- Annulation de la dette nationale pour les quatre cinquièmes, moratoire sur le solde[2]
- Rétablissement immédiat de la sécurité sur l’ensemble du territoire, selon les directives dictées par le gouvernement provisoire[3]
- Abolition programmée de la dette des particuliers en situation d’endettement passif
- Suppression de 175 taxes, impôts ou redevances, avec effet immédiat et rétroactif sur l’exercice 2013 (dont suppression immédiate de la CSG, de la Redevance audiovisuelle, de la Taxe d’habitation, Taxe Foncière, Droits de succession. Baisse de la TIPP[4] — prix à la pompe)
- Baisse immédiate de l’impôt sur le revenu des particuliers, baisse de l’impôt sur les sociétés[5]
- Fermeture immédiate des frontières, sortie de l’accord de Shengen avec application immédiate et unilatérale.
- Contingentement de l’impôt territorial et national[6]
- Augmentation provisoire de toutes les retraites à un niveau minimal net de 875€, abaissement provisoire de toutes les retraites du public à un niveau maximal (à déterminer)[7]
- Désengagement des Traités de Lisbonne, Maastricht, Shengen et rétablissement provisoire des frontières
- Suppression de 20 à 30 ministères ou missions de l’Etat (voir liste)[8]. Le Ministère de l’Education nationale redevient, très justement, le Ministère de l’Instruction publique[9]
- Défiscalisation temporaire de la production de l’agriculture et de la pêche[10] sous condition de productions à bilan kilocalorique positif, comme c’était le cas avant la révolution verte
- Rétablissement des libertés publiques et privées. Suppression des lois sur l’opinion[11] et modification constitutionnelle en faveur de la liberté d’expression intangible, libération des prisonniers politiques
- Mise en panne de tous les radars routiers automatiques, démantèlement partiel du parc, abrogation de l’écotaxe
Viennent ensuite les décisions suivantes :
- Généralisation du système référendaire. Consultation nationale étendue et de droit
- Rétablissement des budgets régaliens de l’Etat
- Dissolution des deux Chambres parlementaires
- Démantèlement législatif et mise à terme de la surenchère parlementaire et législative[12]. Assainissement et simplification : accessibilité, égalité devant la loi. Réduction à un corpus législatif et légal accessible par le citoyen[13]
- Rétablissement d’une politique agricole fondée sur la restauration immédiate de la biologie des sols, interdiction des productions dites intensives
- Diminution du nombre d’élus[14], maintien du nombre à parité fixe avec le nombre d’habitants[15]
- Diminution du nombre de fonctionnaires administratifs d’Etat et territoriaux à parité fixe avec le nombre d’habitants[16], engagements déontologiques stricts
- Indexation des revenus du politique sur ses activités réelles et la croissance
- Limitation du cumul et des renouvellements des mandats
- Défiscalisation des métiers à revenu précaire
- Interdiction de la GPA et de l’adoption par les couples homosexuels, abandon de l’apariage homosexuel légal
- Augmentation des salaires de fonctionnaires des premiers échelons[17] (catégorie C) et des libéraux dépendants du domaine public (santé notamment)
- Etablissement de nouveaux modes de scrutin (sauf Europe)[18]
- Suppression du département
- Allègement draconien des documents administratifs, épuration des fiches salariales[19]
- Rétablissement d’un droit conforme à l’esprit des textes[20]. Rétablissement de la Justice selon l’esprit de la loi. Extinction du droit procédural : on en revient à l’intention première. Introduction de la responsabilisation des juges, qui sont élus tous les 3 ans
- Sortie de l’Europe légale[21], réhabilitation de la Banque de France
- Recherche d’un accord mondial pour l’éviction de la spéculation pure et le jeu bancaire[22]. Abaissement des montants circulant à maximum 4 fois les actifs détenus. Désengagement des marchés de la part de l’Etat et collectivités. Prohibition de l’emprunt public sur les marchés : l’Etat seul prête.
