Article de "True Arena" du 19 septembre 2021
Lien originel : https://textup.fr/569766QC
Je viens partager avec vous les raisons pour lesquelles il faut se méfier de ces "vaccins" à ARN messager.
Pour ceux qui auraient du mal à lire les sources, je vous conseille d'installer l'extension Google Traduction pour traduire vos pages en un clic.
I - Dernières infos
- On remarque une surmortalité chez toutes les tranches d'âge au moment des injections. Par exemple, les plus âgés ont reçu massivement des injections en janvier, on y voit donc un pic de mortalité. Chez les plus jeunes, la surmortalité se présente à partir de février, date de début des injections pour eux. (8:55)
- Sur ce graphique, la mortalité chez les 20-29 ans est totalement exceptionnelle, seule la Guerre de Gaza en 2014 présente une mortalité aussi élevée. (12:07)
- Il y a un plus grand nombre d'appels aux urgences, largement supérieur aux années précédentes pour des arrêts cardiaques. (12:54)
- Les cas positifs concernent beaucoup moins ceux qui ont reçu deux injections puisqu'ils ne sont pas obligés de faire de tests pour accéder aux lieux publics. On ne peut donc pas mesurer l'efficacité à partir de ces données. (18:42)
- L'Islande a plus de cas que jamais alors qu'elle a vaccinée plus de 90% de la population. (01:14)
- La mortalité est beaucoup plus faible quand on traite les gens, quel que soit l'âge. (11:17)
- Les charges virales sont plus importantes chez les personnes vaccinées.(18:42)
- Moins de décès et d'hospitalisations avec le variant delta. (19:42)
- Nous n'avons pas de données qui démontrent que le vaccin diminue la gravité à cause de la petitesse de nos échantillons. (21:28)
Voici la vidéo.
Voici l'article du 09/08/21 : https://www.journalofinfection.com/article/S0163-4453(21)00392-3/fulltext
- 74% des cas sont survenus chez des personnes complètement vaccinées (346 sur 469).
- 80% des personnes hospitalisées sont complètement vaccinés (4 sur 5).
Les valeurs du Ct PCR montrent que les échantillons de 127 patients complètement vaccinés sont similaires à celles des 84 patients n'étant pas vaccinés, donc la charge virale est à peu près la même, or le risque de transmission du virus est directement lié à la charge virale. Les résultats suggèrent qu'un vacciné contamine autant qu'un non vacciné. Donc quel que soit le status vaccinal, des mesures de prévention seront appliqués, il n'y aura donc aucun avantage pour les personnes entièrement vaccinées.
- D'après Pfizer (voir page 7), l'efficacité diminue de 6% tous les deux mois, on passe de 95% à 83,7%.
- D'après Israël, l'efficacité passe de 95% à 39%, on constate une différence de 25 points de pourcentage en seulement deux semaines, ce qui contredit l'étude de Pfizer.
On peut donc en déduire que ce chiffre qui était à 0,87% est encore plus faible.
Voici l'étude : https://www.thelancet.com/journals/eclinm/article/PIIS2589-5370(21)00141-3/fulltext
Voici comment interpréter l'efficacité (RRR/ARR) : https://www.thelancet.com/journals/lanmic/article/PIIS2666-5247(21)00069-0/fulltext
II - Destruction du système immunitaire inné
Le Dr Geert Vanden Bossche, créateur de vaccin mondialement reconnu a envoyé des lettres aux professionnels concernés (WHO, NIH, CDC, Bill & Melinda Gates Foundation, GAVI, CEPI, FDA, EMEA, Pfizer, Moderna, Astra-Zeneca, J&J, Novavax, GSK) pour leur dire qu'il faut stopper le programme de vaccination immédiatement.
Il est certainement l'un des plus talentueux, voici une toute partie de son parcours :
- Directeur de projet des vaccins contre la grippe chez Solvay
- Agent principal de programmes de santé mondiale et de découverte de vaccins chez Bill & Melinda Gates Foundation
Pour en savoir plus, voici son LinkedIn.
