Des résultats affolants sur le Meningitec viennent d’être livrés par
un laboratoire italien. Le vaccin contre la méningite C contiendrait des
nanoparticules de métaux lourds dangereuses pour la santé des enfants.
Les 600 familles engagées dans une procédure judiciaire sont sous le
choc.
Ceux qui doutaient de mes propos ne douteront peut être plus si c'est Paris-Match qui leur dit... et cela sauvera des enfants.
- S'ils ont déjà reçu des vaccins, pour le moins une bonne chance de limiter les dégâts:
- la Zéolithe, qui élimine et évacue les métaux (de préférence renforcée de vitamine C)
- le Plasma de Quinton au plus tôt après l'injection
«Les enfants tombent comme des mouches… A quand le tour de ma fille?»,
se demande Coralie, angoissée, qui explique que tous les parents sont
sous le choc depuis que sont tombés, mardi, les résultats de l'expertise
italienne du Meningitec, un vaccin reçu par leur enfant.
Spécialisé
dans la recherche sur les maladies causées par la présence de métaux
lourds dans le corps humain, le laboratoire Nanodiagnostics a détecté,
sous forme de particules ou de nanoparticules, «des éléments qui n'ont rien à faire avec la composition d'un vaccin ou d'une quelconque autre préparation injectable»:
Fer-Silicium, Fer-Chrome-Nickel, débris de tungstène, débris contenant
du plomb, du zinc, du titane, césium et lanthane (terres rares),
zirconium ou oxyde de zirconium («légèrement radioactif»). Autant de
métaux «incompatibles avec la santé humaine», précise le laboratoire.
"Si les métaux se logent dans le cerveau, l'enfant peut présenter un retard de langage"
«Le
problème des nanoparticules est qu'elles vont se loger dans les
cellules et qu'elles n'en sortent pas. Elles ne peuvent être éliminées
par les urines, la sueur, ou le sang. En injection, c'est le risque de
présenter tous les effets secondaires liés aux nanoparticules de métaux
(inflammations chroniques), de surcroit dans l'organisme d'un bébé dont
le système immunitaire n'est pas terminé. Si elles se logent dans le
cerveau, l'enfant peut par exemple présenter un retard de langage.
Plusieurs petits ont déclaré un diabète. Il y a aussi le risque de cancer»,
explique Me Ludot, l'avocat des familles, engagées depuis l'été dernier
dans une procédure judiciaire à l'encontre du distributeur français du
Meningitec (laboratoire CSP), pour avoir acheminé des lots défectueux de
ce vaccin contre la méningite C.
Le
juriste explique qu'en Italie, où une procédure pénale est en cours,
«le procureur de la République a ouvert une enquête suite à l'expertise
du laboratoire Nanodiagnostics».
"On empoisonne des milliers d'enfants et ça ne choque personne!"
«Le
Meningitec va tuer nos enfants! On est beaucoup à ne pas dormir depuis
l’analyse du laboratoire italien. Et nous pensons tous la même chose: on
empoisonne des milliers d'enfants et ça ne choque personne! En Italie,
les parents sont écoutés et pris en charge. Les médecins ne les prennent
pas pour des fous!», s'indigne Coralie qui témoignait l’année dernière du «mépris des autorités de santé» françaises face aux inquiétudes des familles.
Les
parents constataient que leur enfant n’étaient plus les mêmes depuis la
vaccination Meningitec, et décrivaient des symptômes similaires et
persistants (pic de fièvre inexpliqués, éruptions cutanées, douleurs
abdominales, articulaires, gastro-entérites à répétition, irritabilité,
troubles du sommeil…).
"Un défaut de qualité qui n'est pas de nature à engendrer un risque pour la santé"
Pourtant,
les autorités de santé s’étaient montrées rassurantes, quand elles ont
reçu deux représentants des familles, fin novembre 2015, suite à la
pétition des parents lancée sur Internet: le retrait de 21 lots du
marché (soit 809 000 vaccins), fin septembre 2014, répondait à une
mesure de précaution, alors que des particules d’oxyde de fer et d’acier
(rouille) avaient été détectées «dans un nombre limité de seringues»
(0,2%), «sur une partie du bouchon qui n’était pas en contact avec la solution vaccinale».