- Défiscalisation des échanges locaux libres
- Dissolution d’officines, agences, bureaux, dont Pôle-Emploi, le RSI etc.[23] Fin effective du monopole de la Sécu[24]
- Nettoyage et contrôle strict des subventions publiques. Interdiction de subvention d’associations cultuelles[25]
- Arrêt des subventions aux associations non reconnues d’utilité publique[26] par consultation populaire
- Arrêt des subventions à la presse[27]
- Législation sur les syndicats et les organisations : obligation de publier des comptes
- Politique immigratoire cohérente sur la base de compétences en fonction des besoins réels (contrats réels) et de l’asile politique exclusivement[28]
- Suppression des dépenses sociales en faveur des étrangers en situation irrégulière[29]
- Reconduite immédiate à la frontière des délinquants étrangers au premier délit sans possibilité de retour avant 5 ans[30]
- Réduction et lisibilité du Code pénal (déclaration solennelle : la loi est faite pour l’homme et non l’homme pour la loi)
- Raccourcissement des délais de justice et introduction de procédures datées[31]
- Facilitation du droit d’investigation et d’enquête de l’autorité publique[32]
- Prohibition sur les produits phytosanitaires et de consommation dangereux[33], interdiction de production, stockage et transit de ces produits
- Relance de la production d’énergies alternatives (défiscalisation[34])
- Allégement du droit du travail, épuration du Code du Travail. Suppression de l’intervention du juge dans les procédures de licenciement[35], renouvellement de la liberté de création d’entreprise, suppression de déclarations, etc.[36]
- Défiscalisation des échanges locaux libres
- Rétablissement du statut du médecin, du notaire, suppression des réglementations des métiers de la gynécologie,
- Retrait général de l’Etat dans ses fonctions régaliennes
- Rétablissement du délai de réflexion de 7 jours pour l’avortement, interdiction de l’avortement au-delà de 4 semaines de la conception. Référendum sur l’avortement
- Désengagement des conflits non stratégiques pour l’intérêt national
- Libération de l’initiative entrepreneuriale par la suppression de tout impôt ou démarche avant d’atteindre un seuil de revenu absolu[37]
- Réforme totale de l’enseignement : liberté des universités, suppression de la carte scolaire, établissement de grilles de résultats, promotion au mérite, management, libéralisation
- Suppression du changement d’heure (été-hiver)
- Fin des « monopoles publics » (Fondation de France, attribution des droits d’émission audio-visuelle etc.)
- Suppression du droit d’auto-amnistie parlementaire, révisions des amnisties précédentes, lancements des procédures de réparation
- Interdiction de la discipline des partis, suppression des quorums pour la constitution des groupes.
[1]
Les institutions faisant opposition par la nature même de leur
fonction, à l’une quelconque des propositions du présent appel, seront
mises en sommeil pour une durée indéterminée. On décrétera un CDD de
l’institutionalité pour intérêt supérieur de la nation, juste retour des
choses. Les mesures présentées ici ont un financement précis. Afin de
parer à toute manœuvre délibérée de la part des tenants du système, le
gouvernement provisoire publiera l’intégralité de son plan financier une
fois seulement en fonction.
[2]
Il n’y a malheureusement pas d’autre moyen que d’annuler la dette, le
peuple français ne disposant aucunement des moyens de la rembourser et
refusant de grever l’avenir. L’annulation de la dette fera l’objet d’un
acte solennel faisant primer l’homme sur les biens. Les banques feront
leur affaire de la partie de la dette à leur charge, puisqu’elles ont
contribué à la créer. Nous sommes conscients que cet apurage fera tomber
des avoirs fictifs. Mais le monde économique n’aura qu’à se féliciter
d’une reprise de l’activité réelle.
[3] Le
gouvernement provisoire suspendra pour un temps donné toute la
réglementation contraignant la sécurité — déficiente — du territoire,
aussi bien en métropole qu’outre-mer. Les chefs de service seront
systématiquement remplacés par le vote des fonctionnaires subalternes et
seront tenus au résultat. Une action rapide, efficace et concertée avec
le gouvernement provisoire visera à remettre en contact chaque citoyen
avec l’autorité publique, le citoyen ayant un droit absolu à sa sécurité
que les derniers gouvernements ont bafoué. Le gouvernement provisoire
fera éventuellement appel à l’aide des citoyens durant cette période
cruciale. Une large liberté d’action sera concédée aux meilleurs
responsables de l’autorité publique.
[4]
TICPE : Taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques.