Voici ce qu'il explique :
Les anticorps spécifiques à longue durée de vie (du vaccin) concurrencent nos anticorps à faibles spécificité (naturels). Ces anticorps naturels vous fournissent une large protection, qui n'est pas spécifique aux variants, c'est à dire qu'ils vous protégeront de tous les variants. Cependant, les anticorps du vaccin ne vous protègent pas de tous les variants, il suffit donc que le virus soit assez différent pour qu'ils en deviennent inefficace. Il s'avère que les anticorps du vaccin sont dominants, ils reviennent à chaque fois que vous attrapez un coronavirus et vous ne pourrez donc jamais supprimer cette sorte de programme installée en vous lors de votre vaccination. Les conséquences sont graves, imaginez-vous, lorsque nos anticorps naturels voudront intervenir pour éliminer un variant, c'est nos anticorps induits par le vaccin qui vont intervenir pour dégager nos anticorps naturels, ils laisseront alors passer le virus car ils sont inefficaces contre les variants. Pour conclure, chaque personne se faisant vacciner détruit son système immunitaire inné, ce qui donne lieu à un problème mondial qui rend ce virus de plus en plus infectieux.
Voici la vidéo d'explication :
https://odysee.com/@Covidbel:5/Geert:7
III - Liste des effets secondaires
Les effets secondaires du vaccin en octobre 2020 ont été partagés par le U.S Food And Drug Administration pendant une fraction de seconde, ils ne voulaient surtout pas montrer ça durant la présentation. On se rend compte que c'est exactement ce qui est observé aujourd'hui, ils savaient donc ce que ce vaccin pouvait probablement causer et pourtant personne n'avait été prévenu avant l'injection, sans oublier les médias qui n'en ont même pas parlé. On peut voir sur le document : narcolepsie, thrombocytopénie, thromboembolie veineuse, arthrite et arthralgie, des morts, syndrome inflammatoire multisystémique pédiatrique, syndrome de Guillain-Barré, myocardite, convulsions, problème de grossesse, de naissance, etc.
Vérifiable sur Youtube, voici la vidéo (mettre au ralenti à 2:33:39).
IV - Que devient votre sang ?
Dans une seule dose de vaccin, il y a 14 milliards de molécules d'ARN messager injectés dans le bras, or seulement 25% restent dans le bras. Ils circulent alors dans votre sang pour ensuite être absorbés dans vos cellules entourant vos minuscules vaisseaux sanguins, les paquets s'ouvrent alors et le corps se met à lire l'ARNm. Il va alors se mettre à fabriquer des milliards de protéines Spike car dans une seule dose il y a 100 microgrammes d'ARNm codant pour cette protéine. Le but est que cette protéine soit reconnue comme étrangère et que votre corps fabrique des anticorps pour vous protéger contre le covid. Mais il y a un problème, cette protéine se trouve sur la paroi du virus (capsule virale), elle fait alors désormais partie de votre paroi cellulaire. Ces cellules censées être lisses pour que votre sang circule sans problème ont alors des petits bouts hérissés qui dépassent (d'où le nom spike). Les plaquettes sanguines détectent les vaisseaux comme étant endommagé et doivent alors bloquer le vaisseau sanguin pour stopper le saignement. Il est alors inévitable que des caillots de sang se forment pour bloquer ces vaisseaux. De plus, ces protéines sont pleines de substances cancérigènes, il est donc prévisible qu'elles causent des cancers.
Le Dr Charles Hoffe en parle (de 0:00 à 3:02) :
https://odysee.com/@FlowerPower:b/Avertissement-Du-Dr-Charles-Hoffe:e
Le Dr Robert Malone, l'inventeur de la technologie à ARN messager dans les années 90 lorsqu'il était au Salk Institute vous met en garde contre cette protéine cytotoxique. Des chercheurs ont créé un pseudovirus entouré de protéines spike et ont constaté que l'exposition de ce pseudovirus a entraîné des dommages aux poumons et aux artères d'un modèle animal, prouvant que la protéine spike suffisait à elle seule à provoquer la maladie, ce qui pourrait expliquer les AVC. Pourtant c'est cette protéine que votre corps fabrique en quantité démesurée suite au vaccin, voici l'étude.
Le Dr Ryan Cole a partagé les résultats de ses autopsies devant des médecins et avocats, il confirme dans une vidéo publiée le 03/08/21 que cette protéine spike circule dans le sang et atterrit dans les organes. De plus, il explique que l'injection de la spike provoque les mêmes maladies que celle du covid (pulmonaire, vasculaire, cardiaque et cérébrale). La spike est la toxine, ce qui cause la maladie avec le virus. On y voit des inflammations dans le cœur, le système immunitaire attaque nos propres tissus, il ajoute qu'une cellule cardiaque endommagée l'est pour toujours et se remplace par une cicatrice. D'ailleurs, il appelle cela une injection de caillot sanguin, car c'est tout ce que l'on voit : des cellules pulmonaires, cardiaques, etc... endommagées.