Un
défaut identifié lors d’un contrôle qualité, signalé par le fabricant
puis relayé à l’Agence par le distributeur français, qui «n’est pas de nature à engendrer un risque pour la santé». Le rappel des lots avait été fait à l’échelle européenne. «Pas de signal de pharmacovigilance susceptible d’être lié à ce défaut, depuis 2011 jusqu’à la date du retrait en septembre 2014», précisait alors l’Agence nationale de sécurité du médicament (Ansm).
Mais
aujourd’hui, l’expertise du laboratoire italien, dont le directeur et
pharmacologue, Stefano Montanari, est connu pour faire un lien entre la
vaccination et l’apparition de certaines maladies dont l’autisme (une
position contestée dans le monde scientifique), a porté sur des vaccins
issus à la fois de lots défectueux et non défectueux.
Pour l’avocat des familles, rompu aux affaires vaccinales, l’expertise de Montanari démontre la mise en cause du vaccin
lui-même. Le juriste en est convaincu: ce n’est pas un défaut de
qualité lié à la fabrication du Meningitec, mais le vaccin lui-même qui
pose problème.
Pas de métaux lourds toxiques dans le Meningitec, selon le Pr Alvarez
Ce
n’est pas le sens des conclusions rendues, début février, par le
professeur Jean-Claude Alvarez. Réalisée à la demande de Me Ludot,
l’expertise toxicologique révèle qu’«il n’a pas été retrouvé de métaux
lourds à des doses pouvant être considérées comme toxiques dans le
Meningitec».
Réagissant sur le rapport italien qui identifie des nanoparticules de métaux lourds, l’expert judiciaire explique: «J’ai
dosé et quantifié des métaux lourds à des niveaux en dessous de ma
limite de détection. Les concentrations contenues sont infiniment
faibles. Ca veut dire qu’il n’y a rien en terme de nanoparticules
au-dessus de ma limite de détection qui est déjà très basse. Je ne
connais pas le système de microscopie électronique du laboratoire
italien. Je ne sais pas comment il travaille. Il n’y a qu’une ordonnance
de l’expertise médicale de ces enfants qui permettra de trouver un
lien. S’ils souffrent de quelque chose amené par le vaccin, ils ont peut-être des pathologies communes.»
Dosage
de métaux lourds d’un côté, recherche de nanoparticules en microscopie
électronique de l’autre, les deux experts admettent qu’ils ne cherchent
pas la même chose.
Fin
décembre 2015, suite à une demande de Me Ludot, Dominique Martin,
directeur de l’Agence, indiquait que l’Ansm ne disposait «d’aucune
donnée relative à l’utilisation de nanoparticules dans le vaccin
Meningitec». Aujourd’hui, elle ne «souhaite pas commenter le rapport
d’analyse conduit par le laboratoire Nanodiagnostics, dans la mesure où
c’est une pièce versée à la procédure en cours sur le dossier
Meningitec».
Des résultats affolants à la veille des expertises médicales sur les enfants
Pour
les 600 familles regroupées dans l’action judiciaire, la question est
celle de l’avenir de leur enfant. L’angoisse est palpable* depuis
qu’elles ont reçu les résultats affolants qui incriminent tous les lots
du vaccin. «Nos enfants ont des particules radioactives dans le corps. Qu’on ne vienne pas nous dire qu’ils n’auront rien plus tard!»,
lance Coralie, qui explique que depuis ces quatre derniers mois, des
enfants présentent des symptômes plus lourds. Et précise que des
parents, dont l’enfant a reçu un vaccin non défectueux et présente des
symptômes, sont aussi engagés dans la procédure.
Alarmante ou alarmiste, l'expertise italienne tombe à point nommé pour l'avocat des familles, alors que les expertises officielles sur les enfants démarrent la semaine prochaine.
«Je connais le discours formaté des experts français après une analyse
sommaire du vaccin: 'tout va bien'. Ce document les obligera à ne plus
se dérober».
* «Meningitec : l’Etat est complice d’un empoisonnement», la dernière pétition des parents sur Change.org.
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