Les particuliers pourront ainsi renouer avec une capacité de déplacement
favorisant le retour à l’emploi. Les entreprises pétrolières trouvant
là un apport, elles seront engagées dans un plan de renouvellement du
transport tel que décrit plus bas (voir article)
[5]
: on ramènera ce taux à 17%, par paliers ou non. Ce qui signifie que
l’Etat ne payera plus pour tout et partout. En outre, les collectivités
verront leur capacité à lever l’impôt limitée à la proportion moyenne
stricte des revenus de leurs administrés, et le nombre des personnels
sera dûment proportionnel au nombre d’habitants dans la moyenne haute
des 5 pays les plus développés du monde. Des sanctions pénales à
l’encontre des politiques sont prévues pour les dépassements ainsi que
des peines d’inéligibilité définitive. Aucune immunité ne pourra y être
opposée
[6] empêchement constitutionnel de créer de l’impôt sans définition précise. Créer de l’impôt est un délit.
[7]
Les retraites minimales seront indexées sur un taux lié au coût de la
vie. Les retraites maximales seront à nouveau libérées dès que la
situation le permettra. Afin que le particulier ne soit pas confronté à
une situation de banqueroute personnelle, les retraites abaissées seront
corollaires d’une révision des échéances des emprunts et crédits auprès
des banques.
[8]
1/ Solidarité, insertion et égalité des chances 2/ Immigration, asile
et intégration 3/ Egalité des territoires, logement et ville 4/ Gestion
des finances publiques et des ressources humaines 5/ Sports, Jeunesse,
Education populaire et Vie associative 6/ Artisanat, Commerce et
Tourisme 7/ Outre-Mer 8/ Réforme de l’Etat, de la Décentralisation et de
la Fonction publique 9/ Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la
Forêt 10/ Droits des femmes 11/ Enseignement supérieur et de la
Recherche 12/ Culture et de la Communication 13/ Engagements financiers
de l’État 14/ Travail, de l’Emploi, de la Formation professionnelle et
du Dialogue social 15/ Ecologie, du Développement durable et de
l’Energie 16/ Politique des territoires 17/ Redressement productif 18/
Aide publique au développement 19/ Anciens combattants, mémoire et liens
avec la nation 20/ Conseil et contrôle de l’État 21/ Culture 22/
Direction de l’action du Gouvernement 23/ Écologie, développement et
aménagement durables 24/ Économie 25/ Egalité des territoires, logement
et ville 26/ Engagements financiers de l’État 27/ Régimes sociaux et de
retraite 28/ Commerce extérieur 29/ Egalité des territoires et du
Logement 30/ Santé 31/ Relations avec les collectivités territoriales.
Ces ministères ne constituent pas un apport positif aux domaines qu’ils
sont censés soutenir, au contraire ils leur coûtent. Le poids de la
chose publique est un frein au développement et à l’adaptabilité des
métiers et des secteurs. Avec les années, on a créé des ministères
aberrants et toutes sortes de missions qui sont essentiellement des
retraites dorées pour politiques battus aux élections.
[9]
Il est absolument scandaleux et, il faut le dire, conforme aux
exigences de la Franc-maçonnerie qui la gouverne, que le ministère ose
se mêler d’éduquer ! Le ministère est censé instruire, et ne JAMAIS se
mêler de ce qui relève du droit fondamental et imprescriptible des
parents. Cette honte couve un imposture du point de vue des compétences,
une manipulation totalitaire, une mise en danger de l’enfant, un lavage
de cerveau, une médicalisation sous-jacente qu’on constate partout, une
mise en servage de chacun.
[10]
considérée l’urgence de la situation, les paysans et pêcheurs sont
totalement libérés de tout impôt, jusqu’à redressement de leur
situation, qui passe naturellement par d’autres mesures, celle-ci ne
suffisant pas.
[11] Pleven, Gayssot, Rocard etc. ainsi que les jurisprudences qui en découlent.
[12]
les lois et décrets constituent un ensemble illisible pour les Français
et d’ailleurs contradictoire. On reviendra à un socle législatif
minimal, lisible, accessible.