V - Les dégâts du vaccin sont vérifiables
Le Dr Charles Hoffe explique que le seul moyen de savoir qu'une personne a coagulé est de faire une analyse sanguine, ce test s'appelle le D-dimère et il est très bien car il ne montre que les nouveaux caillots, cela vous dit donc si le mécanisme de coagulation a été activé. Dans son cabinet, il demande aux gens de faire ce test dans la semaine après leur injection. L'étude est donc en cours dans son cabinet et pour le moment il a 62% de résultats positifs à ce test, ce qui signifie que les caillots sanguins ne sont pas rares comme on essaie de vous le faire croire. Les petits caillots se produisent chez la majorité des vaccinés ! Pour ceux qui penseraient que ce n'est pas grave, un vaisseau obstrué par un caillot est endommagé de façon définitive. Le cerveau, la moelle épinière, le coeur et le poumon ne peuvent pas se régénérer, à chaque injection les dommages s'additionneront. Les maux de tête, nausées, vertige et fatigue peuvent être un signe de thrombose cérébrale au niveau capillaire à cause de milliers et milliers de petits caillots dispersés dans votre cerveau qui ne se verront pas au scanner mais qui vous donnent exactement ces symptômes. Concernant la tolérance réduite à l'effort, il est fort probable que ce soit ces mêmes caillots qui se trouvent en quantité démesuré dans le poumon. Le Pr Sucharit Bhakdi constate que c'est la même chose de son côté, ils ont les mêmes observations et prévoient les mêmes conséquences. Personne n'a encore démontré que ces hypothèses sont fausses alors qu'il aurait suffi d'effectuer des analyses sanguines.
Voici la vidéo où on en parle (à partir de 3:13) :
https://odysee.com/@FlowerPower:b/Avertissement-Du-Dr-Charles-Hoffe:e
VI - La fertilité chez les femmes de 18 à 42 ans
Dans cette étude Pfizer de l'EMA, vous remarquerez que le taux de concentration de lipides (particules de vaccin) présents dans les ovaires chez certains animaux augmentent suite à la vaccination, on passe de 0.104µg au bout de 0,25h à 12.3µg au bout de 48h, ce qui confirme le fait que les nanoparticules de lipides (déchets du vaccin encapsulant l'ARNm) se déplacent dans le sang et se retrouvent dans vos organes (c'est le tableau à la page 17).
Une étude va débuter, elle aura pour but de connaître l'impact du vaccin à ARNm COVID-19 (Moderna/Pfizer) sur la réserve ovarienne chez la femme, c'est-à-dire le nombre d'ovocytes présents dans les ovaires, rien de mieux pour vérifier la fertilité. Une étude est prévue sur 200 femmes, ils cherchent encore des volontaires pour commencer. Personne ne peut donc vous garantir que le vaccin n'a aucun impact sur votre fertilité, sinon à quoi bon lancer cette étude.
VII - Témoignages, âme sensible s'abstenir
Une femme de 39 ans victime de convulsions, éruption cutanée, crise d'épilepsie nocturne, faiblesse musculaire...
Une adolescente de 15 ans victime de douleur musculaire et nerveuse abdominale, gastroparésie, perte de mémoire, nausées, vomissement, brouillard cérébral, maux de tête, vertige, évanouissement, crise d'épilepsie, perte de sensibilité, faiblesse musculaire, perte du contrôle de la vessie, changement dans la vision, cycle menstruel irrégulier...
Voici la vidéo.
VIII - Contrats entre les États et Pfizer
Ces accords sont confidentiels et doivent le rester 10 ans, mais certains pays n'ont pas suffisamment protégé leurs documents, des informations ont donc fuité.
Voici ce qu'on peut lire sur ce contrat :
IX - Solutions
D'après cette étude de l'Université de médecine de Caroline du Sud datant du 09/07/21, il est possible de déterminer avec une probabilité de 99% si un patient positif développera la maladie grâce aux taux sanguins de sphingosine. On peut donc rapidement savoir quels patients sont à risques, il est donc très simple de séparer symptomatique et asymptomatique, ce qui permettra de traiter rapidement les patients et distribuer efficacement les ressources limitées.
X - Informations complémentaires
Il faut partager un maximum !
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