, l’argent du contribuable n’est pas dépensé en vain à l’INRA. Voilà pourquoi, sans doute, le monde végétal, depuis son émergence, il y a 465 millions d’années, a survécu malgré des variations de 200 à 4000 ppm de CO2 atmosphérique.
Les plantes s’adaptent! L’INRA sera sûrement intéressé de savoir que l’une des variétés de laitues les mieux adaptées au climat du Tamil Nadu, dans le sud de l’Inde, c’est la “Merveille d’Hiver”: les voies de Gaïa sont manifestement impénétrables.

Pour en revenir aux frayeurs liées à la chaleur, nous pouvons, dans le sud de l’Inde, avec des méthodes agro-écologiques “intensives” (si l’on me permet le terme) nourrir 25 personnes par hectare et par an (avec un peu d’eau, il est vrai) et en régime végétarien.
Pour entrer même dans le détail, nous pouvons produire des courges musquées (espèce Cucurbita moschata, la plus longue de croissance) en l’espace de 2 mois à partir du jour du semis.
A savoir en deux fois moins de temps qu’en France. Et que ceux qui en doutent aillent vérifier sur place.
Ne le répétez pas aux Malthusianistes, mais nous pourrions donc, avec ces méthodes agro-écologiques, nourrir aisément, sur 150 millions d’hectares de terre arable, deux milliards de personnes en Inde, au moins!
Vers un Refroidissement Global!
Et pour ne pas finir sur cette provocation, un tant soit peu COquine, nous allons en évoquer une autre, plus refroidissante.

Nous avons mentionné les cycles de régimes de sécheresses et d’inondations prévalant en Australie qui correspondent, of course, aux cycles de croissance et de non-croissance de températures, durant le siècle passé.
Ces cycles sont grosso-modo d’une trentaine d’années.

En 1950, le climatologue et océanographe Edouard Le Danois (qui fut directeur de l’Office Scientifique et Technique des Pêches Maritimes) publia un ouvrage intitulé “Les Rythmes du Climat dans l’Histoire de la Terre et de l’Humanité”.
Dans cet ouvrage, Le Danois expliquait les relations entre le climat et les phénomènes astronomiques: la période de révolution des noeuds de l’orbite lunaire de 18 ans, la période déclinaison-syzygies de 111 années, la période périhelium-noeud apside de 1850 années, etc.
Le Danois avait d’ailleurs annoncé en 1950 que la prochaine grande marée séculaire adviendrait aux alentours de 1995... et la “grande tempête du siècle” arriva en décembre 1999.
Le Danois expliquait également, en 1950, que nous étions entrés, aux alentours de 1860, dans un nouveau cycle de réchauffement, source de prospérité agricole, qui allait perdurer durant quelques siècles mais avec des cycles car, dans la Nature, peu de phénomènes sont linéaires.
Le Danois était un spécialiste des “transgressions océaniques” (son ouvrage, du même nom, est disponible sur la toile).
Le Danois n’a, bien évidemment, jamais, au grand jamais, mentionné une quelconque relation entre le CO2 atmosphérique et les cycles climatiques.

L’ouvrage n’est pas jeune, il est vrai, mais doit-on brûler tous les travaux scientifiques antérieurs à l’émergence du GIEC en 1988 ?

En 1275, le terme climat signifiait “zone terrestre déterminée par sa situation par rapport aux corps célestes”.
Le terme, étymologiquement, est dérivé du Grec “clima”, “inclinaison du ciel”. Ne tombe-t-il pas sous le sens que les climats de Gaïa soient influencés par les phénomènes astronomiques, par le passage du système solaire dans telle ou telle région de la galaxie et par le Soleil?
L’ouvrage “The Chilling Stars”, par exemple, de Svensmark et de Calder, émet l’hypothèse que le climat est une résultante de l’influence conjuguée des nuages, du soleil et des rayons cosmiques.

Quoi qu’il en soit, vu que le dernier sous-cycle de réchauffement, relatif, a débuté environ en 1975, ne pourrait-on pas s’attendre à ce qu’un nouveau sous-cycle de refroidissement, relatif, ait débuté aux environs de 2005 ?
Et bien, c’est exactement ce qu’annoncent certains scientifiques! Le Professeur Easterbrook est professeur de géologie à l’Université de Washington.
Il est l’auteur de 8 ouvrages et de 150 publications avec une spécialisation dans la géomorphologie, la géochronologie du Pléistocène et la géologie glaciale. Ecoutons le:

«Malgré l’absence de réchauffement climatique en dix ans, et des records de froid en 2007-2008, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (le GIEC) et les créateurs de simulateurs informatiques, qui croient que le CO2 est la cause du réchauffement planétaire, prévoient toujours que la Terre fera face à un réchauffement catastrophique au cours de ce siècle.
Les simulateurs informatiques du GIEC ont prédit un réchauffement planétaire de 1° F par décennie et de 5-6° C (10-11° F) d’ici 2100 , ce qui causerait une catastrophe planétaire ayant des effets sur la vie humaine, l’habitat naturel, l’énergie et les ressources en eau, ainsi que la production de nourriture...
Toutefois, les données sur les changements climatiques enregistrées par le passé suggèrent un scénario complètement différent pour le 21e siècle. Au lieu d’un réchauffement planétaire radical, à un rythme de 0,5° C (1° F) par décennie, les données des cycles naturels précédents suggèrent un refroidissement planétaire pour les premières décennies du 21e siècle, soit jusqu’en 2030, suivi d’un réchauffement planétaire de 2030 à 2060 et d’un nouveau refroidissement planétaire de 2060 à 2090. (Easterbrook, D.J., 2005, 2006 a, b, 2007, 2008a, b); Easterbrook et Kovanen, 2000, 2001).
Les fluctuations climatiques des dernières centaines d’années suggèrent des cycles climatiques de réchauffement et de refroidissement d’environ 30 ans, une tendance généralement à la hausse depuis le Petit Age glaciaire.»

Et il conclut son long article (de novembre 2008): «Le réchauffement planétaire (c’est-à-dire le réchauffement depuis 1977) est terminé.
L’augmentation infime de CO2 anthropogénique dans l’atmosphère (0.008%) n’était pas la cause du réchauffement.
Il s’agissait de la continuité de cycles naturels qui se sont produits au cours des 500 dernières années.
L’épisode froid de l’OPD a remplacé l’épisode chaud dans l’océan Pacifique, ce qui nous garantit environ 30 ans de refroidissement planétaire, peut-être plus intense que celui de 1945 à 1977.
Ce qui est incertain, c’est à quel point le climat planétaire sera plus froid durant cette période. Les récents changements solaires suggèrent que le refroidissement pourrait être assez important. Il ressemblerait davantage au cycle froid de 1880 à 1915 qu’à celui, plus modéré, de 1945 à 1977.
Un refroidissement plus draconien que ces derniers, comparable à ceux des minima de Dalton et Maunder, pourraient plonger la Terre dans un autre Petit Age glaciaire.
Toutefois, seul le temps dira si cela est probable ou non.»

Et lorsque l’on consulte, en bon anglais, les résultats affichés pour les glaces Arctiques, par le National Snow and Ice Data Center, pour le mois d’août 2009, en relation avec août 2008 et août 2007, il semble effectivement, et très nettement, que l’on soit dans une phase de refroidissement.

Ouvrons les parapluies car les insultes, et les tomates, climatiques vont voler bas. Mais pouvons nous faire abstraction des vagues de froid extrême qui ont anéanti des centaines de vies humaines, les troupeaux et les récoltes au Pérou depuis 2003 (et il neiga à Buenos Aires) ?
Pouvons nous faire abstraction des troupeaux de chèvres décimés par le froid durant l’hiver 2007/2008 dans l’Himalaya (et il neigea à Katmandou) ?
Pouvons-nous faire abstraction de trois étés froids et humides au Canada et du mildiou (Phytophtora infestans), de souche beaucoup plus virulente que celui qui a provoqué la grande famine en Irlande au 19 ème siècle, qui a détruit en quelques jours, au début de l’été 2009, une grande partie de la récolte de tomates et de pommes de terre dans 13 états à l’est des USA ainsi qu’au Canada ?
Pouvons-nous faire abstraction de l’hiver 2008/2009, le plus froid que nous ayons connu en France depuis 20 années? Pouvons-nous faire abstraction des records de froids, durant l’été 2009, jamais vus depuis des dizaines d’années, qui ont été enregistrés dans la majorité des USA.
Pouvons-nous faire abstraction du fait que les états de l’Ohio, de l’Illinois, de l’Indiana, et de West Virginia ont vécu leur mois de juillet le plus froid depuis 115 ans ?
Nashville, au Tennessee, la ville de Mr Al Gore, a battu en juillet le record de froid de 1877.
Peut-être un clin d’oeil de Gaïa!!

D’ailleurs, révolution dans les chaumières, il semblerait même que certains des pontifes du GIEC ne puissent plus en faire abstraction.
C’est le cas de Mojib Latif de l’Institut Leibniz des Sciences Marines de l’Université de Kiehl et du Max Planck Institute à Hamburg en Allemagne.
Il est l’auteur de 3 ouvrages (sur le changement climatique) et de 130 publications scientifiques.
Le Max Planck Institute lui a décerné, en 2000, le prix de la Science Publique.
C’est l’un des top modélisateurs du climat au GIEC: [83] il est réputé pour avoir contribué, de manière très conséquente, au développement des modèles de simulation du climat global et de leur utilisation pour des prédictions à court et moyen termes. Il a contribué aux rapports du GIEC de 2001 et de 2007.
Il est l’auteur de l’ouvrage publié en juin 2009: “Climate Change: the point of no return”.