[13]
un plan de simplification et d’épuration législative s’impose. Il peut
se faire sur 5 ans. Pour toute disposition hors texte, rétablissement de
l’esprit des lois et de la justice s’imposera
[14]
le nombre de députés par exemple peut être ramené de 577 à 25 sans
dysfonctionnement, puisqu’il n’existe pas plus de 25 nuances politiques à
l’Assemblée. Le Sénat sera utilement redéfini etc. Réductions
similaires dans les Régions, les collectivités territoriales etc.
[15] dans une proportion équivalent à la moyenne des 5 pays les plus développés.
[16]
attention, la France ne déclare pas tous ses fonctionnaires comme tels,
ce sera le cas. Dans certains départements, il y a plus de
fonctionnaires du ministère de l’Agriculture que d’agriculteurs. Ce
n’est qu’un exemple
[17] on supprimera avantageusement les systèmes complexes de grades, échelons, cadres, cadres d’emploi et autre catégories…
[18] pour une meilleure représentativité
[19] il y aura désormais, en tout et pour tout, 6 lignes sur un bulletin de salaire
[20] il est anormal que des criminels ou des trafiquants puissent échapper à la Justice pour des raisons de procédures
[21]
cela entraîne la fin d’une partie des financements de l’Europe par la
France. Les accords et traités seront considérés au cas par cas. La
France reste un pays attaché à l’Europe et maintient tous les accords
favorables à sa sécurité, son économie, sa santé etc. ainsi qu’à ceux de
ses alliés
[22] On recherchera l’interdiction de créer de la monnaie au-delà de x fois la possession réelle
[23]
on s’appuiera sur les rapports successifs de la Cour des Comptes et des
expertises indépendantes. Il s’agira d’aller vers une diminution
drastique du nombre d’institutions, agences, bureaux, secrétariats,
instituts, pôles financés par l’Etat, qui se comptent par dizaines de milliers
et d’arrêter toute participation à de telles officines lorsqu’elles
sont privées. La réalité de ces officines étant inconnue à l’heure
actuelle des services même de l’Etat, il est impossible d’établir une
projection chiffrée. Cependant, les dépenses qui leur sont attachées
sont majoritairement non-rentables et d’une efficacité douteuse, comme
la Cour l’a continuellement constaté, avec pourtant une retenue
excessive. Ces officines sont surtout des retraites dorées pour
politiques écartés par les électeurs. Dans le cas du RSI, celui-ci sera
condamné à rembourser les sommes indues et à dédommager au double les
victimes de ses rackets. Il sera ensuite dissout, étant illégal.
[24] : La fondation IFRAP, totalement indépendante de l’État rappelons-le, nous détaille un comparatif édifiant
entre les systèmes de protection sociale européens pour les
travailleurs non-salariés. Le RSI ne fait pas bonne figure comme on s’en
doutait.
Taux : le taux français de cotisation
est de loin le plus élevé, 46,5%, y compris CSG/CRDS, qui n’existe pas
dans les autres pays. Il est complètement rigide.
Assiette : en France, le taux s’applique
sur l’intégralité du revenu sans plafonnement aucun, et sans exemption
non plus. La cotisation minima est variable, mais généralement élevée.
Ce qui n’est pas le cas en Belgique, aux Pays-Bas et au Royaume-Uni, où
les taux sont plafonnés ou dégressifs, ni en Allemagne où les primes
d’assurance sont fixes. À noter qu’en France la CSG/CRDS s’applique sur
le revenu et sur les cotisations sociales.
Risques couverts : le chômage, les
arrêts de travail et maladies professionnelles ne sont pas couverts en
France. La Suède couvre ces deux risques, et, comme l’Espagne, elle
propose des options. En France, les cotisations payées par les
poly-actifs et les retraités le sont à fonds perdus, ce qui n’est pas le
cas général des autres pays.
Caractère obligatoire : total en France,
où le RSI engage des poursuites contre les récalcitrants, et le signale
sur son site internet. L’Allemagne ne rend obligatoire que la santé
(l’assurance retraite n’est pas obligatoire !) et les taux du
Royaume-Uni sont très faibles, laissant des options pour des assurances
volontaires supplémentaires à la discrétion de l’indépendant.
Liberté de choix : inexistante en France, existe en Belgique, au Royaume-Uni pour les suppléments, et intégrale en Allemagne.
La proportion de travailleurs
indépendants dans le total des actifs est bien supérieure chez nos
voisins. Le RSI est une véritable machine à décourager les
entrepreneurs.
[25] on pense ici au financement public de création d’établissements religieux qui contrevient à la laïcité
[26]
ces subventions sont éminemment politiques pour l’heure actuelle et
favorisent le clientélisme au frais des Français. On a ainsi les
associations pour les loisirs des administrations financières qui
touchent plus de 34 millions d’euros (6 millions pour l’ATSCAF et 28
pour l’EPAF), autrement dit des fonctionnaires du budget se sont
autovoté de beaux avantages. 10% des associations touchent 514.000€ en
moyenne quand 90% touchent 8486€ : richesse va avec privilèges. Une question posée :
pourquoi demande-t-on implicitement à tous les contribuables de
participer de façon directe au financement de la Fédération Française de
Ski (près de 4 millions d’euros) ? Au total de cet immense gaspillage
électoraliste, le gouvernement affiche un chiffre de 1.229.000€ en 2011
et 1.855.000€ en 2012, soit une évolution de 50% en un an ! chiffres
déjà importants, mais on peut douter qu’il s’agisse de si peu, tant la
gestion de l’Etat français est opaque.
[27]
L’information doit être absolument libre et parfaitement encadrée par
des dispositions légales qui la fassent sortir de cette situation où
elle constitue un pouvoir limité par rien. Aucun pouvoir ne doit être
sans limite
[28]
stopper l’arrivée massive des populations qui décapitent leurs pays
d’origine et refouler ceux qui ne sont pas dignes, par leurs activités
mafieuses et délictuelles, de vivre en Europe
[29] les soins sont toujours prescrits, mais à la charge des patients étrangers ou, à défaut, de leur pays
[30] allègement de la charge sociale et du chômage, abaissement des charges de sécurité publique et de justice etc.
[31] une procédure ne pourra plus excéder certains délais sous peine de sanctions administratives
[32] les méthodes de police et de gendarmerie seront revisitées afin de facilité au maximum la prise en flagrant délit
[33]
sont visés certains engrais ou produits de traitements agricoles (tels
certains produits Monsanto, Bayer etc. qui ont défrayé la chronique et
ont subi des tests référents au sein de l’OCDE)
[34] voir Suppression de 175 taxes en début de texte
[35] la France est le seul pays dans cette situation
[36] On retrouvera une situation légale ressemblant à celle des années 50
[37] à parité avec l’évolution du revenu moyen
_______________________
Ces mesures ne sont pas exhaustives et la nécessité dictera les urgences éventuelles
Déclaration du Peuple de France
A nous, le Peuple:
à l’origine, la démocratie devait assurer votre existence sous la protection des institutions. Vous en avez été chassés.
Les politiques ont détruit le pays, en
transformant progressivement des principes démocratiques en un système
inique et privé. Armés de principes inadaptés et pauvres, ils ne
pouvaient assumer un devoir qui dépassait leurs capacités. Ils ont ainsi
failli à leur tâche et à leurs obligations.
Vous restez devoir obéir aux lois, ils s’en sont dispensés.
La pauvreté ronge lentement vos revenus,
la loi diminue inéluctablement vos droits, votre santé est sabotée,
votre éducation dépouillée, la justice partisane, vos administrations
laminées, votre sécurité n’est plus assurée et, pour finir, les subsides
publiques ont acheté vos libertés.
Jamais nos ancêtres ne l’auraient
accepté. Jamais nos enfants ne pourront vivre avec ce que nous leur
laissons — si vivre est un mot qui a encore un sens demain.
Jusqu’ici, en votant pour les partis et en croyant dans d’éventuels changements perpétuellement retardés, vous y avez consenti.
Or, depuis le niveau de prospérité
jusqu’à la place de la France dans le monde, l’essentiel n’a été que
recul. La France, en trois décennies, a vieilli de cinq.
Et s’il fallait se contenter de peu, le
Français avait les moyens matériels, privilégiés à la surface de la
Terre, de vivre heureux. La logique de son système moderne,
révolutionnaire, portait en germe sa mort lente. L’argent qui lui est
volé par le fisc et les tribunaux, finance sa perte.
Voici l’odieuse réalité : vous payez pour mourir.