Et pourtant, lors de la 3ème “Conférence Mondiale du Climat” à Genève [36] (du 31 août au 4 septembre 2009), Mojib Latif a déclaré, devant plus de 1500 scientifiques du climat de la planète, que «Les prévisions du changement climatique sont proches du dérapage....
Je ne suis pas un des sceptiques du climat.
Cependant, nous devons nous poser les questions dérangeantes nous-mêmes, sinon d’autres le feront.»

Et selon le communiqué de Fred Pearce , que l’on ne peut pas soupçonner d’être un climat-sceptique, (en date du 5 septembre 2009, c’est tout “frais”): «Latif a prédit que dans les prochaines années, une tendance refroidissante naturelle allait prendre le pas sur le réchauffement anthropique.
Ce refroidissement résulterait des variations cycliques des courants océaniques et des températures de l’Atlantique Nord qui sont connues sous le nom d’Oscillation Nord Atlantique (NAO).
Rompant avec l’orthodoxie du changement climatique, il a dit que les cycles de l’Oscillation Nord Atlantique étaient probablement responsables, en partie, du fort réchauffement global que nous avons vécu pendant les trois décennies écoulées.
“Mais de combien? cela reste encore à déterminer.” a-t-il dit aux conférenciers.
L’Oscillation Nord Atlantique est maintenant entrée dans une phase froide.

Latif a également ajouté que les cycles de l’Oscillation Nord Atlantique expliquent le reverdissement récent du Sahel en Afrique après les sécheresses des années 1970 et des années 1980.
James Murphy, le responsable des prévisions climatiques au Met Office (l’agence météo anglaise) a confirmé son accord et a établi une corrélation entre l’Oscillation Nord Atlantique et la mousson en Inde, ainsi qu’avec les ouragans dans l’Atlantique et la mer glacée de l’Arctique.
“Les océans sont un facteur décisif de la variabilité décennale naturelle” a-t-il déclaré.»

Permettez-moi de jubiler.
Edouard Le Danois, l’océanographe et astronome, va finir par sortir des oubliettes.
Il y aura sûrement encore des irréductibles du CO2 qui vont s’écrier que le refroidissement global va intensifier le réchauffement global anthropique puisque, chauffage hivernal aidant, nous allons consommer encore plus d’énergie fossile! En effet, les voies de Gaïa ne sont pas linéaires.
Un cycle peut en cacher un autre.

Quant au Syndrome du Titanic ?
Sûrement, mais avant tout du Titanic Agricole si l’on veut analyser objectivement la destruction de la Biosphère.
En tout cas, il semblerait que le super-ordinateur/simulateur du GIEC, commence à prendre l’eau de toutes parts.
En épitaphe: “Dans l’océan Virtuel de ses vanités et de ses arrogances, il sombra, atomisé par un iceberg émergeant du Réel. A l’image de son homonyme, de chair et d’os, et à l’instar de son frère de silicium, qui, dans son Odyssée, s’abîma en explorant le vide, il eût pu s’appeler HAL”.
(Un autre clin d’oeil de l’histoire: dans les manuscrits de Nag Hammadi des Païens Gnostiques du III ème siècle, qui luttaient alors contre la pensée Monolithique, HAL, en copte, signifie “tromperie, stratagème, simulation”).

Que faut-il faire? Peut-être annuler la prochaine conférence de Copenhague sur le Réchauffement Climatique Anthropique: il n’en sortira rien. Ou peut-être alors en recycler les thèmes de réflexion, et d’action, qui devraient être: la reconversion à l’agriculture biologique, la reforestation, la sécurité alimentaire dans les pays pauvres, la lutte contre l’érosion des sols et la désertification, la distribution de l’eau douce...

Je prie le lecteur de me pardonner pour la longueur de cet essai mais cela m’a sincèrement libéré, après deux années de silence, d’un énorme poids sur la conscience.
Je continuerai de présenter des traductions de l’anglais, au fil de mes disponibilités, sur tous les thèmes liés au climat et en particulier celui du passé de la Terre.

La Vie est belle.
Inhalons et Exhalons à pleins poumons.
Et que ce soit dans le froid ou dans le chaud, je suis intimement convaincu qu’il va nous falloir enseigner à nos enfants comment survivre dans la Beauté de Gaïa.
Afin de préparer les voies des Tribus du Futur.

Dominique Guillet.