On prétend souvent que c’est le paysan «
accablé sous le poids de l’impôt » qui a fait la Révolution. Or, il ne
payait l’équivalent que de 18 jours de travail en impôts (gabelle,
taille, vingtième, etc.) alors qu’aujourd’hui, vous n’êtes libéré
qu’après 208 jours, soit onze fois plus. Libéré, le mot n’est pas trop
fort : le peu qu’il vous reste de droit à vivre est prisonnier.
Il n’y a pas de salut dans le système,
il est entre ces mains-là qui détiennent richesses et pouvoirs, et
jamais ces mains n’ont été à la fois aussi peu nombreuses et aussi
puissantes. La menace totalitaire est universelle.
Si bien que l’inconséquence des
gouvernements n’a été que le relais de la spéculation mondialiste. Mais
il y a eu aussi, ayons le courage de le reconnaître, à notre niveau
quotidien, des relais locaux, presse, syndicats ou associations, qui se
chargeaient de votre assentiment. Vous avez vécu une paresse et une
léthargie qui n’ont abouti qu’à plus de dépendance, plus de droits
coûteux et sans avantages, à plus de désespérance, de conservatisme. En
prenant d’une main, et sans penser aux générations à venir, le confort,
les avantages et la protection, nous rétrocédions de l’autre main la
liberté, la prospérité et la solidarité.
Nous avons laissé tuer l’exception,
l’originalité, la créativité qui étaient justement parmi nos plus
précieux trésors, qui en réalité étaient le génie français.
On vous a servi du mensonge et vous avez voulu y croire.
Il est l’heure de renoncer à vos chaînes, et de reprendre le pouvoir qui vous a été enlevé.
Pendant que vous auriez besoin de
quelques centaines d’euros par an pour mieux vivre, des milliards sont
consacrés à des causes scandaleuses. On renfloue des banques qui
spéculent sur le désastre et engrangent, en pleine crise, d’énormes
dividendes.
Vous travaillez d’arrache-pied alors que l’oisiveté rapporte souvent davantage.
Les services publics, abandonnés, sont dépourvus de moyens.
Vous êtes submergés de paperasses, de
normes, de directives, qui font qu’au lieu de vous consacrer à votre
métier, vous donnez votre vie au néant.
Pendant que vous craignez pour votre emploi, on favorise les délocalisations.
Alors que tous les progrès sont possibles, on vous maintient dans la contrainte de systèmes caduques.
Vous ne trouvez pas à vous loger,
pendant que les collectivités possèdent les plus monstrueux parcs
immobiliers de l’Histoire et que les trusts engrangent les plus
fabuleuses fortunes de tous les temps.
Votre bonne volonté et votre bénévolat
suppléent aux carences de l’Etat, tandis qu’il ne craint pas de vous
appliquer des sanctions et des amendes, de faire valoir des lois que
vous seuls respectez.
On fait mine de consacrer quelques
dépenses à une écologie purement de façade, et on maintient des
structures polluantes depuis la production jusqu’à la consommation.
Vous risquez votre vie dans une société investie par la violence.
On a livré au marché vos terres, votre travail, votre maison et maintenant on vous livre, vous.
Mais il y a plus grave : une nouvelle
guerre est déclarée, s’attaquant non plus seulement aux biens de l’homme
ou à sa liberté, mais cette fois à sa nature même.
Tout cela, maintenant, vous le savez. Vous avez fait ces constats et un million d’autres.
Ce qui se passe n’est pas seulement vrai en France, c’est vrai dans bien d’autres pays.
Les fausses élites se connaissent toutes
et s’arrangent entre elles, elles signent en votre nom, par-dessus vos
têtes, des traités qui vous engagent sans que vous ayez été consultés,
d’autres même que, parfois, vous avez rejetés.
Qui tient la dette tient les nations.
Les politiques, qui ne sont rien sans l’argent de la finance, ont creusé
les déficits et accru le chômage, pendant qu’ils se votaient des
avantages et des amnisties. Mais voyez, ils ne sont rien : ni légitimes,
ni compétents. Ils n’ont jamais recueilli de véritables majorités, ils
ne comptent ni l’absentéisme électoral ni les votes blancs, qui sont
majorité.
Ils n’aiment pas le territoire, d’un
côté ils en abandonnent des parts entières à des mafias et des
trafiquants, de l’autre ils cèdent tout à l’Europe, cette Europe dont
les chefs exécutifs sont désignés et non élus. Ils n’ont pas
spécialement besoin de votre santé. Ils n’aiment pas votre liberté, ils
votent chaque semaine de nouveaux interdits et de nouvelles obligations.
Ils n’aiment pas votre travail, ils bradent vos emplois.
Ils n’aiment rien en fait de ce qui constitue le corps et l’âme du pays.
En un mot : tout marche à l’envers. Nous
sommes dans un système inversé. Ce qui était bon est rejeté, ce qui est
mauvais est institutionnalisé. La politique ne sert plus l’homme, c’est
l’homme qui sert la politique. L’homme a disparu de la politique, en
réalité, et les discours mentent.
N’en parlons plus. Agissons.
Nous ferons notre devoir, parce que nous
refusons que ne s’imposent, soit la guerre civile, soit des partis
dangereux. Car tout n’est pas fini. La France peut renaître, parce qu’il
y a encore les Français.
Nous n’attendrons pas le départ des politiques, nous prenons le pouvoir.
Nous sommes le peuple.
Nous n’allons pas réformer le système, nous allons en changer.
Nous allons refonder une légitimité.
Nous développerons un pays de notre siècle et des siècles prochains, en
lien avec le monde, pour une prospérité universelle.
Craignez-vous la loi ? Mais, Français, votre volonté prime sur la loi ou les institutions,
car la seule légitimité réelle, celle dont parlent les textes
fondateurs est, en fait, la vôtre ! Vous pouvez tout puisque le droit,
c’est d’abord la nation. Qu’elle s’exprime enfin !
A présent, vous vous révoltez. Il était temps.
Alors, prenons le pouvoir, dans une démarche conforme à l’esprit de la vraie civilisation !
Voici donc notre appel solennel. En ce
jour, nous délions les Français de leurs engagements vis-à-vis d’un
système politique qui ne les représente plus, nous répudions les traités
que nous n’avons pas signés, nous rejetons les contrats faits sans
nous.
Nous choisirons ce qui doit être conservé, et ce qui doit être enlevé. Nous séparerons le bon grain de l’ivraie.
Il n’y a pas de problème que le génie
humain ne puisse résoudre, si on lui en laisse la liberté. C’est cette
liberté que nous reprenons.
La société française sera
désormais consacrée à l’Homme et non plus aux institutions, aux groupes
d’intérêts ou à la spéculation.
Le mouvement de civilisation qui
partait de l’homme individualiste, sans lien à autrui, et qui le
distrayait vers les ensembles continentaux et universels, anonymes et
déracinés, reviendra puiser à un universel qui nourrit l’individu. Le
sens de l’homme est dans sa proximité, dans son incarnation, l’homme se
justifie par son prochain. L’homme n’est pas gouvernable à distance, il
n’est pas fait pour les quêtes éthérées, sans lien, ni pour les
spéculations sans fondements irréels. L’idée qui ne surgit pas du réel
tue l’homme. En ce sens, nous tournons le dos aux deux derniers siècles
qui ont été les siècles des idéologies.
Nous réconcilierons l’homme et le réel. Le vivant contient les réponses. Le réel est vie.
Nous voulons une civilisation de la vie. Nous la déclarons sacrée, alpha et oméga de la civilisation renouvelée.
Tous les Français de bonne volonté sont conviés à défendre le renouvellement national, puisqu’ils sont les seuls légitimes à gouverner, en tant que souverains de leur pays.
Les effectifs de police, de gendarmerie et les divers services de
sécurité seront solennellement appelées à se mettre en situation de
maintenir la paix et l’ordre en tous lieux du territoire, sans attendre
ni accepter aucun ordre des responsables qui les ont trahis.Nous assumerons l’entière responsabilité du destin national jusqu’à ce qu’un nouveau régime stable, garant des libertés, de la prospérité, de l’intégrité nationale, du respect dû aux personnes, soit offert à vos vœux. Nous mettrons en effet en place toutes les circonstances favorables à des élections, les premières véritables élections libres et universelles de France.
Les zones non contrôlées seront rendues à la nation. Nous libérerons les captifs, les endettés, les sans-abris, d’une situation qu’ils n’ont jamais méritée.
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